La chaleur humaine, y a que ça de vrai !

Nous sommes en Floride, en mars 2021, et pas sur les quais de Paris infestés de gauchistes en herbe(s) qui sifflent des bières tout en craignant l’arrivée de la police du masque. C’était pour dire qu’il y a, dans le monde d’après, encore des coins où la vie est normale, douce, vivante.

Rien de tel que de lui ôter une à une ses possibilités de bonheur ou de plaisir pour rendre un être humain fou, et c’est ce qui se passe avec la politique insanitaire de Macron et ses sponsors (BlackRock, GAFAM, FM et LS). Dans ce grand asile à ciel ouvert qu’est devenu notre beau pays, à cause d’une direction cliniquement dingue – ou sataniste, au choix –, se créent des îlots de normalité et de résistance. Ils veulent qu’on s’entre-déchire ? On augmente la solidarité.

Dans ce nouveau monde, qui sort de l’ancien, il y a des gagnants et des perdants, des têtes qui émergent et des têtes qui tombent. C’est ce qu’on appelle une révolution, et on est en plein dedans. Valls, qui sent encore le sang des attentats de 2015, essaye de revenir dans le jeu, et le bougre ose se victimiser. C’est la mode, que voulez-vous.

Comme l’agent Valls, beaucoup de nos hommes politiques traditionnels sont restés de l’autre côté du fleuve, sur la rive du Passé, mais ils ne le savent pas. Xavier Bertrand se présente en 2022 ? Zéro impact. Marine Le Pen, qui attend son heure – qui ne viendra probablement jamais –, accepte la dictature sanitaire mais pas les racailles. On a les combats qu’on peut. Le sage disait : Dieu a créé le chat pour que l’homme puisse caresser le tigre.

On aurait préféré Nous neutraliserons les GAFAM et nous leur interdirons de censurer, ou Nous neutraliserons BlackRock et le Big Pharma (qui sont corrélés) et nous leur interdirons de nous donner des ordres. Mieux : Nous interdirons la franc-maçonnerie et nous leur interdirons de comploter ! Tout de suite, ça change la dimension du combat, non ? On passe de pas très noble à noble, de petit à grand. Ça nous rappelle le match de rugby des profs contre les mômes...

Que les tristes, les dépressifs et les défaitistes ne croient pas que le match est plié, malgré l’énorme différence de moyens entre Eux et Nous. La différence se fait sur la foi, et dans ce domaine, on est imbattables. Mais il faut pour cela d’abord se faire marcher sur la gueule, cela fait partie du combat (ce qui ne te tue pas...), c’est à ça qu’on mesure la différence de niveau, le préalable à toute résistance active. Ensuite, on s’adapte, on apprend à parer les coups, puis à en donner. Tout est une question de patience. Mais chaque coup évité, chaque coup donné regonflent le moral, augmentent la force et sont un pas de plus sur le chemin de la victoire finale.

Attention, on n’a pas dit que ce serait facile, la Bête ne lâchera pas le pouvoir comme ça, juste en lui demandant poliment, un peu à la manière de Chouard. Nous n’avons rien contre Chouard, bien au contraire, mais aujourd’hui, d’autres temps impliquent d’autres méthodes. La victoire ne se demande pas à l’adversaire : elle s’arrache.

Beaucoup de Français ignorent qu’ils sont en guerre, ou plutôt qu’on est en guerre contre eux. Ils ne voient pas l’adversaire, l’ennemi, et pourtant ils prennent des coups. C’est comme si un boxeur invisible tabassait à la France. Tant que les Français ne le voient pas, ils n’y croient pas. Et pourtant les coups pleuvent, tous les jours que Dieu fait ! Une rafale de directs dans la gueule, mieux, de coups bas, dans le foie, dans les couilles ! Car non seulement l’adversaire est caché, mais il fait aussi l’arbitre, car il n’a aucune morale. Déloyal jusqu’à l’os, il triche pour gagner, pour tuer.

L’ennemi veut tuer la France, c’est un fait. Pour cela, comme il n’est pas assez fort, il cherche à ce que les Français s’entre-tuent. Mais le combat ne se fait pas à coups d’obus et de balles. Tout se fait par la voie politique, par la voie médiatique. Les coups pleuvent du gouvernement et des médias mainstream, ces deux gros canons de l’ennemi.

Alors, résistons ! Ne nous laissons pas insulter, rabaisser. Esquivons, répondons, pour contre-attaquer un jour. Si l’on n’accepte pas la défaite, on ne peut pas perdre.