Alors que le risque de guerre civile en France parvient à un niveau encore jamais atteint, bien des voix se font entendre pour dénoncer les exactions nombreuses et en tous genre de bandes de jeunes issus de l’immigration. Au-delà du constat, l’analyse doit s’imposer. Il ne suffit pas de déplorer les effets, il faut déterminer les causes, surtout lorsque celles-ci continuent d’être chéries par tous ceux qui ont mis la France et les Français dans l’ornière.
Précurseur, Alain Soral a dénoncé dès 2002 le fascisme des banlieues dans son ouvrage Jusqu’où va-t-on descendre ?, réédité avec Socrate à Saint-Tropez (2003) en un seul volume. Tout y est, à commencer par la responsabilité de l’intelligentsia de gauche, qui s’est drapée si longtemps dans sa vertu affichée ; sans oublier le patronat, la droite, et à l’arrivée tous les « z’y va » qui font le jeu des destructeurs de nations…
Extraits :
Banlieue (1)
[…]
Le regroupement familial ne fut pas une naïveté humaniste de grand bourgeois qui plane, mais un projet pervers, dégueulasse : transformer les banlieues rouges à très forte conscience et solidarité de classe (avec un PCF à 30 %) en banlieues beurs.
Car on ne dira jamais assez à quel point la maghrébisation, l’africanisation, la tiers-mondisation de la France ont fait baisser vertigineusement le niveau de civisme et de civilité de la population française. À quel point ce recul du niveau de conscience démocratique fut voulu par le patronat et le pouvoir : des voyous et des abrutis plutôt que des ouvriers conscients de leurs droits… et de leurs devoirs.
Il y a eu un procès Pétain, on peut rêver d’un procès Giscard.
Banlieue (2)
Et fascismeSi le fascisme est le règne de la violence et de l’arbitraire, ne peut-on pas parler de fascisme à propos de ce que font subir les z’y va au peuple des banlieues sous le regard complaisant de l’intelligentsia de gauche, championne de l’antifasciste ?
Délinquance (2)
Le rôle catastrophique de l’éducateur gauchisteUne des causes de la délinquance de la nouvelle jeunesse des banlieues rarement évoquée, c’est le rôle catastrophique joué depuis plus de trente ans par l’éducateur gauchiste, issu de Mai 68.
Depuis trente ans, qu’a-t-il fait sinon inculquer au jeune :
• Le mépris de l’éducation, au nom du spontanéisme qui veut que la jeunesse ait toujours raison, pourvu qu’elle se laisse aller à ses pulsions. […]
• L’antipaternalisme, qui ne veut voir dans le père que le castrateur et dans les anciens des vieux cons. […]
• Mépris de la France, né de la culpabilité coloniale d’une génération qui n’y a pas participé […].
Culpabilité coloniale érigée en mépris absolu de la France et de son histoire […].
Mépris de la France dont le corollaire est :
• Le mépris du sens civique, assimilé à une extension du nationalisme. […]
[…]
Pas étonnant, après trente ans de ce travail de sape, que des gamins paumés – transplantés dans des lieux sans histoire, avec pour exemple douloureux des pères esclaves, pour avenir la crise, dans un ex-pays ennemi, donc en quête plus que quiconque de repères, d’autorité et d’éducation – aient développé un tel mépris de la France et des Français.
Pourquoi respecteraient-ils des gens qui ne se respectent pas eux-mêmes (ni leur pays, ni leurs valeurs) ? Des gens qui jouent systématiquement contre leur propre camp ?
[…]
Voyou
d’hier et z’y va d’aujourd’hui[…]
Le z’y va d’aujourd’hui est le premier voyou qui méprise la France. La France des nantis comme la France du peuple ; crachant aussi bien sur les petites gens qui travaillent que sur leurs tourmenteurs […].
Alain Soral était l’invité de Thierry Ardisson dans Tout le monde en parle le 13 avril 2002 afin de parler de son livre Jusqu’où va-t-on descendre ?
Le passage sur la banlieue commence à 10’30 (la vidéo commence automatiquement sur le sujet) :
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