Un incident stupéfiant « à caractère raciste », mettant en cause des personnalités israéliennes de premier plan, s’est produit vendredi 8 mars 2013 à 10h30, à la Gare du Nord à bord du train Thalys en provenance de Bruxelles (Belgique) avec à son bord Shimon Perez.
À l’arrivée du président israélien, sa délégation a fait l’objet d’un singulier traitement assuré sur une « base confessionnelle ». La manutention de l’opération avait été confiée à la société Itiremia SAS, une filiale Groupe SNCF, dont le Directeur Général est Sébastien Budillon et le chef de site Patrick Vidal.
L’accès du train a été interdit au chef de bord qui était noir et un conducteur d’un autre train, d’origine maghrébine, a été empêché de rejoindre son poste.
Lire le communiqué du syndicat et le tract mis au point pour distribution aux salariés de l’entreprise :
le communiqué
le tract
Visiblement, au prétexte de considérations de sécurité, le chef de l’État d’Israël paraît vouloir imposer à la France l’apartheid que son pays applique aux Palestiniens. S’il craint tant pour sa longévité, il pouvait prendre l’avion et atterrir loin des concentrations urbaines.
Un apartheid subliminal comme en témoigne l’amputation traumatisante que ce pays, « unique démocratie du Moyen-Orient » selon la formule consacrée, a infligée aux Falashas, la stérilisation des femmes juives noires éthiopiennes.
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