@Melin, Bertrand Dudéclin, Aujourd’hui, il y a deux niveaux de combat, comprendre politique.
Premier niveau, ouvrir la page des faits divers et commenter, s’offusquer et dénoncer, ce qui est légitime.
Problème, c’est à la portée de tous, c’est trans-courants, trans-partisans, ca clive et c’est tout bénef pour l’oligarchie.
Deuxième niveau, tout en acceptant la réalité de premier niveau, construire une dialectique complète et opposée au drame Républicain qui n’est que le reflet, à l’échelle d’un Etat-nation, du mondialisme en marche.
De fait, le trie entre le bon vin et l’ivraie se fera naturellement, très au delà du problème migratoire et du choc des civilisations, la petite armée des mondialistes ne pourra pas manipuler idéologiquement sur les thématiques progressistes, comme elle le fait sur les faits divers.
Génération Identitaire est courageuse, ils prennent des risques, mais malheureusement (heureusement pour leurs adversaires), ils sont cognés par la justice et ne bénéficieront jamais de la même mansuétude que les Antifas dans les médias.
La stratégie du coup de poing, du coup médiatique, sera toujours traitée au niveau du spectaculaire, donc soumis à la critique systémique.
Parce que le premier niveau est sponsorisé par le système, c’est le monde à l’envers, inversé, injuste, intolérant, raciste, insécuritaire, chaotique, inégalitaire, un mélange d’Orwell et de Kubrick.
C’est ce monde-là qui pousse à la guerre civile et si vous êtes ici, vous savez pourquoi et surtout pour les intérêts de qui.
Il faut tenter de surmonter l’horreur et l’émotionnel et réinventer une idéologie apte à stopper celle qui domine actuellement et de manière de plus en plus brutale.