Je suis médecin. L’Ordre des médecins (l’Ordre national et les Ordres départementaux), en soi une institution utile et honorable, est devenu dévoyé, à l’image de la société française et de presque tous les cadres de cette société. L’Ordre a accepté, servilement, la PMA pour les femmes seules, ce qui aurait été inconcevable il y a ne serait-ce que trois ans. (En cela, il a fait comme le comité national d’éthique, autre institution à présent prostituée.) Il acceptera, soyez en convaincus, la GPA au profit des hommes invertis, avant ou après la Cour de cassation qui fera de même. Idem le Conseil d’Etat un jour ou l’autre. Toutes les digues sont rompues avec l’assentiment tacite du troupeau de moutons qui ont voté pour la clique gouvernementale et pour cette Assemblée nationale-croupion, irresponsable et méprisable rassemblement de débraillés, qui a osé voter pour inscrire l’avortement dans la Constitution, ce qu’aucun pays au monde n’a encore fait. La France officielle mérite notre mépris. Pour en revenir aux médecins, une notable proportion d’entre eux ne mérite pas votre confiance sans discernement de patients gentils et sages. Ils ont accepté d’aboyer avec les loups - les masques, l’abstention des traitements efficaces, les injections pseudo-vaccinales d’ARN, inefficaces et nuisibles, et comme dit plus haut, la GPA des inverties et le reste à échéance. Soyez critiques, ne vous laissez pas impressionner, un médecin moyen - généraliste ou spécialiste- n’est pas plus un scientifique-biologiste expert que vous n’êtes archevêque. Discutez les prescriptions, posez des questions, argumentez si vous avez de bonnes raisons de le faire. Enfin pour terminer sur le Dr Martine Wonner, - comme pour les Prs Raoult ou Perronne - que les ordres départementaux ou le national les poursuivent de leur vindicte imbécile n’est que la conséquence de ce que j’ai écrit ci-dessus, et traduit la décadence morale d’une notable partie de la profession, confite en conformisme anti-déontologique ! Conséquence, sans doute, de la décadence morale de l’Educ’ Nat’ ! Enfin,ceci : les conseils départementaux et le national sont élus depuis trois ans, par "binômes homme-femme", autre idiotie qui fait que pour ma part je ne participe plus à ces élections. Si la présence des femmes n’est certes pas la seule cause de la décadence, force est de constater que la dérive servile de l’institution n’a pas été freinée par cette féminisation, ce que l’on aurait peut-être pu espérer, après tout... J.
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