Les élites progressistes des hyper-structures géopolitiques mondialistes (Le monde libre selon eux ou la démocratie des états de droit comme ils aiment à le réciter à tous vents à travers leur presse d’opinion et des journalopes à leurs soldes) sont en guerre contre leur propre population en perpétrant des crises qui s’enracinent profondément dans le cœur des gens et qui les dépouillent crescendo des fruits de leur travail, de leurs richesses, de leur espérance et du bonheur.
La question à connaître consiste à comprendre et savoir à quel moment de la dégradation sociale et nationale de tout ce qui faisant le charme de l’état-nation et donnait du courage à tous, le peuple va-t-il enfin se soulever massivement, totalement et complètement jusqu’à la victoire finale ou l’écrasement des responsables de cette ignoble et pervers attentat permanent qui au fil des années de plus en plus resserrées et sans discontinuer nous tuent à petit feu, sans aucune issue de secours ?
Hormis les hideux mensonges de l’hydre médiatique, politique et institutionnelle (les hauts cadres des corps constitués qui ont été placés pour obéir au gouvernement via ses représentants officiels) et la volonté affichée des élites progressistes qui se sont installées (aux travers de leurs mandataires) durablement au sein des pouvoirs centraux administratifs et politiques et de l’ensemble des appareils instrumentalisés de l’état, que nous reste-t-il pour empêcher le désastre qui nous attend et qui va s’accomplir inéluctablement si nous les laissons faire ou que nous attendons l’arrivée improbable d’un Deus ex machina pour nous sortir enfin de la léthargie dans laquelle nous nous avons été profondément installés à l’insu de notre conscience évaporée.
Nous sommes petits car nous sommes à genoux et qu’ils sont debout, planant au-dessus des estrades et donnant l’illusion d’un grand pouvoir qui fascine autant qu’il impressionne.
Il est l’heure de se redresser et de nous libérer de ce carcan qui nous enferme dans notre propre prison mentale, et pour se faire, rien de mieux que d’afficher, sans peur, ni ressentiment, notre détermination à se battre pour la vie des nôtres, pour le bien commun et pour le triomphe de la sagesse et de la vérité.
Libérons-nous de nos chaines mentales en se dessaisissant de nos peurs instinctifs et en se joignant au nombre de plus en plus grand de ceux qui refusent à la fois l’asservissement de nos corps et la meurtrissure de nos âmes et de ce que l’on chérit.
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