Le procès sioniste de la semaine est à porter au crédit de Christine Angot qui, à 2’39’54 dans ONPC du 3 novembre 2018, déniche un propos malodorant chez son invité/é transexuel/le appelé/e Océan.
À 2’40’00, la juge de la Cour suprême exhume et cite des propos de 2016 de son accusé/e, propos qui sentent très fort l’excommunication de la télé sioniste.
Angot : « Vous avez écrit une tribune dans Libération qui défend Houria Bouteldja qui avait écrit un livre qui s’appelle Les Blancs, les Juifs et nous, et je cite juste une phrase dans cette tribune, vous disiez elle, c’est-à-dire Houria Bouteldja, “elle interroge l’extermination des juifs d’Europe et son instrumentalisation par le projet sioniste depuis le monde colonisé”. Bon, alors est-ce que vous pouvez m’expliquer quand vous dites extermination des juifs d’Europe et son instrumentila, son instrumentilisation (sic), voyez, j’arrive même pas à le dire, par le projet sioniste. Qu’est-ce que, qu’est-ce que, qu’est-ce que ça veut dire ? »
Océan : « Mais on va vraiment parler d’Israël là ? »
Angot poursuit son délire : « J’ai le cœur qui bat, là, rien que de le relire moi. »
Giesbert vole à son secours : « Non mais vous pouvez vous excuser, cette phrase est indéfendable. »
Giesbert s’adresse évidemment à l’accusé/e, pas à la juge de la Cour suprême sioniste d’ONPC.
Et là toute la Rédaction d’E&R s’excuse, mais elle n’a pas pu aller plus loin. L’émotion était trop forte. Nous laisserons là le jury non pas populaire mais d’élite, jury sioniste s’il en est, juger le/la pauvre Océan qui, devant le crime imprescriptible, reste coi.
On espère ne jamais se retrouver un jour devant cette Vychinski en jupons. Son regard dur comme de la pierre, sa bouche fermée comme une plaie mal cicatrisée, sa voix hésitante comme celle d’une chèvre, sont le symbole de la domination médiatique d’aujourd’hui où une nigaude arrive à terroriser toute l’intelligentsia.
Pour tous les non-sionistes, le tarif c’est 20 ans de camp, direct. On reverra peut-être Océan (qui a fini par s’excuser), si il/elle survit à la relégation médiatique, dans 20 ans, dans une énième émission de Laurent Ruquier, l’obligé franchouillard des Forces occultes...