Attention : si votre moral est au plus bas, si par exemple vous avez été vacciné plus ou moins contre votre gré, pour garder votre boulot ou faire plaisir à votre conjoint, alors ne lisez pas ce qui suit. Cela pourrait achever ce qui vous reste de résistance mentale.
En même temps, comme dirait le petit prince de la Banque R, ça peut servir de purge totale pour que le peu de moral déprimant qui vous reste soit éradiqué et qu’un moral nouveau en béton russe se reforme. C’est le principe de l’homéopathie, ou du vaccin : on envoie une petite dose de mal pour stimuler les défenses de l’organisme, pour réveiller le bien.
On vous aura prévenus. On appuie sur le bouton.
Le titre reprend l’antienne populaire « dans quel monde vit-on », qui sonne comme une espèce de fatalité devant la dégradation (apparente) des choses, et dans les choses il y a les traditions, les rapports humains, la politique, bref, tout ce qui compte et qui joue sur le moral.
En réalité, chaque génération précédente pense que les choses se dégradent, alors que la nouvelle génération vit dedans et trouve ça naturel : c’est logique, la dernière venue est plus adaptée. C’est affaire de point de vue, et tout est relatif. Mais au-delà de cette relativité naturelle, il peut y avoir un vrai délabrement, disons un délabrement artificiel en plus du délabrement naturel qui touche chaque génération : un surdélabrement.
C’est ce que nous allons nous attacher à montrer. On n’a pas dit démontrer parce que personne ne peut rien démontrer, en matière sociétale. Vous pouvez maintenant attacher vos ceintures de sécurité mentale.
On va commencer la tournée du délabrement par Bilal : le mec, on l’accepte en France (pas nous, mais les autorités socialo-sionistes), et il nous crache à la gueule. Une fois qu’il s’est fait gauler, il pleurniche. Erreur fatale : on n’aime ni les anti-France ni les pleurnichards.
Clandestin, incapable de parler un français à peu près correct après 6 ans sur le territoire, « excuses » absolument minables…
DEHORS ! https://t.co/APjBnR7ut4
— Nicolas Faure (@nfaure_) June 2, 2022
La conséquence de la bilalisation de la France (c’était ça ou la lepénisation), c’est le réarmement :
Du coup, en face, le danger « fasciste » réveille les antifas, cette milice bénévole pour la Banque, mais qui ne le sait pas.
Siamo Tutti antifascisti !
Paris, manif pour Clément Méric.#fightfascism #Paris #ClementMeric pic.twitter.com/M6YVSsCOPc— Anti Gone (@TeleiaLuttes) June 5, 2022
Pour échapper à la violence sociale (ou horizontale) qui monte, et qui est entretenue par les larbins médiatico-politiques de la Banque, certains se réfugient dans la drogue. À gauche, c’est toléré.
Bonsoir @LeonThebault c’est bien vous sur cette vidéo ? #Nupes #Aveyron #Rodez pic.twitter.com/UEusYVVLzb
— Damien Rieu (@DamienRieu) June 5, 2022
Le problème, qui est peut-être le problème de fond, dans le délabrement actuel, c’est l’exemple donné par les élites. Chez les individus les plus fragiles, les plus amoraux, ou les moins structurés mentalement, cela sonne comme un véritable permis de délabrer.
« Je ne mentirai pas aux français » #rechecking #LeurParoleNeVautRien https://t.co/c2i5H1xWQA
— Idriss J. Aberkane Ph.D, Ph.D & Ph.D (@idrissaberkane) June 9, 2022
Le véritable extrémiste, qui fustige les extrêmes, occupe aujourd’hui le palais de l’Élysée. Il ne représente pas l’extrême centre, selon la nouvelle expression consacrée, mais bien l’extrême violence de la Banque, qui s’enrichit au détriment des Français et qui laisse le pays exsangue.
Emmanuel Macron : « Ce que propose l’extrême droite comme l’extrême gauche, c’est de revenir sur tout ce qui a permis à la France d’être plus forte » pic.twitter.com/OtHSyOkrtu
— CNEWS (@CNEWS) June 9, 2022
Une langue fourchue permet de tenir deux discours tout à fait contradictoires : ici, l’homme qui a été en charge sous Attali et sous Hollande de la désindustrialisation de notre pays, est capable d’en promettre la réindustrialisation !
"Il n'y a pas d'argent magique" déclare Emmanuel Macron ⤵️ pic.twitter.com/8PNL6YmRZD
— BFMTV (@BFMTV) June 9, 2022
Le droit de mentir, défendu par Me Jakubowicz pendant le procès de l’assassin d’enfant Nordhal Lelandais, contamine toute la société, dont le socle moral est en train de basculer de quelques degrés. Quelques degrés, cela ne paraît pas grand-chose, mais c’est le même principe que le tsunami : quelques centimètres d’une plaque continentale qui bouge, et vous avez des milliers de kilomètres de côtes dévastées, avec des centaines de milliers de morts.
Après cette démoralisation (au sens propre et au sens figuré) tous azimuts, tout devient possible. Par exemple, visiter la Finlande, qui est désormais le 55e pays africain :
Parfois, renouer avec votre être intérieur et trouver votre équilibre passe par un voyage qui vous emmène vraiment ailleurs. Vivez des expériences à vous couper le souffle sous le soleil de minuit.
— Visit Finland (@OurFinland) June 3, 2022
Ou faire découvrir l’art érotique aux enfants :
Le metteur en scène Milo Rau est un habitué du genre et le monde artistique lui ouvre les portes pour dépraver les enfants sans que cela n'inquiète personne : https://t.co/GMAljiaz1Z pic.twitter.com/qQb48HdhdB
— Marcel D. (@DubreuilhMarcel) June 8, 2022
Ou changer de genre comme de chemise, tout en changeant l’histoire...
Pouvait-on changer de genre au Moyen Âge ? Vivre en homme et devenir sainte ? Naître fille et finir chevalier ?
Jeudi 9 juin à 12h30, ne manquez pas la conférence "Les genres fluides. De Jeanne d'Arc aux saintes trans" par Clovis Maillet.
https://t.co/6mtPdcyoRJ pic.twitter.com/IhFjjwDu7r— Musée de Cluny (@museecluny) June 8, 2022
On vous avait dit que ça allait faire mal !