C’est étrange : dès que les Français recommencent à grogner, les autorités qui nous aiment et nous protègent recommencent à parler confinement et terrorisme. Le Parisien, fidèle à l’axe Intérieur-CRIF, a dégainé trois pages dans le plus pur style terroristo-sioniste. Il était question de serrer la vis, de nommer l’ennemi, l’ennemi intérieur : non, pas le sionisme qui tient tout, bande de comploteurs, mais l’islamisme qui tient les cités pauvres et les mosquées des caves.
Convergence des luttes entre covidisme et islamisme
C’est sûr que de laisser pourrir ces quartiers pour ensuite avoir un ennemi tout désigné, c’est tout confort pour la dominance qui peut dormir sur ses deux oreilles taillées en pointe ! C’est le Hamas des banlieues qui joue le rôle de sparring-partner du sionisme au pouvoir, on croirait rejouer la partition israélo-palestinienne ! Et qui c’est qui montre sa tronche défigurée par la haine dans ces moments-là ? L’ancien Premier ministre Manuel Valls, dit Manu la tremblote ! Alors que ce bouffon du CRIF ne joue plus aucun rôle dans notre pays, voilà que le journal parisien le ressort de sa boîte, avec son alter ego Cazeneuve, pour nous avertir du prochain danger : non, pas le Covid-20, mais le terrorisme islamiste.
Parce qu’il faut vous dire, que chez ces gens-là, on ne croit plus trop aux effets positifs du Covid-19 : les Français n’en peuvent plus de cette arnaque infantilisante, même s’ils mettent des masques. Ils sentent qu’on les entube de plus en plus profond depuis des mois, qu’on se fout de leur gueule, qu’on leur raconte des craques, qu’on les mène à l’abattoir. En ce moment, depuis la punition du tout-Marseille, on sent poindre le début d’une révolte. Véran est à deux doigts de commencer son 4 x 110 mètres haies dans la capitale en sortant du ministère de la Santé, rue Duquesne, dans le très chic VIIe arrondissement.
Véran, c’est l’homme facile à détester, c’est le père Fouettard, le bad cop, celui par lequel le sadisme gouvernemental passe et sur lequel cristallise toute la rage populaire. Même Bigard, l’ex-général de Gilets jaunes, ne peut plus le saquer :
C’est vrai que Véran se prend pour le flic de la nation, alors qu’il n’est que l’employé du Big pharma :
En concertation avec les élus marseillais : les bars et restaurants fermeront dimanche soir. Dans sept jours, après une nouvelle analyse des indicateurs, si la situation s’améliore nettement, nous en tiendrons compte. Sinon, la fermeture sera prolongée de sept jours.
— Olivier Véran (@olivierveran) September 25, 2020
"Qu'est-ce qu'on a fait de mal ?" : le coup de gueule de Philippe Etchebest contre la fermeture des bars et restaurants à Aix-Marseille #ApollineMatin pic.twitter.com/NsrsTp3m5L
— RMC (@RMCinfo) September 24, 2020
Remarquez, l’expérience de soumission de la nation est sociologiquement et psychologiquement intéressante : jusqu’à quand le troupeau va-t-il obéir aux injonctions des ministres sadiques sans réagir ? Ça grogne bien ici et là mais globalement, ça obéit. Et cela peut avoir deux sens : une soumission durable sous les coups de bâton du terrorisme sanitaire et du terrorisme islamiste (sous faux drapeau), ou alors une incubation avant la ruade, avant l’explosion. Personne ne peut prédire l’avenir, qui est la résultante de milliards de milliards d’interactions. Mais on aperçoit quand même quelques bulles remonter à la surface du volcan.
C’est le moment où les people, qui perdent leur job par wagons entiers, devraient intervenir. Au lieu de faire des pétitions à la con pour les migrants qui viennent nous poignarder, ils devraient s’occuper de leurs théâtres et de leurs cinémas qui sont en train de crever, poignardés par le néolibéralisme prêt à sacrifier l’industrie productive et l’industrie du divertissement pour saigner les gens, leur saigner le moral. Car c’est une saignée, une guerre, ne l’oublions pas.
Pour l’instant, les people, ceux qui peuvent donner le signal de la révolte, ne bronchent pas. Certains ont encore du fric planqué à gauche, mais le matelas devrait fondre rapidement. On verra bientôt des acteurs monter au filet pour réclamer une rallonge. La Bachelot leur a lâché 432 millions d’euros il y a un mois, mais quand tout ce fric public sera bouffé, comment réagiront les copains et les copines du petit Bedos ? Parce que le président de l’Ordre des médecins, Patrick Bouet, lui, nous promet une terreur durable :
« Mercredi, Olivier Véran a choisi un langage de vérité mais il n’est pas encore allé assez loin. Il n’a pas dit que, si rien ne change, dans trois à quatre semaines, la France va devoir affronter, pendant plusieurs longs mois d’automne et d’hiver, une épidémie généralisée sur tout son territoire »
- On a dit pas le visage !
Et hop, un maillon de plus dans la chaîne Lévy-Buzyn-Salomon-Hirsch-Véran-Cymes-Lacombe, tous ces amis de l’humanité, prêts à tout pour sauver leur prochain... Ils sont surtout prêts à tous les reniements, tous les mensonges les plus grossiers, toutes les menaces les plus perfides pour nous vendre leur virus oligarchique, leur saloperie d’OMS, leur terrorisme sanitaire. Ces gens sont malades, ils se prennent pour nos dirigeants mais ne sont que nos virus, des virus injectés dans la population via les médias par les forces du Mal, y a pas d’autre mot.
En attendant, il pleut sur la France, et ceux qui mettent encore le masque devraient se poser des questions, comme Silvano :
qui accepte de passer sur ma chaîne pour m’expliquer son efficacité sous la pluie ? Parce qu’un préfet l’y oblige ? Pour ne pas avoir d’amende !! Quand des décrets obligeants le port du masque à l’extérieur en cas de pluie vont à l’encontre des directives ministérielles !! pic.twitter.com/kXN8BkXDpI
— SILVANO (@silvano_trotta) September 26, 2020
Au fait, Véran, les vaccins bidon de tes employeurs, ils en sont où ? Tenez, on va lui envoyer un sympathique missile de la part des antivax radicaux. Il y a du vrai dans ce que dit Schaller, mais aussi de l’exagération. On ne pense pas que Bill Gates veuille réduire la population mondiale car ce qui l’intéresse, lui et les puissances qu’il représente, c’est de vendre du vaccin à toute la Terre, et réduire les milliards d’êtres humains à l’état de consommateurs de médicaments ou de vaccins qui diminuent l’immunité.
Un peu comme quand l’État a interdit le duel et le port d’arme : un moyen de défense personnel a été retiré au profit des forces de l’ordre, et donc des régimes qui les détenaient. Même chose avec l’immunité, cette défense personnelle naturelle : le vautour du Big pharma lorgne dessus, sans oublier les GAFAM qui s’intéressent aux datas de nos organismes. Le génocide planétaire ourdi par Bill Gates, c’est too much. En même temps, quand on a été pote avec Epstein, on ne peut pas être sain d’esprit !
Nous vivons un moment inédit de l’histoire de France, mais aussi de l’humanité. Personne ne peut prédire ce qui va sortir de la botte du Destin ces prochains temps, c’est pourquoi il est nécessaire de faire fonctionner notre conscience, pour bien comprendre la trame des événements en cours. Il est indéniable que le régime démocratique est une farce, et que les coups les plus durs sont portés par les oligarchies à « leurs » peuples parce que leur pouvoir est remis en question par la parole libre (ou ce qu’il en reste) sur l’Internet. C’est pourquoi la gouvernance mondiale est en train de dénoncer les échanges horizontaux derrière une critique bateau des GAFAM, une critique à la Mike Moore :
Un à un, tous les représentants officiel de l’oligarchie, qu’elle soit mondiale ou nationale, révèlent leur duplicité et leur nocivité. Ainsi, le secrétaire national des Nations unies vient de sortir une connerie qui vaut bien celle du type à la tête du Conseil de l’Ordre des toubibs :
« Pourtant, le cinquième cavalier se cachait alors dans l’ombre. Depuis janvier, le cavalier de la pandémie de Covid galope dans le monde entier. Il a rejoint les quatre autres cavaliers et accru la force destructrice de chacun d’entre eux »
Il est temps de ne plus écouter ces escrocs et de se prendre en charge, non ? Il y a heureusement des élus qui ne marchent pas dans la combine, on pense au maire d’Aix-en-Provence, Maryse Joissains, qui a défouraillé sur le gouvernement, qu’elle accuse d’être responsable de la crise sociale qui vient :
« Leur rôle est de protéger, de prévenir, voire de sanctionner, mais pas d’instaurer un climat anxiogène comme cela ! Les gens ne vont plus vouloir mettre leurs enfants à l’école, les commerçants vont faire faillite ! Il faut calmer les gens, ils font tout le contraire. Là, on dérape, moi je dis : ferme-la, Véran ! La haute administration est en train de devenir folle. »
Bon, la journée de retrait du masque, c’est pour quand ?