À notre insu, nous assistons à l’effondrement de l’Empire.
Suicide de la Secte mondiale entraînant celui collectif de la société, son auto-destruction. La crise économique qui s’annonce à vitesse V, conséquence de leur façon de « gérer » la crise sanitaire, entraîne un chaos général et l’effondrement du Système.
Nous en vivons les prémices : il semble qu’il n’y ait pas péril : illusion !
À bord du Titanic au début, nous avons heurté l’iceberg – coronavirus –. Il a créé une brèche irrémédiable dans la société mondiale.
Nous sommes actuellement dans la période « coulera/coulera pas » !
Nous ressentons vaguement que le navire – la société – va irrémédiablement couler. Nous doutons encore – pour certains – mais il va s’enfoncer de +en+. (faillites gigantesques d’entreprises y compris multinationales ...).
L’orchestre – les propos rassurants des pouvoirs publics – jouera jusqu’au bout, alors qu’ils compteront des millions de faillites dans le monde.
L’ensemble dure 2h30 mais le paquebot coule en « 3 minutes » ! Le Titanic heurte l’iceberg à 23h40, l’orchestre joue jusqu’à 2h17 (le bateau est encore à l’horizontale), à 2h20 il n’y a plus rien du tout : tout a disparu en 3 minutes !
La préparation est longue, la dégradation peut l’être aussi, puis elle s’accélère, de +en+ et, le final, à savoir l’effondrement total, est aussi court qu’intense : en très peu de temps, plus rien !
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Lorsque l’accélération aura commencé, nous ne pourrons plus rien faire.
L’inimaginable, l’impensable, personne n’a idée de ce que cela peut être en réalité. Tant que l’accélération n’a pas commencé, nous croyons pouvoir encore s’en sortir : grand tort.
Lors de la chute de l’empire Romain dans sa partie occidentale, son déclin a commencé au III siècle,vers 235, à la fin de la dynastie des Sévères. Puis période de troubles : crise politique, épidémie de peste, crise économique. Puis les grandes mutations du IVe siècle avec Constantin, reconnaissance du Christianisme, succession de vagues d’invasion barbares. Le partage de l’empire en 395, les Sacs de Rome en 410-455, déposition de Romulus Augustule, en 476. Décomposition longue, complexe.
« L’armée du passé égoïste ne pourra que lutter contre elle-même ; chacun cherchant à attirer à soi le maximum d’avantages, il en résultera une gigantesque guerre d’intérêts maltériels opposés. Après cette lutte décisive, ce sont des années de longue adaptation de mises au point dont nul ne sait quand elles aboutiront. »
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