L’entité israélienne, raciste comme pas deux, refuse les vagues migratoires que ses relais associatifs imposent aux pays européens mais accueille toute l’escroquerie du monde, du moment qu’elle est de bonne confession.
Les grands escrocs de la taxe carbone n’ayant pas été extradés vers la France car il n’y a pas d’accord à ce sujet avec la France... Une belle leçon de vivre ensemble international ! Quant à la définition du réfugié selon la bande à Netanyahou, elle vaut son pesant de shekels.
Heureusement que la France est un pays accueillant, avec tout le monde, même ceux qui ne le sont pas...
Dernière remarque, et pas des moindres : on sait que le Grand Israël inclut dans l’esprit des sionistes une partie du Soudan et de l’Érythrée, dont les conflits frontaliers incessants font fuir les populations. Si ces Africains pouvaient partir en Europe plutôt que dans l’entité israélienne, ce serait tout bénéfice pour les maîtres de Tel-Aviv. Et ça semble être le cas.
Plus de 42 000 migrants africains vivent en Israël. Une majorité est issue de l’Érythrée ou du Soudan, des pays en guerre. Mais les chances pour que leurs demandes d’asile soient acceptées sont pratiquement nulles.
Il n’est pas bon être réfugié en Israël où les demandes d’asile sont systématiquement rejetées, sans justification fondée. C’est ce que dénonce le dernier rapport publié en octobre par Hotline for refugees and migrants, une organisation non gouvernementale israélienne de défense des droits des réfugiés.
Selon des statistiques avancées par l’association, entre 2009 et 2017, seulement 52 personnes, dont une minorité d’Érythréens et de Soudanais, ont obtenu le statut de réfugié sur près de 11 000 demandes.
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« Les méthodes utilisées par le ministère de l’Intérieur ont apparemment pour but de rendre les demandeurs d’asile peu crédibles » note le rapport. « Les entretiens durent de longues heures en se concentrant sur des questions mineures et des détails insignifiants ou marginaux dont le migrant n’est pas sûr de se souvenir ».
La Convention de Genève définit un réfugié comme une personne qui craint « avec raison d’être persécuté du fait de sa race, de sa religion, de sa nationalité, de son appartenance à un certain groupe ou de ses opinions politiques » dans le pays dont il a la nationalité où il réside. Mais bien que signataire de la convention, Israël semble avoir établi une autre définition de ce qu’il considère comme réfugié ou persécuté dans le but de rejeter un maximum de demandes d’asiles.
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Politique anti-immigration
Le Système d’asile israélien reflète la politique antimigratoire du Premier ministre, Benjamin Netanyahou, pressé par les nationalistes de la coalition au pouvoir. En septembre 2018, selon un sondage du centre de recherche américain Pew Research Institute, 57 % des Israéliens interrogés étaient opposés à l’acceptation des réfugiés qui sont souvent traités « d’infiltrés » cherchant « à exploiter le système social ». Le terme d’« inflitré » n’est d’ailleurs pas anodin. Il désignait initialement les Palestiniens qui venaient travailler en Israël après 1948.
Un discours politique que le Premier ministre assume volontiers.
« Il n’y a pas de problème de demandeurs d’asile en Israël. Ce sont des travailleurs clandestins immigrés. Nous n’avons pas besoin d’ouvrir nos portes pour être submergés par la façon dont d’autres personnes gèrent leur économie » a-t-il affirmé lors d’un entretien en marge de l’Assemblée générale des Nations unies en septembre.