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De l’utilité d’un lion pour une lionne qui élève seule ses lionceaux

Vous nous connaissez, on aime bien dénicher des infos qui n’ont l’air de rien mais qui veulent dire beaucoup. Elles sont généralement chargées d’un sens caché, et dès qu’on les ouvre, comme des fruits à coque, un contenu nettement plus lourd de sens se libère.

@cestlaviefrr Rentrer chez elle est devenu une lourde épreuve #france #vues #virall #likе #pourtoi #abonne #tiktokviral #campagnefrancaise #abonnetoi son original - C'est la vie

Ce fait divers est de ceux qui vous gâchent la vie : pas assez dangereux pour être pénalisable, trop pénible pour être bénin. Cette femme est tombée sur la mauvaise voisine, une mauvaise qui, visiblement, développe une forme de paranoïa. Quand on n’arrive pas à lire un visage, ce n’est jamais bon signe.

Le lion est certes imparfait, mais il fait le job. Les femmes seules confrontées à des problèmes de sécurité, qu’ils soient matériels ou même physiques, le savent. L’indépendance c’est bien, mais ça présente des risques. Un mari qui bat sa femme, c’est impardonnable, mais une femme sans homme qui se fait harceler dans la rue par un migrant ou des racailles, ne soyons pas naïfs !, sans que personne n’intervienne, ça ne vaut pas mieux.

Nous ne donnerons pas de leçon à cette prof terrorisée, mais la simple présence d’un homme mettrait fin à tout ce délire. La voisine ne pourrait plus monter en agressivité : elle sait, dans sa pathologie, que le champ est libre. Certes, il y a des conflits de voisinage où les hommes sont présents, mais c’est un autre problème. Ce n’est pas de l’ordre du sociétal, plutôt de celui de la psychologie personnelle : il y a des emmerdeurs partout.

La facilité à divorcer et la majorité des juges qui tranchent en faveur de la femme, au détriment de l’homme, ont eu des effets pervers. Beaucoup de femmes se sont retrouvées à affronter le réel toutes seules, avec des enfants derrière, alors que déjà, à deux, ce n’est pas facile. Et dans ce cas, un amant n’est d’aucune utilité : il ne va pas risquer sa peau pour un cul. C’est le mari qui risque son intégrité, tous les jours, pour sa femme. Et le fait de présenter les hommes, ceux du patriarcat, donc du couple, comme des prédateurs ou des agresseurs éventuels, a fait plus de mal aux femmes, in fine, qu’aux hommes ! Qui profitent mieux du célibat ouvert et d’un salaire complet...

Ces femmes ont perdu une double protection, matérielle et physique (voire, affective), le prix à payer pour contrôler sa vie à 100 %. Ou pour en perdre le contrôle toute seule... Ceci n’est pas un plaidoyer pour le couple avec un homme médiocre ou violent, seulement une constatation sociologique.

Le vilain influenceur masculiniste Hitchens, qui a récemment été auditionné par la commission d’enquête parlementaire sur la mauvaise influence de TikTok, a été attaqué après ses propos sur les femmes vulnérables, quand elles sortent seules.

 

 

Dans la rue, avec une quidame, le propos n’est pas exactement le même : Hitchens fustige surtout la mollesse des hommes, et les femmes, qui ne sont pas exemptes de contradictions, sont d’accord.

 

 

Dans le monde qui vient, où la fonction de mari et de père est sapée par le Système, l’arrivée de millions de jeunes migrants mâles qui se foutent du féminisme comme de leur premier viol va changer la donne, pour les femmes. Il y aura celles qui auront un lion, et celles qui se débrouilleront avec un pschitt au poivre. Entre nous, évitez le spray au piment, ça plaît aux migrants !

Exercice pour les dames : mieux vaut un mari (forcément) moyen qui vous protège ou un amant libéré des tracas du quotidien et des responsabilités qui vont avec ? Et ne nous répondez pas « les deux » ! Vous avez quatre heures.

 

De la lionne et du lion

 






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21 Commentaires

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  • Il vaut mieux que le mari soit le vrai père car les autres sont nécessairement des individus de piètre qualité, des chèvres et des chiens qui ne s’intéressent à la mère qu’à des fins très éloignées des intérêts de la progéniture du logos spermatikos supérieur invisible.

    La polygamie de ces femmes avec enfants signale une progéniture déjà tout aussi condamnée qu’elles sur le plan anthropologique.

    Le divorce n’est pas à considérer comme un progrès mais principe de la corruption et de la déficience anthropologique de l’occident, sans autres perspectives pour ses otages que de se faire souiller par les nouveaux arrivants qui les méprisent avant d’être initiés à leur misère.

    Le féminisme, en tant que sionisme féminin et cause première de la dégradation de la vie sur terre, ne mérite que le châtiment et le rire cruel des dieux païens auxquels il s’est prostitué.

     

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    • #3548194

      Le féminisme, en tant que sionisme féminin




      Vous serez surpris des liens qu’il y a entre les deux ou comment le second a été mis en place et instrumentalisé pour désintégrer l’occident par le premier via les loges.

       
    • L’établissement de ces liens pourraient en effet mériter un chapitre ou plusieurs tomes, mais je préfère pour ma part m’en tenir à l’enseignement chrétien traditionnel autour du péché originel, qui me semble récapituler l’essentiel.

       
    • Avant de commencer à évoquer ces sujets, j’ai compulsé en gourmet désuet les volumes des éditions Saint-Remi, que je recommander à quiconque voudrait se faire une idée de la latinité française de l’époque.
      À l’époque personne n’était encore offusqué d’une citation de Diogène Laërce.

       
    • #3548430

      KHS
      Ils sont au bout de leur projet car ils n’ont eu de cesse de combattre le message du Christ qu’ils ont dénigré dés le départ, ils ont réussi à créer une sorte d’allergie occidentale à tout ce qui est doctrine, religion de surcroit, dont ils ne se privent pas et dont ils tirent toute leur force, appuyés par le penchant naturel à l’hédonisme égoïste qu’ils ont su exploiter. Une société sans principe est un amas atomisé d’individus faciles à dominer et la détresse de la maman illustrée même dans cet article avec une forme désespérante de résignation en est une forme parmi tant d’autres. Si cette dernière était un membre d’une communauté (à défaut d’avoir su entretenir la sienne qu’était la petite famille), rien de tout cela ne lui serait arrivé. L’église au milieu du village était un endroit ou l’on s’enquérait des soucis des uns et des autres et maintenant qu’elles brulent à ciel ouvert, que reste-t-il aux gens comme elle ?

       
  • voir des karens se pourrir la vie entre elles est un delice de fin gourmet...un peu comme entendre un couple de lesbiennes se disputer au supermarche : le monde occidental,un grand spectacle de clowns a ciel ouvert...

     

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  • Le petit député rappelle qu’il est le Jupiter de la commission d’enquête et qu’il faut se prosterner devant Jupiter ; sur ce, l’influenceur lui souhaite une bonne journée et lui raccroche au nez... C’est très drôle !

     

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  • Premièrement, nous ne savons rien de ce qui a mis le feu aux poudres, sauf cette affaire de terrasse.
    Pour ce qui me concerne (et donc mon entourage), mes guiboles supportent un quintal élevé aux dojos et dans d’autres groupes plus élitistes encore, qui enseignent et entraînent à neutraliser, jusqu’à en être l’instructeur, surmonté d’une « tête de con » que l’ami Coluche qualifiait de patibulaire, mais presque.
    Plus loin, j’ai été éduqué, pour ne pas dire initié, à l’amour courtois et chevaleresque, tout en considérant le vaste panel qui s’élève de la porneïa jusqu’à l’agapè, avec une pointe de tantrisme.
    Aussi, les « femelles » de ma meute, pour établir le parallèle avec le lion, qu’elles soient amies ou plus selon les affinités, qu’elles soient de la famille et de tous âges confondus, sont laissées à leur libre arbitre une première fois pour gérer toute situation conflictuelle simple de la vie courante, ceci afin qu’elles puissent se constituer quelques outils de rhétorique, de détermination puis de résilience, et je n’interviens qu’en deuxième rideau, de manière ferme et déterminée, si la chose n’est pas résolue. Il est alors extrêmement rare que je doive intervenir une seconde fois. Parce que l’intervenant qui me fait face comprend très vite que je n’en ai rien à secouer de la police et de la justice, en pareils cas. J’avoue que la réplique de Jean-Paul Belmondo, dans « Cent mille dollars au soleil », au sujet des gugusses de 60kg, et tout autant des voisines à la con, donc, demeure d’actualité et offre un atout indéniable, sauf avec quelques abrutis, mineurs, et équipés de surins, dont il faut se méfier avec toute la prudence se faisant vertu, tant ils se croient dans un jeu vidéo et se sont émancipés de leurs darons respectifs, si tant est qu’ils aient connu le leur.
    Ainsi, très rares sont quand même ceux qui continuent de jouer aux cons lorsque vous en avez vous-même la tête et que, après explication et tentative d’apaisement, vous avez indiqué que la personne ne va pas gérer lorsque cela va partir en vrille.
    C’est aussi cela l’autodétermination.
    La liberté, ce n’est pas faire ce que l’on veut, c’est ne pas faire ce que l’autre voudrait nous imposer sous la contrainte. (Cf. La Boétie)

     

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    • @Sedetiam :

      Je vous suis plutôt dans votre approche globale, à un détail près : lorsque vous affirmez « je n’en ai rien à secouer de la police et de la justice ». Les prétoires et les prisons sont bondés de gens qui, en un registre moins châtié que le vôtre, clament substantiellement la même chose :« Wesh, j’vais te marave grave ! Rien à foutre des keufs ! Tu crois quoi ? j’suis trop un ouf, moi ! » (bon, j’ai bien conscience que mon lexique argo-banlieusard sent un peu la naphtaline, que vous voulez-vous).

      Bref, on peut bien décréter -comme le premier voyou venu- qu’on ne tient aucun compte de la loi, mais cela ne suffira pas à impressionner ni les policiers ni les juges.
      Frapper quelqu’un, lorsque cela n’est pas justifié par des circonstances de stricte légitime défense (circonstances précisément prévues par la loi), cela s’appelle “agression” et “coups et blessures” et cela vous assure la condamnation devant un tribunal.

       
    • Votre plume est un régal...

       
  • "Les valeurs, les principes,..." et la "société" aussi peut-être ?
    Tain ça philosophe balaise le dimanche : le wesh avec son micro devant la finette et l’autre youtubeuse en commentaire de grande sagesse.
    Mais ils parlent de quoi ?
    Avec autant d’assurance, et de vérités ?
    De ces trucs aux mains des dominants ?
    C’était quoi la tête de la société il y a 3 ans durant le couillonavirus ? Le confinement ? Les auto attestations ?
    Et les valeurs ? La délation de ceux qui mettent leur masque de travers pour ne pas se soumettre ?
    La stigmatisation des antivax ?
    L’arrêt des études pour plus de 50% jeunes peut-être ?
    Bref de ceux qui réfléchissent, qui veulent vivre, les vivants ?
    Les violences intra familiales en explosion ? Le suicide des enfants ? Leur innoculation d’ARNm ?
    Tous ces mots sont abstraits, bidons, changeants en "transformation" : une petite gouvernance mondiale par le chaos et hop ! Tout vole en éclat, comme si la vie se contrôlait par ce genre de règles de gestion si simple, si figée (si rassurante) mais bien évidemment, surtout les relations homme/femme, libre du libre arbitre... jamais soumis à aucune pression non non jamais, aucun zombie autour de nous.
    Sauf que tout ça n’existe pas euh... sinon le lion saute finette après son service ?
    Alors je mise sur la passion, aucun calcul sur "les valeurs, tradi, la société, et autres principes", je mise sur la vie, le feu, pas ce truc plan-plan pour pantoufle.

     

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  • Faut pas être très malin pour acheter une maison dont la terrasse est située sous les fenêtres de son voisin...
    Cet assemblage est clairement destiné à créer des conflits...

     

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    • Le problème des villages qui ont été construits à l’origine par des membres d’une même famille, ou de quelques familles unies par les liens du mariage, par une même culture et un même mode de vie, et qui aujourd’hui sont un empilement d’individus. Il faut remonter au code civil de Napoléon qui a détruit l’héritage et la transmission familliale (cf L’esprit familial de Delassus). Notons aussi que code de l’urbanisme interdit la construction de nouveaux villages.

       
  • #3548573

    Premièrement, si entre voisines ce sera une guerre psychologique sans fin, entre voisins ce sera souvent plus physique et finira après un échange de châtaignes autour d’une bière. Je ne parle pas de la visite, voisin vs voisine.
    .
    Deuxièmement, et c’est toute la duplicité des femmes, "il ne va pas risquer sa peau pour un cul." Le cul en question fera barrage à toute action concernant la sécurité des enfants sauf ... en cas de pédocriminalité.
    A un homme normal à la maternité , on dit : ceci est ton enfant, la veille il était normal, ce jour il est papa. En revanche, la mère se fait arracher dans la douleur une part de son corps lors de la naissance et tout le rôle du père est de couper le lien ombilical ( notamment par l’enseignement du vélo )
    Ainsi, pour avoir été présenté à des enfants, je les éduquais comme les miens, et régulièrement leur mère sapait mon implication. Récemment j’ai pu discuter avec la gamine qui m’a comparé très favorablement au mari de sa mère .
    Non il ne va pas risquer sa peau pour un cul.

     

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    • "la mère se fait arracher dans la douleur une part de son corps lors de la naissance..."

      Quand ça se passe mal, peut-être. Toutefois, un accouchement naturel, par voie basse et sans intrusion extérieure, n’est pas un arrachement mais une expulsion. Et ce qui en sort est un être distinct, en symbiose avec sa mère.

       
  • Franchement Alex Hitchens c’est pas fou... Faudrait vraiment qu’il bosse et qu’il s’améliore. Son public doit à peine fôler les 20-25 ans

     

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  • En Suisse l’equipe national féminine de foot s’est pris une toise contre une equipe de "mâles" agé de ... 13 ans. Verdict sans appel 7 à 1 pour les gamins !!!
    Les politiques voulaient garder cela confidentiel, mais vs connaissez les ados avec Tic Toc ... Maintenant tout le monde en Suisse se fou de la "gueule" de l’équipe féminine et des féministes ...
    Par contre bravo à la capitaine qui a expliqué :
    "Les "mâles" même à 13/14 ans sont plus musclés que des jeunes femmes de 22/23 ans, donc plus rapide et tapent plus fort dans le ballon, c’est la biologie qui a fait la différence et non le plus ou moins de talent.."
    C’est comme le jour ou les sœurs William on fait un match de tennis en duo contre deux tenismans de niveau national, elles n’ont pas gagnées un seul set ..
    Ben oui ça on le savait, mais comme aime à le répéter AS l’éternel retour du concret !!!

     

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    • Ce n’est pas pour rien que les femmes et les hommes ne s’affrontent pas dans les compétitions sportives... Il n’y aurait aucun suspense (les hommes trans qui concourent chez les femmes gagnent à tous les coups). Les seules disciplines où l’on peut voir des hommes avec des femmes, c’est la danse et le patinage artistique, mais de façon complémentaire.

       
  • #3548987

    Ce docu est un parti pris. Nous n’avons pas la version de l’autre famille. Le 7 octobre n’est pas l’an zero du calendrier ... la plaintive nous dit sans sourciller "c’est ma terrasse". Dès lors que les fenêtres de la voisine donnent sur ta terrasse, tu ne peux pas y faire ce que tu veux. Même après une raclée, la plaintive n’a pas compris l’idée ! Cela en dit long sur le personnage ... et les causes du conflit.

    C’est peut-être l’autre femme a qui le lion manque ! Sa fille remplie peut-être tristement ce rôle. Une chose est sure, les enfants payent l’absence de lion.

     

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