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Dix siècles ensemble : 1 000 ans de relation franco-russe

Le 28 octobre 2024 marque le centenaire de l’établissement des relations bilatérales entre Paris et Moscou, devenue capitale de la jeune Union soviétique. Pourtant, les relations entre la France et la Russie sont beaucoup plus anciennes : d’Anne de Kiev à nos jours, dix siècles d’histoire unissent les deux peuples. Quelles ont été les étapes marquantes dans l’évolution de cette relation ? Xavier Moreau et son invité, Édouard Husson, historien, expliquent en quoi la mésentente contemporaine constitue une rupture historique, allant à l’encontre des intérêts convergents des deux pays.

Au début de ce mois d’octobre, le président Macron s’est réjoui de la formation d’une brigade ukrainienne baptisée spécieusement « Anne de Kiev » pour combattre la Russie. Pourtant, et de façon paradoxale, le mariage de cette princesse de la Rus’ avec le roi capétien Henri Ier est le meilleur symbole des liens unissant la France et la Russie. L’idéologie dans les relations bilatérales a toujours desservi les intérêts communs et porté de graves préjudices. La vision pragmatique, quant à elle, contribue incessamment à la prospérité et peut se résumer à cette phrase du général de Gaulle : « Il est de l’intérêt de la France d’avoir de bons rapports avec la Russie. Ça a toujours été une bonne période de notre histoire, quand la France était en étroite relation avec les Russes. »

 

 

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44 Commentaires

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  • #3446229
    Le 30 octobre à 10:42 par Pierre
    Dix siècles ensemble : 1 000 ans de relation franco-russe

    Les élites politiques françaises ont parfaitement compris QUI essaye de dresser les Russes contre les Français et réciproquement. Cette opération de domination triangulaire ne fonctionne pas sur eux. Quant aux autres, ils comprendront qu’ils ont été manipulés le jour où ils passeront de la classe moyenne à la classe de "ceux qui ne sont rien" ( Manu Macron ).

     

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  • #3446258

    M. Moreau : pour être synthétique, on ne peut comprendre "dix siècles ensemble" sans se pencher sur "deux siècles ensemble"...

     

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  • #3446300
    Le 30 octobre à 13:48 par anonyme
    Dix siècles ensemble : 1 000 ans de relation franco-russe

    Anne de Kiev n’avait absolument aucun sang russe, elle était suédoise.

     

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    • #3446490
      Le 30 octobre à 20:13 par Merlin
      Dix siècles ensemble : 1 000 ans de relation franco-russe

      Anne de Kiev, fille de Iaroslav le sage, n’avait pas de sang russe ? N’importe quoi. Seule sa mère était suédoise.

       
    • #3446571
      Le 31 octobre à 03:25 par anonyme
      Dix siècles ensemble : 1 000 ans de relation franco-russe

      Iaroslav le Sage, grand-prince de la Rus’ de Kiev de la dynastie des Riourikides. La dynastie des Riourikides est d’origine varègue c’est-à-dire scandinave.

       
    • #3446769

      Aucun sang russe ? Anne était de la lignée de Riourikides, certes d’origine varègue mais installée en Russie depuis deux siècles. Ils se sont convertis au christianisme, ont adopté la langue slave, l’alphabet cyrillique et se considéraient comme russes pas comme "suédois".
      D’autant plus qu’à cette époque la Suède n’existait pas, elle a commencé à être formée plusieurs siècles plus tard. La haine vous aveugle mon cher.

       
    • #3446807

      Le sang russe est en partie d’origine scandinave... C’est un mélange.

       
    • #3446961
      Le 31 octobre à 19:47 par Robert
      Dix siècles ensemble : 1 000 ans de relation franco-russe

      L’anonyme a encore frappé !

      Il ne sait pas que les Russes sont des descendants de Vikings, les Varègues, et de Slaves, mêlés à des Mongols. Le "sang russe" est donc composite, et une de ses composantes est scandinave.
      Le mot "Russie" vient d’ailleurs du scandinave "rodslagen" (le pays du gouvernail) qui a dérivé en "Rus".

       
    • #3446971

      Toute l’élite russe est d’origine germanique (suédoise puis allemande). Avec quelques ajouts ensuite de Lituaniens, Polonais et Géorgiens.

       
    • #3447077
      Le 1er novembre à 03:44 par anonyme
      Dix siècles ensemble : 1 000 ans de relation franco-russe

      Les ignares ont frappé, slave veut dire en anglais esclave.

       
  • #3446348
    Le 30 octobre à 15:30 par bonnet Phrygien
    Dix siècles ensemble : 1 000 ans de relation franco-russe

    C’est simple :à chaque fois que nous suivons la politique anglo-saxonne:nous l’avons dans le baba.
    Combien de fois celà durera-t-il encore avant que nous le comprenions ?
    Autre chose aussi:Talleyrand a préféré s’allier avec l’Autriche,qui pourtant nous a toujours trahie plutôt qu’avec la Russie.
    Oui,nous sommes plus proches de l’esprit russe que de l’esprit des anglo-saxons,il n’y a qu’à lire leurs littératures respectives pour le comprendre.

     

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    • #3446575
      Le 31 octobre à 03:34 par anonyme
      Dix siècles ensemble : 1 000 ans de relation franco-russe

      "l’Autriche,qui pourtant nous a toujours trahie plutôt qu’avec la Russie.".
      En effet l’Autriche défendait l’Europe chrétienne à Lépante et aux sièges de Vienne, quand la France était alliée aux ottomans !

       
  • #3446355
    Le 30 octobre à 15:40 par cinéphage
    Dix siècles ensemble : 1 000 ans de relation franco-russe

    J’ai toujours été étonné que l’Allemagne n’aie pas profité de la défaite de Napoléon en 1815 pour récupérer l’Alsace annexée par Louis XIV en 1681, c’était l’occasion inespérée . Je viens d’apprendre récemment que c’est le tsar Alexandre 1er qui s’y est opposé, probablement pour ne pas trop avantager la Prusse qui avait déjà obtenue une partie de la Rhénanie . Les Prussiens attendront 1871 pour la récupérer . Cette vieille terre germanique l’est restée en profondeur, ce qui le prouve c’est que tous les noms des villes et des villages sont restés allemands . Si la France sombre définitivement dans la fange et le chaos, l’Alsace saura où se réfugier .

     

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    • #3446388
      Le 30 octobre à 16:42 par Knokke
      Dix siècles ensemble : 1 000 ans de relation franco-russe

      La réponse à cette interrogation est assez simple : L’Allemagne n’éxistait pas en 1815. Ce qu’on appelle "l’Allemagne" aujourd’hui était à l’époque une multitude de royaumes de langue et de culture allemande, alliés ou ennemis de la France selon les circonstances.

       
    • #3446412
      Le 30 octobre à 17:27 par le joueur de go
      Dix siècles ensemble : 1 000 ans de relation franco-russe

      Nein,nein,nix !
      Frankreich mit frontières naturelles,ist besser.
      Dans des temps pas si anciens,au XIX ème s.,les allemands eux-mêmes faisaient une différence entre les allemands vivant à l’Ouest de la Moselle et ceux situés à l’Est parce que les uns étaient catholiques et les autres protestants de mentalité.
      Vous me direz,celà n’a pas empêché la Sarre,française un temps,de rejoindre par référendum l’Allemagne...
      Les alsaciens ne sont ni français tout à fait,ni allemands non plus,ils se veulent alsaciens et nous appelent les "français de l’intérieur"

       
    • #3446576
      Le 31 octobre à 03:37 par anonyme
      Dix siècles ensemble : 1 000 ans de relation franco-russe

      Les "malgré nous" n’aiment ni les français ni les Allemands mais vont tous bosser en Allemagne pour échapper au chômage et à la misère en France.

       
  • #3446418
    Le 30 octobre à 17:39 par le vengeur masqué
    Dix siècles ensemble : 1 000 ans de relation franco-russe

    Quoique nous nous soyons battu plusieurs fois contre la Russie,notre amitié est restée sans rancune.(Mis à part les Emprunts russes du début du siècle précédent,mais qui a été remboursé par la Russie il y a quelques années,me semble-t-il(?),mais à un prix sans doute plus symbolique que réel,les détenants étant pour la plupart décédés aujourd’hui...
    En Russie ont été retrouvés les ossements du Gl Gudin -qui opérait sous les ordres de Davout,et commandant des troupes d’élite de la Grande Armée et si j’ai bien compris,Macron n’a pas voulu en faire un événement national ou symbolique,alors que le Gl Gudin fit partie de la crème des officiers français de l’époque napoléonienne.Les restes ont quand même été ramenés en France ont eu sans doute une cérémonie militaire.

     

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  • #3446529

    Dix siècles ensemble.
    L’allusion à "Deux siècles ensemble" est très fine, et lourde de signification.

    Dans la même veine, on pourrait faite un bon bouquin avec comme titre "Cinq siècles sans eux"
    (1306 ordonnance de Philippe le Bel - 1806 Napléon rétablit le culte israélite)

     

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  • #3446578
    Le 31 octobre à 03:39 par anonyme
    Dix siècles ensemble : 1 000 ans de relation franco-russe

    Bientôt il va nous dire que les gaulois étaient des slaves...

     

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  • #3446701
    Le 31 octobre à 08:26 par politzer
    Dix siècles ensemble : 1 000 ans de relation franco-russe

    Oui, il y a bien eu un traité d’assistance mutuelle en 35, mais qui n’a pas eu de suite en 39 à cause du refus franco-anglais de reconduire l’alliance de revers qui avait si bien réussi en 14-18. Les forces réactionnaires des deux pays ont préréré Hitler au Front populaire, selon les termes du généralissime Gamelin qui était bien placé pour identifier les responsables de la défaite. Les forces réactionnaires d’alors qui avaient senti le vent du boulet en 36 complotaient contre les intérêts de la France . Leur objectif : que les Russes et les Germains s’entretuent ! Las, Hitler, comme annoncé dans Mein Kampf, avait un autre agenda auquel Staline dû s adapter !

     

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    • #3446766

      L’objectif des forces réactionnaires : le régime de collaboration (plutôt Hitler que le Front Populaire), d’où la Drôle de Guerre. Et bien sûr ,carte blanche à l Est ( accords de Munich), donnée à Hitler pour l’attaque de l’URSS .

       
    • #3446978

      @Jean Il y a tellement à démolir qu’il est difficile par quoi commencer. C’est pire que Arte. Le front populaire se sabote volontairement (puisqu’il est au pouvoir) car il préfère Hitler à lui-même d’où la drôle de guerre ?! C’est légendaire. Je la sauvegarde. S’il n’y a eu aucune action durant la drôle de guerre c’est parce que la meilleure arme anglo-française était le blocus qui a été l’élément décisif de la victoire en 1918. Les accords de Munich sont la gage, la porte ouverte à l’invasion de l’URSS... Les accords de Munich était pour récupérer 3,5 millions d’allemands de Tchecoslovaquie opprimés par les Tchèques. Il n’y avait toujours aucune frontière entre le Reich et l’URSS pour une quelconque invasion ! Les Britanniques ont négocié l’alliance avec l’URSS dès l’hiver 1939, confirmé par les documents du maréchal Mannerheim durant la guerre hivernale. Les Britanniques n’ont jamais déclaré la guerre à l’URSS quand elle a envahie la Pologne mais l’Allemagne, si (tiens donc). Pas plus que lord des invasions de Finlande, des 3 pays baltiques et de la Moldavie roumaine... les Britanniques et Soviétiques ont collaboré ensemble sur le putsch en Yougoslavie. L’URSS a toujours cherché l’alliance avec les démocraties banksters dont elle est l’enfant et ces dernières ont gavé la monstruosité du régime bolchevique de crédits, d’armes, de technologies, de ressources, couverts ses mensonges et crimes et lui ont données la moitié de l’Europe dont la Pologne pour laquelle soi-disant elles se battaient pour qu’elle recouvre son indécence. Capitalisme-Bolchévisme, même camp, mêlés mensonges couverts mutuellement et même caste qui la dirige. Le reste n’est que collaboration avec le NWO.

       
    • #3447416
      Le 1er novembre à 20:03 par jean
      Dix siècles ensemble : 1 000 ans de relation franco-russe

      @Evida
      - En 1939, le Front Populaire n’est plus au pouvoir. Daladier veut alors "remettre la France au travail" (sic). Sur la trahison des élites françaises dans les années 1930, et leur projet collaborationniste , lire " Le choix de la défaite " d’ A. Lacroix-Riz.
      - Pour l’Allemagne , L’ "Espace Vital" à conquérir était l’immense territoire russe, dés le IIe Reich . Tout le monde savait que la Tchécoslovaquie n’était qu’ un marche-pied vers l’URSS (Drang nach Osten).
      - L’Angleterre a déjà attaqué l’URSS naissante en 1920 (Mission Franco Britannique) sur le territoire polonais. Et Churchill, trés fourbe, n’ouvrira jamais le Deuxiéme Front promis à Staline contre Hitler , malgré sa déclaration de guerre à l’ Allemagne.
      - L’ Angleterre a participé activement au réarmement de l’Allemagne nazie ( traité naval germano britannique de 1935 : reconstitution de la flotte de guerre allemande).En 1936 ,Angleterre , France, USA ont laissé Hitler réoccuper la Rhénanie démilitarisée.
      - Les échangess économiques entre URSS et certains pays capitalistes dont tu parles correspondent à la NEP établie par Lenine (régime économique de type mixte ,et temporaire, destiné à rattraper le retard industriel du Tsarisme). La NEP consistait à l’achat d’usines clée-en-main à des compagnies privées étrangéres mais Staline y mit fin dés son arrivée au pouvoir.
      Par contre , l’Allemagne capitaliste nazie était devenue la zone d’investissement maximale pour les capitaux étrangers (US, anglais, français en particulier) grâce à son programme de réarmement / effort de guerre : voir , par exemple, les travaux de l’ historien specialiste de l’Allemagne Johann Chapoutot (livres, conférences sur Youtube) ou le numéro 669 d’ Historia, consultable en ligne, titré "Hitler financé par les firmes US".

       
    • #3447592

      @Evida
      "Capitalisme-Bolchevisme même camp " (sic)...si tu veux avoir une idée de " l’amour " que portaient les 14 grandes puissances capitalistes aux Bolcheviques tu devrais lire l’ouvrage " Lenine, la révolution permanente " de Jean-Jacques Marie. Tu verras ( cartes des opérations à l’appui) comment elles sont allées attaquer ,de 1918 à 1921, l’URSS naissante ( mais aussi les communistes Hongrois) et équiper les armées tsaristes. Résultat : 7 millions de morts

       
    • #3447637
      Le 2 novembre à 12:00 par Borussia
      Dix siècles ensemble : 1 000 ans de relation franco-russe

      Le mec cite Annie lacroix riz, une romancière fanatiquemenrt staliennienne et pense être objectif. La bblague. Faire du copier coller de falsificateurs de l’Histoire ne rend pas des propos exactes.

       
    • #3447703

      @borussia - En effet, Lacroix-Riz est régulièrement traitée de "complotiste " par les censeurs qui n’aiment pas trop qu ’on rappelle certains faits gênants remontant à cette période ( les héritiers Renault s’en sont pris à elle par exemple).
      Mais c’est une historienne, donc elle donne les sources pour les faits qu’elle évoque, et c’est ce qui rend son travail intéressant : on peut vérifier et croiser les informations . C’est pour cela qu’ il faut aussi lire les historiens bien-pensants ( qui restent dans les sentiers battus par souci de confort).

       
    • #3447900

      Lacroix-Riz : Conspiracy Watch et Rudy Reichstadt font une fixation sur elle et se lamentent du nombre de vues de ses conférences YouTube, de la en tête de gondole pour ses livres à la Fnac , de ses invitations sur France Inter etc. Rudy a la haine.

       
  • #3447144
    Le 1er novembre à 09:01 par Mathieu Clément
    Dix siècles ensemble : 1 000 ans de relation franco-russe

    Comme quoi on ne voit pas le monde tel qu’il est, mais tel que l’on est soi-même.
    Faire appartenir les Romanov à la dynastie des rurikides est assez semblable à faire appartenir les Bourbons à la dynastie des Valois. La numismatique nous renseigne que les Valois et les Bourbons n’avaient pas le même profil. Ne pas souligner la rupture, en affirmant, par exemple, qu’Ivan IV le Terrible fut le dernier Rurikide, fait l’impasse sur le Temps des Troubles, et sur le règne du Tsar Basile Shouïsky, un rurikide, entre 1606 et 1610, qui finit sa vie en captivité polonaise pour avoir préféré l’alliance suédoise à l’alliance polonaise, et cela fait l’impasse sur la signification du bref passage de Henri Iii, dernier des Valois, sur le trône polonais à Cracovie.
    Se désoler que la France resta seule face en 1870 face aux teutons c’est faire l’impasse sur le traité de non agression germano-russe, colonne vertébrale du système du chancellier Bismarck, qui ne pouvait garantir la neutralité de l’Empire Russe que s’il était attaqué, ce qu’il obtint grâce à la tristement célèbre dépêche d’Ems, pour venir finalement former l’unité allemande à Versailles, en laissant la capitale à la Commune, tout en étant à Ferrières. Les officiers supérieurs de l’armée prussienne reçurent la croix de Saint-Georges deuxième classe, ce qui indique une certaine permanence de la sainte-alliance. Les mémoires du chancellier von Bülow, jeune hussard en 1870, sont instructifs.
    Evidemment, loger 1000 ans en une demi-heure, cela suppose un choix de pas japonais, des sauts par dessus ceux où l’on préfère ne plus faire un pas, ni même un pas décalé.
    Passer d’Ivan le Terrible mort en 1584, avec des taux stratosphériques de mercure dans le sang, directement et sans transition au premier Romanov intrônisé en 1613, c’est peut-être ne pas comprendre pourquoi son père passa directement en 1619, des geôles polonaises à Moscou pour y prendre la tête de l’Eglise Orthodoxe Russe en qualité de Patriarche en en coupant pas mal chez les tenants de l’alliance suédoise.
    Ce serait presque à se demander l’intérêt qu’il y a à négliger le rôle de la Pologne pendant ces trente ans cruciaux, ou qu’il y a à ne pas se demander pourquoi Jacques Clèment périt, un peu comme Lee Harvey Oswald, avant que le sang de Henri III sur sa dague ait séché.
    Moscou, Paris valurent-elles une bonne messe ? vertueuse ?

     

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