Non contents d’être majoritairement de gauche, certains journalistes tentent de saboter clairement la grande manifestation du 13 janvier contre le mariage homosexuel en rendant public des bases de données internes à l’organisation.
Un journaliste a le droit de donner son opinion personnelle, mais pas celui d’appeler au sabotage d’une manifestation légale. De quoi déshonorer la profession et mettre au tapis tous les principes éthiques du journalisme…
Cette « Agnesleglise » n’a rien d’ecclésial, malgré son pseudonyme. Journaliste à Europe 1, elle est clairement – et salement – engagée dans le combat « pour les droits homosexuels ». Elle donne un lien vers un Google Doc qui gère les inscriptions des bénévoles. Notez l’expression « sale manif contre le mariage ».
D’autres « journalistes » s’en donnent à plein cœur :
Pour information : divulgation non autorisée par l’émetteur du courrier électronique :
Le fait, commis de mauvaise foi, d’ouvrir, de supprimer, de retarder ou de détourner des correspondances arrivées ou non à destination et adressées à des tiers, ou d’en prendre frauduleusement connaissance, est puni d’un an d’emprisonnement et de 45000 euros d’amende.
Quand reparlerons-nous d’éthique en journalisme ?