Par où commencer ? En fait, c’est pas le problème, puisque tout se tient. Quel que soit le côté par lequel on aborde l’actu, on retombe sur sa structure, c’est-à-dire, pour reprendre le parallèle qui parle/qui te fait parler, ce qui advient/ce qui fait advenir. Les mécanismes d’apparition de l’événement, une fois qu’on connaît les forces qui le déterminent, peuvent s’appliquer presque partout. Il n’y a de surprise que pour les ignorants ou les paresseux.

 

 

Tenez, la dernière blague de l’axe Gates-Tedros, soutenu par la coalition des médias collabos, c’est la variole du singe. On n’a même pas essayé de taper « variole du singe » pour savoir de quoi il s’agit, puisque les mécanismes de surgissement du covidisme sont les mêmes que pour le macaquo-variolisme. On sait donc que ça va servir de levier pour vacciner les récalcitrants à la rentrée et tenter de piquer tous les mômes, puisqu’un survol de cet article-psychose du Parisien nous dit que la vérole du babouin risque de tuer entre un et dix enfants sur cent. Les Romains appelaient ça la décimation.

Lisez si vous en avez le temps et le courage, nous on ne lit plus cette presse, sauf pour la rubrique Refus de Presse en Financement associatif. Rien ne se perd.

Nous, si on apprend que notre gosse chope la variole, on lui met une rouste direct. C’est l’effet Poutine.

 

 

Dans l’actu, il y a le covid, cette invention du Big Pharma qui soudoie les gouvernements pour vendre des milliards de doses d’effets secondaires, et puis le transgenre.
Le transgenre c’est un mec qui devient une fille ou une fille qui devient un mec (plus rare). Un mec qui devient un mec ou une fille qui devient une fille, ça marche pas. Exemple avec Marius :

 

 

Et puis il y a maintenant le Furet, une miss France potentielle (on rappelle que le furet est une créature artificielle, un truc créé par l’homme) :

 

 

Franchement, on n’y voit que du feu. Ensuite, on a trouvé d’autres photos où on sent plus la transition, mais la plupart des mecs s’arrêtent pas à ça : ils voient des cheveux longs, des gros nichons, et c’est bon.

Nous on est quand même plus méfiants, surtout qu’avec l’affaire Brigitte, on ne sait plus sur quel pied danser.

Leurs noms ont été jetés en pâture sur internet. Depuis plusieurs mois, Catherine et Jean-Louis Auzière sont la cible de comptes antisystème et antivax. Ils sont liés à la rumeur transphobe visant Brigitte Macron et qui circule sur les réseaux sociaux, par l’intermédiaire de ces comptes anonymes. Selon cette fausse rumeur, Brigitte Macron serait un homme et s’appellerait en réalité « Jean-Michel Trogneux », du nom de son frère. D’après la théorie, il ne s’agirait que d’une seule personne. (...)
Si elle a été liée à cette rumeur, c’est que son mari, Jean-Louis Auzière, a été l’oncle par alliance de Brigitte Macron pendant une dizaine d’années, lorsque celle-ci était mariée à André-Louis Auzière. « Il a épousé Brigitte le 22 juin 1974, au Touquet. J’ai côtoyé Brigitte jusqu’à la fin des années 80, je peux vous confirmer que ce n’est pas un homme » explique Jean-Louis Auzière. (Sud-Ouest)

 

Toujours dans le registre sexuel, mais de l’autre côté du progressisme, le joueur du PSG Idrissa Gueye a taclé la bien-pensance en refusant de jouer un match au profit de la lutte anti-homophobie. Aussitôt, n’écoutant que son légendaire courage, Valoche a sorti l’arsenal de l’OTAN : les sanctions !

 

 

On a vu comment ça marchait contre la Russie, alors la Valoche devrait un peu se calmer.
Le thread qui suit montre que Gazprom s’en met plein les fouilles, pendant que nos politiques parlent d’énergie verte, c’est-à-dire de coupures d’électricité.

 

 

Pour l’énergie non nucléaire et non russe, on a une idée : l’anguille électrique. Elle envoie du 860 volts. Après, faut un bon transfo. Une anguille dans chaque appartement, et la France est sauvée.

 

 

Mélenchon lui-même a été obligé, sous la pression de la branche écolo de NUPES (l’alliance des gauchismes qui va bientôt voler en éclats) de mettre la pédale douce sur le nucléaire :

 

 

Dépendance énergétique croissante à venir donc, traduction, pour les mal-comprenants : une énorme facture d’électricité. Comptez 50 % en plus, minimum, voire 100 %, comme pour les carburants.

Et dans les mal-comprenants, on compte évidemment ceux qui continuent à mettre le masque, ou qui l’ont mis en toute occasion. C’est le moment rire.

 

 

Après ce petit interlude de détente ludique, nous pouvons, puisque vos cerveaux sont disponibles, placer une pub. Ce sera une réclame pour des lunettes, mais tout le monde va comprendre, pas seulement les anglophiles.

 

 

On préfère nos cousins de Germanie comme ça plutôt que l’industrie militaire tournée vers la Russie. Car quand les deux géants de la plaque eurasiatique se frottent, en général, ça fait du tintouin et ça éclabousse tous les voisins qui se trouvent sur le chemin.
On appréciera en passant le jugement de Libé, le pire organe de propagande de la presse résiduelle française, sur Poutine et sa propagande...

 

 

Variole, singe, Brigitte, transgenre, nucléaire, Poutine, foot, Valoche..., on a abordé à peu près toutes les questions essentielles.
Il reste la canic, qui frappe fort et tôt cette année. En 2003, on a vérifié, à partir du 19 mai, on avait aussi assisté à des 30 degrés (mais dans le Sud-Ouest, principalement). On comprend donc les chocottes de ces jeunes bourgeois parisiens qui se mettent en grève contre la chaleur, et réclament la clim en extérieur.

 

 

Remarquez, on se moque des écolos jeunes, mais les écolos adultes, c’est pas mieux :

 

 

Allez, après l’extrême chaleur, on va finir sur une note à la fois triste et drôle, l’extrême solitude de notre ancien Premier ministre.

 

 

Conclusion : même pour le siffler ou le gifler, les gens n’y vont plus.