C’est exactement ce que veulent les nationaux-sionistes dans leur idéal de conflit de civilisations (comprendre chrétiens contre musulmans), et cela semble relativement inévitable. En Suisse comme en France, le ras-le-bol des populations atteint son comble face aux exactions de la racaille, principalement issue d’Afrique du Nord. Le pire, chez nous, c’est qu’elle n’émane majoritairement pas des migrants et autres sans-papiers, mais de citoyens français, si l’on peut dire.
La remigration semble difficile à appliquer d’un point de vue purement juridique, même quand on a affaire à des délinquants multirécidivistes que la Justice relâche régulièrement, à la manière d’un métronome blasé, dans la nature. C’est-à-dire dans nos rues, nos cités, nos villes. Le plan « Ronces » de Zemmour, mis au parfum d’après ses dires par des militaires, approche. Y a-t-il une autre voie que la guerre civile, même partielle, même confinée sur quelques points du territoire, qu’on appelle les zones de non-droit, là où l’État a baissé les bras ?
Chez E&R, on ne se berce pas d’espoirs, on cherche des solutions durables et réalistes qui ne soient pas celles du pouvoir profond, dont le seul objectif est d’asservir la France et ce, par tous les moyens : chaos terroriste, chaos sanitaire, chaos sécuritaire. Valeurs actuelles a repris samedi 22 août 2020, avec un plaisir certain, le sujet du site suisse rts.ch, le jour où le conflit entre commerçants français et racailles de Palavas faisait la une des réseaux sociaux, pas forcément celle des médias mainstream, paralysés par leur idéologie antiraciste. Donc paralysés par BHL, SOS Sionisme, la LICRA et le CRIF (même si le CRIF a de plus en plus tendance à pencher du côté de Zemmour que du côté d’Attali).
« Confrontée cet été à une hausse importante de la petite délinquance, la police neuchâteloise doit désormais composer avec un nouveau problème : des affiches ont été placardées dans la ville appelant les autorités à agir, sans quoi les auteurs feront justice par eux-mêmes.
"Nous sommes fiers, organisés et en colère. Nous avons la capacité d’être dangereux pour ceux qui troublent à ce point la paix sociale", peut-on lire sur les dizaines d’affichettes placardées cette semaine en ville de Neuchâtel.
Les auteurs de la missive ne sont pas encore formellement identifiés, mais la police neuchâteloise a déjà intercepté une vingtaine de personnes qui, ces deux derniers week-end, ont passé à tabac certains délinquants qui ont semé le trouble cet été dans la cité lacustre et qui se promènent assez ouvertement en ville. » (rts.ch)
« Du côté des délinquants, il s’agit de jeunes Africains du Nord "en errance" et souvent liés à l’asile, selon la police. Un profil clair, comme celui de l’autre camp. "Ce sont des jeunes hommes domiciliés dans la région, connus de nos services, et qui font partie de mouvements dans les extrêmes", explique Georges-André Lozouet. » (rts.ch)
Une délinquance maghrébine mobile, qui vient perturber la paix des villes suisses, et réveiller le démon de l’autodéfense puisque, comme chez nous malheureusement, l’État ne prend pas la mesure du problème. Ce qui est inadmissible pour ces élus politiques ou responsables de la sécurité, ce n’est pas la destruction systématique – on dit bien systématique – par la racaille de la paix sociale, mais la volonté croissante des populations abandonnées de se défendre !
Si la France n’est pas les États-Unis, où 300 millions d’armes circulent, notre pays pourrait bien, un jour, devenir un « Israël » européen en matière de sécurité publique, avec les délinquants des cités dans le rôle des Palestiniens. C’est déjà le cas en matière de sécurité antiterroriste. La seule bonne nouvelle, alors, sera l’éradication totale de l’idéologie antiraciste, si nuisible pour la France. Mais le racisme d’État pourrait bien déborder sur toute la population d’origine immigrée, qui est amalgamée – à dessein par les sionistes aux commandes médiatiques – aux racailles. La grande « ratonnade » sioniste qu’évoquait Alain Soral il y a 16 ans se profile :
« On a vraiment l’impression qu’aujourd’hui il y a des minorités agissantes, des lobbies qui poussent, on va dire, à la ratonnade »