« Decathlon a souhaité cacher à tout prix ses livraisons vers la Russie. (…) Même en interne les employés n’ont pas le droit d’utiliser le mot Russie, il faut qu’ils emploient un nom de code, Sports R, R pour Russie », commente Pierre Leibovici, journaliste et auteur de l’enquête Disclose. L’entreprise évoque, de son côté, une période de transition. Contactée, elle n’a pas souhaité en communiquer la durée. (France Info)
France Info a aussitôt sauté sur l’enquête de Disclose, ce groupe de journalistes, qui, comme l’écrit Wikipédia, travaillent sur « six thématiques : les crimes environnementaux, les enjeux énergétiques, la délinquance financière, la santé publique, les industries agroalimentaires et les libertés fondamentales ».
La sensibilité de ce site est de gauche, bien entendu, et de gauche bien-pensante, pas mal-pensante, ce qui est corroboré par ses partenariats : Mediapart, Konbini, Marsactu, Arte, la cellule d’investigation de Radio France, Rue89 Bordeaux, Strasbourg et Lyon, et The Intercept. Que du beau monde !
On reste entre soi, et on peut s’attaquer aux intérêts français, on va le voir avec Decathlon, un des derniers groupes français qui fait des affaires avec la Russie. Que Disclose n’aille pas se plaindre si des sites de production ferment chez nous et foutent des travailleurs à la porte.
Mais ça, ça ne monte pas aux oreilles des chevaliers blancs de l’antirussisme, ou du pro-américanisme, puisque ça revient à ça.
Ce travail ne nous étonne guère : Disclose est financé par l’empire Soros. Ceci étant dit, on aurait pu écrire le papier de Disclose dans un but patriote, en ventant les mérites d’un groupe industriel qui cartonne chez les Russes.
Société-écran à Dubaï, filiale à Singapour… Malgré son départ annoncé du pays, le géant français du sport a mis en place un système opaque pour continuer à vendre, en toute discrétion, ses produits en Russie. Révélations sur un contrat secret qui a déjà permis à Decathlon d’empocher au moins 12 millions de dollars, selon des documents internes obtenus par Disclose.
Hélas, on est dans la gauche antifrançaise carpette des USA – qui sont, on le rappelle avec Hindi, en guerre contre l’Europe – et ça dure depuis des décennies. C’est terrible de travailler à détruire son propre pays, de scier la branche sur laquelle on est assis.
On résume l’enquête : vendre des baskets aux Russes, c’est assassiner des Ukrainiens.
Voilà, c’était AntiFrance Info et Disclose-Soros en direct de Moscou, à vous Paris.