Au début de cette rubrique on s’est dit, on va y mettre gentiment tout ce qui ne rentre pas dans l’actu prestigieuse, on va faire une sorte de poubelle hebdo mais présentable. Et puis la poubelle a débordé, et maintenant on ne sait plus où donner du tri : tout le monde balance ses ordures à droite à gauche, c’est devenu une décharge du tiers-monde (tiens, ça se dit plus), un vrai camp de Roms ! Les événements ne respectent rien !
Donc, au premier dimanche de septembre, la France est toujours masquée, le gros de la population croit à ses dépens à l’énorme mensonge de l’oligarchie, qui a pourtant prouvé sa malignité, sa nocivité, sa vilenie profonde. Mais ça ne suffit pas, le gros du troupeau n’a pas assez souffert, faudra être patients, du côté de la résistance.
C’est pour les enfants et les anciens qu’on s’inquiète, parce que eux sont les plus fragiles, psychologiquement et physiquement. Les premiers ne savent pas pourquoi on les étouffe en classe, les seconds étouffent tout seuls dans les rues. Manquerait plus qu’on ait des morts, tiens...
Véran et sa bande de menteurs ont intérêt à s’inscrire au premier club de 100 mètres haies (il y a des obstacles en ville) qu’ils trouvent, c’est un conseil d’amis, mais d’amis sincères, hein.
Allez, on va se passer un morceau de musique, histoire d’adoucir nos mœurs. Rien de tel qu’un petit Jan-Seb qui joue du Glenn Gould, si notre mémoire est bonne.
Voilà, ça va mieux, on en veut moins à ce Quasimodo de Véran. Encore un peu, mais on s’améliore. Attention, on ne va pas renoncer à notre colère, c’est tout ce qu’il nous reste, c’est un peu un trésor. La colère est un carburant pour faire des choses, souvent petites, parfois grandes.
Regardez le Christ, qui dégage à coups de tonfa les marchands du Sentier qui squattaient la synagogue ; sa colère, il ne l’a pas mise dans sa poche et il a changé le monde. Marx aussi, mais un peu moins depuis qu’on a lu Guyénot. Allez, on se remet un bout de piano parce qu’il nous reste un bout de Véran entre les dents, le bouffon qui a prévu une hausse des admissions en réa ces 15 prochains jours.
« L’hospitalisation et l’admission en réanimation n’est que le reflet de la situation épidémique d’il y a deux semaines. Donc il est évident que dans les quinze prochains jours, il y aura une augmentation, pas massive mais il y aura une augmentation quand même, du nombre de cas graves, d’hospitalisations et d’admissions en réanimation. »
Pas massive, mais une augmentation quand même... Quel bouffon ! Et c’est ministre... Véran, avec son terrorisme sanitaire, est en train de se fabriquer un futur à la Valls, le mec qui peut plus marcher tranquille en France sans regarder derrière son dos en permanence.
C’est le lot, quand on montre une telle détestation des Français et un tel amour du pouvoir profond. Mais mais mais, on ne peut pas servir le peuple et le pouvoir profond. Valls, qui est théoriquement chrétien, devrait le savoir. À moins qu’il n’ait été converti en secret...
« Comme toi j’ai dû avoir une éducation catholique chrétienne et ensuite, grâce à l’école publique on s’émancipe de tout ça »(Manuel Valls à Benoît Hamon en 2017)
Normal, l’école publique c’est la franc-maçonnerie obligatoire jusqu’à 16 ans ! On voit où ça a mené Valls : garçon de courses du CRIF. Mais ne nous ré-énervons pas. Après la musique, vite, l’autre médecine contre la douleur existentielle : l’amour !
Ah non, ça c’est pas l’amour, c’est l’humour, pardon. Vite, Samuel, l’amour !
Ah, ça fait du bien, ce nouveau couple de la révolution orange biélorusse... BHL, dans tous les bons coups, hein ! Elle est bonne, la Svetlana ? Le Bébert (on commence à devenir familiers), on va pas trop l’arroser car il vient de s’attaquer au masque et d’un coup, ça le place dans le camp des good guys, le nôtre. Il faut savoir faire des ententes, même provisoires, contre un ennemi commun (ce Quasimodo de Véran).
On va monter en gamme avec l’humour, parce que le coup du migrant qui a chopé un thon blanc de 200 kilos en Méditerranée, ça commence à s’user. Merci en passant à notre monteur de détournements, que Dieu le protège. On lui a demandé de commettre ce qui suit, mais si jamais la paire Harris-Biden gagne le 3 novembre, on est carbonisés : le vieux pédo et la fausse blackette vont nous envoyer ad patres via un drone Raptor !
C’est bien sûr de la caricature, dont le principe est le grossissement, ou la démesure. On grossit un trait, et ça fait rire. Ou pas. C’est l’humour le plus simple, le plus con.
Au-dessus il y a le détournement, le remplacement d’un élément par un autre, qui change le sens du truc d’origine. Par exemple, ce serait ce vieux porc de Joe avec une petite Kamala, une Kamala d’un mètre de haut.
Enfin, il y a le retournement, qui prend le contre-pied total du départ. Ce serait Joe avec Trump en colistier.
Mais on n’est pas ici pour faire de la théorie. L’actu n’attend pas. On va passer aux tweets, c’est plus confort. D’abord, les gestes barrière et la distanciation, bien respectés par les étudiants lyonnais :
Des amphithéâtres remplis, des étudiants assis par terre... les mesures de distanciation sociale sont difficiles à appliquer à l'université pic.twitter.com/Vx8hvJXxZ4
— BFM Lyon (@BFMLyon) September 2, 2020
C’était juste un message à caractère informatif pour le Véran de Quasimodo. Et bonjour en passant la Dompnier, la dirlo à l’écriture inclusive qui gère le bordel à Lyon 2, la fac de toutes les grèves grâce aux antifas.
Leurs cousins américains foutent le même bordel, mais en plus grand, et avec des armes. Résultat : un supporter de Trump abattu.
Remember, @CNN & nearly all of the MSM has spent months defending antifa.
"We got them right here. We got a couple right here."
"Pull it out !"
"Right here ?"
*shots fired*
And an innocent Trump supporter is killed by a leftwing anarchist. #BidenRiotspic.twitter.com/rKr38gc1YC
— Donald Trump Jr. (@DonaldJTrumpJr) August 30, 2020
Pour info, l’antifa qui a tiré sur le pauvre homme a été lui-même abattu plus tard par la police qui venait l’arrêter : il a dégainé son arme, ce qui a signé son arrêt de mort. La campagne américaine est bien partie, et surtout en sucette.
On va retraverser vite fait l’Atlantique en imagination et atterrir à Vallauris, où Annie Cordy s’est éteinte, après 92 ans d’une vie palpitante. La Belgesse aura touché à tout, chanté, dansé et joué, pour finir anoblie. Certes, elle faisait pas du Jean-Seb, mais il en faut pour tous les goûts, et la Cordite avait un talent d’actrice qui a été puni par le cinéma gauchiste.
C’est vrai qu’Annie, c’était plutôt Chaud Ananas (mais on n’a plus le droit, le CRIF y veut pas) ou ça :
Comme quoi l’amour du peuple ça peut vous flinguer une carrière dans un cinéma noyauté par les antifascistes.