Egalité et Réconciliation
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Non à la fête du patriarcat !

Le père est mort, n’allons pas le ressusciter ! Le lion ne sert à rien : il baille toute la journée, se sert en premier à table, rote quand ça lui chante et n’a que des mauvaises manières.

 

Les lionnes font tout le boulot et en outre, les lions mettent des roustes aux lionceaux. Il faut en finir avec le lion, et ne garder que les lionnes, qui seront heureuses entre elles, avec les petits.

D’accord, mais vous faites comment pour entretenir la lignée, puis l’espèce ? Oh, on fera des lionceaux par PMA-GPA. Oui, mais avec quel sperme, et quelle porteuse ? Une gazelle ? Non, une, un, euh, un chat. OK, boomer.

 

 

Nous proposons donc de remplacer la fête des pères par celle des lesbiennes, qui sont l’avenir : la lesbienne est l’avenir de l’homme. Un monde sans hommes, ça signifie plus du tout de guerres, de concurrence, de planète menacée, ce sera le bonheur. Plus de pénétration non plus, cette chose horrible qui fait de la femme une victime éternelle.

Vive le sexe lesbien ! Vive le semblable ! Non à la différence ! Non au genre assigné à la naissance ! Non à la naissance ! Attendez, et les gosses ? Vous ferez comment si naissent des garçons ? On les castrera, on les déconstruira. Ou on les éliminera. Tous les problèmes du monde viennent de la couille.

Déjà, dans le monde, enfin, le monde occidental décadent, on commence à préférer les filles, et avec la possibilité du choix scientifique du sexe de son enfant, on va avoir une large majorité de filles. Pour la minorité de garçons, ça va être le bonheur ! Cela risque aussi d’éliminer l’homosexualité masculine. Voyez, il y a toujours des effets pervers, même dans un système pervers. Le bien peut naître de partout.

Le Point, notre journal préféré en vacances, nous explique qu’avoir une fille, c’est tendance.

Un coup de poing dans le ventre. » C’est en ces termes que l’Américaine Katia Fenske, mère de trois garçons, qualifie dans l’une des vidéos les plus populaires de sa chaîne YouTube (« Burnt Pancakes ») ce qu’elle a ressenti à l’annonce du sexe de son dernier enfant. « On voit l’échographie et ce n’est pas ce qu’on espérait, confie-t-elle, en contenant ses larmes. Beaucoup de mères ressentent cette déception, mais ont honte de l’admettre ou d’en parler. Si c’est votre cas, sachez que vous n’êtes pas seule. »
Comme elle, nombre de mères et futures mères partagent, sur la plateforme, des témoignages vidéo racontant leur déception, sinon leur désarroi, face à l’annonce du sexe de leur enfant. Regroupées sous le terme « gender disappointment » (ou déception liée au sexe du bébé), elles disent la « peine », le « regret », la « désillusion ». Et compilent, pour les plus « adaptables » et « résilientes » d’entre elles, « les meilleurs conseils pour accepter l’annonce ». Dans la majorité des cas, il s’agit d’un garçon.

Les évolutions sociétales les plus débiles viennent toujours de l’Amérique, vous noterez. Si par malheur la vie vous donne un garçon, mesdames, vous pouvez encore en faire une Lilie. Pourquoi se gêner ? la mère a tout pouvoir sur sa progéniture.

 

 

Le père a poussé le monde au bord du précipice, la mère le sauvera. Moins il y aura de garçons, plus il y aura de filles, règneront alors la douceur, la paix, le paradis. Certes, il risque d’y avoir des bastons de filles pour se choper un mec, dont la valeur marchande va monter en flèche. On peut s’attendre à des guerres entre amazones, des meurtres, des défigurations. Vous connaissez les filles, quand il s’agit d’attraper un mec, elles n’ont plus de limites, c’est la guerre intestine.

Il peut même y avoir des viols collectifs de filles sur de pauvres garçons. On ferme les yeux, on tente de chasser cette image de l’enfer.

Quand on fait une expérience sociologique censée aller dans le sens du bien, toujours intégrer dans le calcul les effets pervers ou indésirables, ça vaut mieux pour la suite des événements.

 

 

Lio, la femme aux mille pères

 






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32 Commentaires

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  • #3543839
    Le 15 juin à 21:45 par anonymous19
    Non à la fête du patriarcat !

    "Quand on fait une expérience sociologique censée aller dans le sens du bien, toujours intégrer dans le calcul les effets pervers ou indésirables"

    C’est exactement l’argument contre l’intervention de l’Etat dans l’économie.
    Etrangement, dans ce cas, il passe très mal au niveau du publique dressé depuis son plus jeune âge, à l’idée que l’Etat protège les faibles.

     

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  • #3543856
    Le 15 juin à 23:33 par Elias
    Non à la fête du patriarcat !

    Aujourd’hui rue du faubourg saint Honoré, un mec se disputait avec un juif et lui disait : " vous tuez tout vos voisins en disant qu’ils allaient vous agresser ! Allez donc voir votre psychiatre juif, il va vous guérir ! "
    En fait c’est incurable

     

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    • #3544364
      Le 17 juin à 12:16 par anonymous19
      Non à la fête du patriarcat !

      C’est le concept du syndrome pré-traumatique développé par Gilad Atzmon.

       
  • #3543904
    Le 16 juin à 06:06 par Tzevtkoff
    Non à la fête du patriarcat !

    Ils ont tout détruit en un temps record comme de l’acide sur du métal. Fernand avait raison, ce sont des destructeurs qui jouissent du travail des constructeurs. Le beau et le juste sont impossibles avec eux. Cette époque est définitivement à leur image. Ces néo féministes sont les plus parfaites créations de leur époque. Elles ne sont strictement personne. Des avatars à gueule humaine.

     

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  • #3543906
    Le 16 juin à 06:11 par Mecano sans-frontière
    Non à la fête du patriarcat !

    Ya un truc que je trouve quand-même choquant, c’est que quand on voit le gamin qui se prend pour une fille avec sa maman qui déblatérer des conneries naïvement, son homme a côté ne bronche pas. Il reste figé par le Silence... Qu’est-ce qu’il pense ?

     

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    • #3544264
      Le 17 juin à 07:17 par RichardC48
      Non à la fête du patriarcat !

      Il ne pense plus, il n’est plus. C’est peut être pour cela que son fils ne veut plus ressembler à son père mais maintenant à sa mère.

       
    • #3546759
      Le 23 juin à 22:33 par L’abrutissement
      Non à la fête du patriarcat !

      Peut-être qu’il pense qu’il a peur !

       
    • #3546873
      Le 24 juin à 09:43 par Mecano sans-frontière
      Non à la fête du patriarcat !

      J’ai compris c’est à la fin... C’est le roi des masques !

       
  • #3543923
    Le 16 juin à 07:47 par Pierre
    Non à la fête du patriarcat !

    Nous sommes dirigés par une bande de cinglés.

     

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  • #3543926
    Le 16 juin à 08:09 par kermit
    Non à la fête du patriarcat !

    un enfant ca coute rien

    y en a meme qui en ont 4 ou 5 et qui en vivent tres bien sans travailler toute leur vie

     

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  • #3543937
    Le 16 juin à 08:48 par HORACe
    Non à la fête du patriarcat !

    Mon gamin de 6 ans veut changer de sexe"

    Non, il veut des Legos et des bonbons, pas des hormones !

    "C’est sa vraie nature"

    À cet âge, sa "vraie nature", c’est de croire au Père Noël et de mettre du dentifrice partout.

    Les bloqueurs de puberté ?

    Super, on va lui flinguer son développement pour faire plaisir à une poignée d’activistes.

    "Mais il est malheureux !"

    Et toi, à 6 ans, tu hurlais quand on te coupait les cheveux. Faut-il te raser le crâne ?

    Dans 10 ans :

    "Désolé, fiston, on peut pas revenir en arrière… mais t’as un joli drapeau arc-en-ciel !"

    La vérité crue :

    Les vendeurs d’hormones s’en mettent plein les poches pendant que nos gosses servent de cobayes.

    RéveillezVous -ProtégezNosEnfants

     

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    • #3544260
      Le 17 juin à 06:51 par le chérusque farceur
      Non à la fête du patriarcat !

      et les hormones, c’est à vie !
      c’est ce qui s’appelle fidéliser la clientèle !

       
  • #3543988
    Le 16 juin à 11:02 par roger
    Non à la fête du patriarcat !

    fières, fortes et en colère mais jusqu’à la baston...après, elles se calment !
    C’est risible !

     

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  • #3544266
    Le 17 juin à 07:25 par Greg
    Non à la fête du patriarcat !

    Cette femme à qui on consacre un reportage pour la montrer se vautrer dans son lit à faire des papouilles à son clébard montre le microcosme dans lequel ces personnes vivent, bien loin des préoccupations existentielles des travailleurs du quotidien.
    La bourgeoise dans toute sa splendeur.

    Le discours est aussi vide que le cerveau.

     

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  • #3544506
    Le 17 juin à 18:56 par sanno
    Non à la fête du patriarcat !

    Véridique ... Je vais au mariage d’un pote, courant de l’après-midi une gamine vient nous proposer à manger, un pote lui dit "merci mademoiselle", la gamine répond ; "J’suis pas une fille" ... On en est là.

     

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