La langue anglo-américaine prend un mot simple et vaste, à la fois verbe et nom commun, comme « set » (poser) et lui donne un sens différent en fonction du contexte. Aucune précision à la française, appel puissant à l’intuition et à l’interprétation de l’auditoire ; c’est pourquoi l’Anglais a cette réputation de perfidie : il peut faire passer n’importe quoi dans son discours, se dédire de promesses, faire des « lois » sans formulation exacte, aux objectifs cachés, interprétables à la tête du client par la police ou le juge (mascarade, confinement de bestiaux, obligations vaccinales, avortements).
Sunset : le crépuscule, le coucher du soleil.
Un « set » de table : un napperon sous l’assiette
L’idée, c’est l’état « posé là » de l’objet, le repos (du soleil).
Reset : réinitialisation d’un robot, sens courant. Remise de la pendule à l’heure. Réorganisation générale. Travail d’artiste ou salopage, tout dépend de l’ouvrier.
Le reset est un travail d’horloger. Comme le sunset est l’œuvre du Grand Horloger.
Le repos du soleil, c’est la nuit.
Bill Gates, Rothschild et Soros se prennent pour le Grand Horloger. Ils arrêtent le tictac à minuit, l’heure du crime. Trump voudrait reprendre le travail à zéro heure une seconde pour assécher son marécage à malaria, sans trop fâcher le banquier. Il va sans doute laisser le trio maléfique continuer de désorganiser l’Europe dont la France qui a, n’est-ce-pas, « tout pour réussir » le reset à la kill bill. Il ne faut pas fâcher les hyènes, dit le lion.