Les amateurs de droit et de médecine vont adorer ce paradoxe, qui résume tout le covidisme, c’est-à-dire l’arnaque politico-sanitaire du moment. La presse mainstream, financée par nos impôts et que plus grand-monde n’achète, faute de contenu et de déontologie, est obligée de se tordre un bras pour expliquer aux gogos qu’un non-vacciné négatif a moins de droits qu’un vacciné positif au covid. C’est tellement gros que ça passe, et les arguments de ces menteurs patentés sont de deux ordres : juridique et sanitaire. On va les écouter. Il faut les laisser aller au bout de leur mensonge.
Le pass vaccinal est entré en vigueur le lundi 24 janvier. Il succède au pass sanitaire. Et le gouvernement aurait pu décider de désactiver le pass vaccinal en cas de test positif, pour limiter les contaminations, mais ce choix n’a pas été fait. On vous explique pourquoi.
Pour ce faire, on a été chercher le premier titre de PQR (presse quotidienne régionale) sur le coup : Midi libre, un journal issu de la résistance... Enfin, celle d’hier, pas celle d’aujourd’hui.
Avertissement à tous les jeunes qui veulent se diriger vers une carrière de droit ou de médecine : ne vous risquez pas à la contorsion mentale qui suit, ça pourrait vous déchirer un nerf ou des ligaments.
Un paradoxe étonnant : un vacciné testé positif au coronavirus peut accéder à davantage de lieux qu’un non-vacciné testé négatif. En cas de test positif au Covid-19, le pass vaccinal n’est pas désactivé, suspendu ou annulé. Ce qui signifie qu’il n’existe aucune impossibilité technique pour une personne positive de se rendre dans un lieu public. Son QR Code sera considéré comme valide par l’application TAC Verif dont se servent les personnes chargées du contrôle dans les restaurants, transports ou encore musées.
Que faut-il comprendre ? Eh bien tout simplement que le PV (le pass vaccinal) ne sert pas à protéger les autres mais bien à fliquer les non-vaccinés, à les désocialiser, à les punir économiquement. C’est une mesure de répression politique, puisque les non-vaccinés correspondent à ce que le pouvoir considère comme la résistance, la résistance à la réinitialisation, ou au Great Reset, cette accélération sauvage de l’attaque mondialiste néolibérale contre les États et leurs peuples. Car ce sont bien les États, en tant que noyaux souverains, et leurs peuples censés être défendus par ces derniers, qui sont visés.
Dans l’article du Midi pas libre, les raisons invoquées pour cette contorsion sont sans importance, ce qui est important, c’est de comprendre que le PV n’a rien à voir avec la médecine, et encore moins avec le soin, mais avec les besoins du pouvoir profond de pouvoir fliquer et punir chaque citoyen. C’est le fameux crédit social à la chinoise.
Déjà, la SNCF, en douce, fait des tests grandeur nature sur la reconnaissance faciale dans les gares, sur plusieurs dizaines de milliers de personnes.
- La boule à faciales a remplacé
la boule à facettes
Et vous savez quoi ? Porter un masque ne garantit pas l’anonymat, car les logiciels qui repèrent les mouvements ont assez de données physiques pour repérer une personne et certifier son identité. Et vous savez quoi ? Le masque n’est (quasiment) plus obligatoire en extérieur. Mais c’est sûrement une coïncidence, pardon, c’est du pur coïncidentisme, l’inverse du complotisme.
Quand l’insécurité (volontairement entretenue par le pouvoir profond)
sert à fliquer les citoyens
« Le souhait de Valérie Pécresse, a l’approche des JO 2024, est de prévenir les actes de terrorisme dans les transports en commun »
(Frédéric Péchenard, vice-président de la région Île-de-France chargé des questions de sécurité)