Arthur Sapaudia : Félix, merci pour votre participation à ce petit exercice ! À la suite de mon second florilège intitulé Complémentarité et différences des sexes et en patientant pour le prochain – Considération sur les femmes – qui arrive à la vitesse d’une jument au galop, je ne pouvais m’adresser qu’à vous sur ces sujets qui nous importent. Maintenant, place à l’artiste ! Première citation :
La nature, en séparant l’espèce humaine en deux catégories, n’a pas fait les parts égales. C’est bien ce qu’ont pensé de tout temps les anciens et les peuples de l’Orient ; ils se rendaient mieux compte du rôle qui convient aux femmes, que nous ne le faisons avec notre galanterie à l’ancienne mode française et notre stupide vénération, qui est bien l’épanouissement le plus complet de la sottise germano-chrétienne. Cela n’a servi qu’à les rendre si arrogantes, si impertinentes : parfois elles me font penser aux singes sacrés de Bénarès, qui ont si bien conscience de leur dignité sacrosainte et de leur inviolabilité, qu’ils se croient tout permis. (Arthur Schopenhauer, Essai sur les femmes, 1851)
Essai sur les femmes d’Arthur Schopenhauer
(avec une préface de Félix Niesche),
l’ouvrage sulfureux est disponible chez Kontre Kulture !
Félix Niesche : Il y a trois questions distinctes qui, certes, se recoupent, s’interpénètrent, mais ne devraient pas être confondues : la Femme ou l’éternel féminin, le Féminisme authentique, et le féminisme étatique actuel. Or, par une sorte de nominalisme qui prend le mot pour la chose, elles sont imbriquées dans une même représentation gigogne. La voici : les femmes auraient toujours été opprimées par l’homme, d’où le Féminisme, qui est cette « guerre ininterrompue, tantôt ouverte, tantôt dissimulée », qu’elles auraient mené incessamment contre cette Oppression immémoriale ; le féminisme actuel n’étant que l’actualité de ce féminisme ininterrompu. Telle est la fausseté ontologique féministe, le voile de Maya de sa Représentation. Dans cette optique, « notre » féminisme actuel serait un féminisme qui a réussi.
Certes, « tout n’est pas encore achevé », mais ce féminisme a conquis des places de premier rang, du prestige, il est une matière à part entière qui s’enseigne, il a changé les mœurs, la morale, et le sens de la vie. Y a-t-il quelque chose qu’il n’ait pas obtenu ? Sa prévalence est telle, que les quelques lignes de Schopenhauer citées sont étalées avec complaisance sur la Toile comme preuve de l’antiquité et de l’inanité de la misogynie. Il y en a même un qui l’a mis en exergue d’un blog intitulé « Schopenhauer est un con » ! Le féminisme d’État actuel redoute autant la misogynie philosophique d’un Schopenhauer que le lobby pharmaceutique redoute la déontologie médicale d’Hippocrate de Kos.
Or donc, ce qui fait le sel de cette citation proposée ne sera pas sa satire « des femmes », mais celle des messieurs atteint de la galanterie à l’ancienne mode française, de la stupide vénération, de la sottise germano-chrétienne. Qu’est-ce-que cette « sottise germano-chrétienne » ? C’est le sérieux allemand devant des histoires juives, quand le rire homérique s’imposait. Schopenhauer, comme Nietzsche, voyait l’Allemagne devenir une nation de philistins. Ce substantif : Philistin est une clé. Le bourgeois est LE Philistin par excellence, et la femme par essence. Schopenhauer : « Des exceptions isolées et partielles ne changent rien aux choses ; les femmes sont, et resteront, prises dans leur ensemble, les Philistins les plus accomplis et les plus incurables. »
Dès le début, le bourgeois se traînait aux pieds de sa femelle et de la Courtisane. La bourgeoisie décadente l’a portée au pinacle. La société bourgeoise moderne a posé la plus stricte égalité des sexes en droit, et en prime à offert à la femelle sa pension alimentaire, avec sa ration sexuelle. La gynécocratie bourgeoise n’est elle pas essentiellement, bornée, triviale, pétasse, inculte, antipoétique, fermé aux choses de l’art et de l’esprit ? Schopenhauer pensait que sur la femme et l’amour, les poètes voyaient plus clair que les philosophes. Lui excepté, bien sûr, qui s’intitulait le « seul métaphysicien de l’amour depuis Platon ».
En voici un poète, Charles Baudelaire :
« La femme, esclave vile, orgueilleuse et stupide, Sans rire s’adorant et s’aimant sans dégoût ; L’homme, tyran goulu, paillard, dur et cupide, Esclave de l’esclave et ruisseau dans l’égout »
O combien ruisselant ! Le féminisme n’a pu se constituer et fonder sa sidération et son suprématisme sexuel que sur cet esclavage inné, ruisselant, ce féminisme latent qui vit et règne dans l’âme des esclaves de l’esclave. Arthur Schopenhauer : « La Volonté est le bon génie de l’espèce. Ce qu’elle vise à conserver c’est l’espèce, nullement les individus, dont elle se moque puissamment. Ceux-ci sont sacrifiés sur l’autel de la génération. »
Ainsi l’homme soumis au vouloir sera nécessairement soumis à la femelle de l’espèce car elle est toute entière conçue par le vouloir-vivre, corps et âme. Par sa néoténie et son hypergamie. Quant à sa « beauté », discutable, l’anglais autrement hardi l’appelle avec justesse le sex-appeal. Ce qui dit tout.
Cette soumission originelle de H à F est une donnée a priori de la nature humaine. Tous les hommes, qu’ils soient pro féministes ou anti féministes sont unis dans ce rapport sexuel ontologique. Je ne dis pas qu’ils se valent à tous les égards, mais uniquement devant cette question. Ceux qui portent les oripeaux de la Vieille Réaction, qui se posent en nostalgiques féodaux, voudraient-ils rétablir la primogéniture mâle ? Laissez-moi rire. Vous imaginez nos bourgeois pseudo-gentilshommes vouloir en revenir à la loi salique ?
J’en ai entendu dans le poste, un universitaire catholique de grande Tradition, monarchiste, rescapé de la Shoah vendéenne, qui dénonçait avec force devant des parterres fleuris, la Misogynie des Lumières et de la Révolution ! Ignorait-il, ce Philistin, la grande misogynie des Pères de l’Église ? De Saint-Paul, de Saint Augustin, de Saint Thomas d’Aquin : « La femme correspond au second dessein de la nature, de même que la putréfaction, la difformité et la décrépitude. » Aversion qui fait pâlir celle de Rousseau ou de Voltaire.
Les chevaliers servants de jadis, les champions de « l’honneur » des Dames faisaient régner les égards qui leur étaient dus. En vérité, ils représentaient le féminisme avant la lettre, mais ont été remplacé par lui. D’où leur désappointement ! Ils sont donc passés dans une opposition résolue à ce féminisme nationalisé, étatisé. On peut même dire que la stupidité « germano-chrétienne », voire germanopratine, a été la base du seul contre-féminisme un peu organisé. Que ce soit en proposant sous les jupes un féminisme de rechange, plus propre et plus distingué, pour les plus chrétiens. Ou en poussant une virile protestation masculine, pour les plus germains, qui aiment à se nommer eux mêmes « les macho-protecteurs ».
Il importe d’informer ces derniers que pour Arthur Schopenhauer « les peuples de l’orient » ne sont nullement les peuples de l’islam. Les macho-protecteurs professent que l’islam serait un rempart contre le « wokisme ». De l’art de se voiler la face devant les femmes voilées de l’islamo-féminisme. Messieurs, cette opinion misogyne revient à nier « la moitié du ciel ». Ce ne sont pas les bâchées à lunettes qui arrachaient rageusement les portraits de Lola, pour brandir ceux de Nahel qui ont soumis leur islamisme au féminisme, mais les féministes blanches qui se sont soumises corps et âme à l’islam inclusif, au racisme décolonial musulman. Le féminisme sous Burqa est pur de toute souillure mécréante. Rappelons que le woke désigne d’abord « l’égalité » raciale ! Le féminisme réel, présent est subsumé dans le Racisme. Les « racisés décoloniales » ne sont que les douces moitiés des mâles coraniques courroucées qui enrichissent au couteau leurs compagnes du vivre-ensemble. Car ils n’ont pas l’idolâtrie de « nos » femelles, c’est là leur moindre défaut. Et lorsque de malheureuses jeunes femmes sont égorgées dans une gare ou bien défigurées à coups de tesson de bouteille dans un jardin public le féminisme islamique nomme dévotement « Martyre » l’égorgeur, et « Patriarcat » le manieur du tesson.
Ce fameux patriarcat, dont les féministes actuelles nous rebattent les oreilles d’ânes, à les entendre, n’aurait jamais été aussi virulent qu’à l’époque de sa disparition. Que de pauvres demeurées crussent vivre de façon imaginaire dans un patriarcat, relève de la psychiatrie. Le Patriarcat, en première et dernière analyse, ne peut qu’être une société ayant inscrit dans sa coutume et dans sa Loi, une prévalence masculine. Cela a été à la fin du Néolithique, durant toute l’Antiquité, et même dans la féodalité qui était basée sur la primogéniture mâle. Mais l’époque bourgeoise déjà gynécocratique dans sa mentalité et ses mœurs, le deviendra dans le Droit synallagmatique qui dépouille le Fils au profit de la Veuve. Quant à la coutume, aux us, les fameux « stéréotypes » qui resteraient tenaces, qui continueraient de sévir nonobstant les Lois, l’on voit bien que « l’envie du Pénal » féministe, pose a priori que la clique des privilégiés et la crapule des gens d’État seraient infiniment plus évoluées que les peuples pétris de préjugés, auxquels il faut inculquer le féminisme à coup de trique, à coup de discrimination positive.
La Parité obligatoire, par exemple, n’est-ce pas d’abord réinvestir de la valeur la plus pourrie la plus pourrie de toutes les activités parasites, celle de politicard ? C’est-à-dire comédien du spectacle de la politique qui n’existe que pour détourner l’attention du pauvre monde de la vermine accrochée sur son dos. La féminisation de la malpropreté politicienne est bien d’une certaine manière un rajeunissement, puisque comme tous les parvenus, les femelles politicardes, émerveillées d’en être, apportent une certaine « fraîcheur » artificielle comme des déodorants bon marché, dans les cabinets ministériels ou les chiottes bouchées parlementaires.
Ce que ce féminisme change, c’est la place dans le monde des femmes les plus adaptées à ce monde, qu’on laissera intact, et même qu’on va magnifier. Par la statolâtrie et l’idolâtrie du capital, ces deux grandiloquences du philistinisme bourgeois et féministe. Le gouvernement féministe qui a octroyé la Parité obligatoire dans le même temps rétablissait le travail de nuit des femmes dans les usines ! Comme social on a fait mieux. La contraception, l’avortement ? C’est ça le progrès ? Le sanglant avortement et l’abjecte Pilule, potion de magie noire en vue du noir pullulement.
Il ne faut pas être anti féministe, c’est-à-dire secondaire à lui, il faut être dans l’affirmation, être un homme, être une femme. Authentique. C’est le pseudo féminisme qui est faux, et tout entier dans la négation de la vérité, de la réalité, de la vie, de l’amour, de la féminité, de la société, de la race, de la beauté, du langage. Il a « féminisé » la langue, c’est-à-dire l’a vandalisée, tuant son esprit et sa lettre, comme il tue les vouloir-vivre embryonnaires, suspendant la reproduction de la vie à son arbitraire, à son intime prurit. Son irrationalisme grossier est passé de principe métaphysique à la raison d’État.
Le féminisme, ce qui se cache aujourd’hui sous ce nom a priori aimable, pue. Et sa première puanteur a été de rajeunir la vieille merde bourgeoise discréditée, post 1968. Comme la grande Culpa, l’idéologie victimaire a aidé au réarmement moral et politique du capitalisme discrédité après la deuxième boucherie impérialiste. Les valeurs du féminisme et du capitalisme sont si parfaitement homogènes, que nous pouvons risquer cette analogie en disant qu’il est passé d’une domination formelle à une domination réelle. La première correspondant au féminisme maternel, démétrien comme le nomme Julius Evola, l’autre à ce féminisme d’État, ce féminisme total et totalitaire, dont nous avons un peu explicité la nature. Nous n’avons pas dit son nom véritable, qui est imprononçable.
Seconde citation :
Il est intéressant de remarquer, (…) que le côté ambigu, dangereux, de la substance féminine sous son aspect occulte est mis en relation avec la potentialité démétrienne (maternelle) de la femme, plutôt qu’avec sa potentialité aphrodisienne. Cela nous est confirmé par le fait suivant : selon une tradition pratiquement universelle, c’est sur la base des règles — phénomène lié précisément à la potentialité maternelle, non à celle aphrodisienne ou dionysiaque de la femme — que l’idée de la dangerosité magique prend le plus d’importance ; souvent, il s’agit ici d’une influence capable, non seulement de paralyser le sacré, mais de frapper le noyau le plus profond de la virilité. (Julius Evola, Métaphysique du sexe, 1958)
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Il existe une misogynie vulgaire basée sur le dégoût que peut inspirer certaines servitudes inhérentes à la femme en tant que mammifère. Car nous sommes, le genre humain, toutes races confondues, une espèce mammifère, ne vous déplaise. Ce sont les femelles qui portent les petits. Elles portent aussi mamelles, ce qui est l’étymologie du mot mammifère, « qui est pourvu de mamelles. » Elles sont donc laitières, et intimement réglées par le cycle cosmique, terre-lune. « Elle a ses lunes », « elle a ses époques » disait-on autrefois.
Rappels nécessaires en un temps où les fonctions naturelles impliquées par l’appartenance à cette classe mammifère, sont décriées comme des « stéréotypes » imposés par le Patriarcat. Ainsi, de par le génie irrationaliste du féminisme, les femmes ne sont plus détentrices intra uterinum pour quelques mois des enfants à naître, mais en sont les propriétaires, comme si elles les avaient crées ex nihilo, telles les pacha-mamas adulées par Bergoglio.
« Le droit des femmes à disposer de leur propre corps », l’infinie stupidité de cette expression redondante quand elle est liée à l’avortement ! Ainsi, après la négation des Lumières, on en revient à un Obscurantisme transcendant, à l’obscurité initiale des grottes. Les réactionnaires nostalgiques du Zoo de Versailles peuvent toujours s’aligner, ils ont trouvé leurs maîtresses dans les personnes des féministes.
Comprendre les époques
« Oh menstruating woman, thou’rt a fiend — from whom ail nature should be closely screened ! »
Le sens alchimique du mot menstrues était celui d’une liqueur dissolvante des métaux. Nous retrouvons cette symbolique des eaux dissolvantes comme principe féminin, dans la tradition hermétique. Symboliquement la submersion par les eaux amazoniennes corrode la virilité spirituelle, agit comme une transmutation contre-alchimique du métal masculin, qui va passer de nature noble à nature vile. Julius Evola nous montre que toutes les traditions qui ont eu une véritable densité métaphysique ont développées « L’idée d’une relation entre la substance de la femme, au moyen de ses règles, et l’univers d’une magie nocturne (non apollinienne) et de possibles influences psychiquement désagrégatrices. »
Ce n’est pas une idée de Julius Evola, mais une connaissance qu’il rapporte, un savoir initiatique. C’est donc le sexe au sens naturaliste, physiologique, qui est le plus néfaste pour la virilité spirituelle. On pourrait aussi bien le comprendre en référence à la métaphysique de la volonté de Schopenhauer. Nous avons vu qu’elle se traduisait par la dictature de l’Espèce sur l’individu. Donc de F sur H, en tant que substance et principe de la reproduction.
Cependant, ailleurs, Evola dit explicitement que si la Mère est la figure archétypale de la domination F, celle de la Courtisane, de l’Hétaïre va lui succéder. Aphrodite succède à Déméter et ce sera bien pire pour la virilité spirituelle. Celle ci va déchoir davantage car :
« La nature chtonienne et souterraine pénètre jusque dans le principe viril et va le dégrader au plan phallique. La femme domine maintenant l’homme en tant que celui ci devient esclave des sens et simple instrument de procréation » (Révolte contre le monde moderne)
Il importe de prendre conscience à quel degré de profondeur cette conception est antagoniste au mental de la résistance au féminisme actuel et au type masculin qui porte cette résistance. Car si j’avais le mauvais goût de traduire Evola en sabir contemporain, ce qu’à Dieu ne plaise, cela donnerait ceci : le féminisme aphrodisien réduit les hommes à n’être que des Bites. De simples fornicateurs et fiers de l’être. La Circé féministe transforme les mâles en cochons reniflant après les vulves. Il est patent que notre « féminsisme » est contre la famille, l’anéantit ; du coup la tentation de le penser et le critiquer comme aphrodisien est trop forte, surtout quand la Résistance puise ses forces réelles dans la protestation religieuse. Certes, ils ont raison sur un point, le « féminisme » que nous subissons n’est certes pas démétrien. Il n’est ni maternel ni sacerdotal, pour le moins.
Avortement qui anéantit la génération, qui met le nouveau né chrétien dans l’étable, sur la table sanglante. Pilule qui casse le Cycle, le cycle des Lunes, qui jette la femme-nature hors du cosmos. Le féminisme sévissant est certes afro-préférentiel mais est-il d’Aphrodisie pour autant ? « Non ! » a répondu avec hauteur, un seul : Don Juan. Le Don Juan unique de L’Enfer de Don Juan. Certes elle remplace le cycle démétrien par un cycle plus enfoncé dans l’âge noir, l’âge de Kali, qui est celui de la Destruction et du Sexe. Mais la gynocratie étatique n’est pas un âge d’érotisme, ce n’est pas le règne d’Aphrodite, mais de Mégère. Il serait même selon lui, par certains côté plus Salomé, dans la mesure où son impudicité même serait clanique. Et horriblement naturaliste quand son « vagin » monologue dans les théâtres subventionné, ou s’écarte atrocement comme pour un examen gynécologique dans la pornographie.
Pornographie qui est pour notre Don Juan, un procès pédérastique. La Castration féministe est dedans la subjugation pornographique. Ce que ni le féministe chrétien, ni le fornicateur ne savent voir. Que la position du consommateur du porno est celle de l’Impuissant, jouet du pornocrate, dans un pédérastique procès.
Au fond, le féminisme actuel est davantage aphrodisien, mais sans l’être, tout en l’étant davantage. Car il ne fait pas de tous les hommes des phallus, mais il les soumet à ceux là, car elles sont leurs servantes. Elles ne sont que les servantes sorcières du Très Vieux Père.
C’est heureux que LE féminisme soit du genre masculin, grammaticalement, car il l’est fondamentalement. Notre gynécocratie n’est pas un féminisme. Certes son apparaître, sa substance est femelle, O combien, mais son essence est masculine, il est le pouvoir d’un homme, le Vieux mâle dominant, ce Féminisme a servi dès l’origine l’ordre capitaliste le plus ancien, le plus parasite, le plus usurier, contre l’ordre fraternel des fils.