et 
!
C’est la question qu’elle est pas vite répondue. Les autorités ne savent peut-être même pas combien de clandestins, de migrants en situation illégale, ont franchi nos pseudo-frontières. Vu le niveau de sérieux de notre administration, le laisser-aller et la démotivation générale, personne, même Nunez, n’est capable de donner un ordre d’idées.
L’aveu : « Je ne voulais pas donner de chiffres pour ne pas nourrir de polémiques. »
Quelle différence entre 1 journaliste et 1 grande journaliste ?
Un ministre de l’intérieur peut dire devant Darius Rochebin #LCI qu’il y a 200 000 clandestins en France sans être repris
Face à Sonia Mabrouk… impossible !
Évidemment il concède 700 000pic.twitter.com/0P4w1BUKv7— Destination Télé (@DestinationTele) October 22, 2025
Les migrants, ça pousse comme du chiendent
Et puis, même si, ça changerait quoi ? Un million, deux millions, cinq cent mille ? La France est un gruyère, et un fromage, c’est-à-dire que tous peuvent y entrer facilement et taper dans le trésor. Bien sûr, beaucoup viennent pour bosser, avec un rapport de niveau de vie de 1 à 10 (la migration du bas vers le haut est une loi économico-physique), mais on a quand même l’impression que les migrants sérieux vont en Allemagne ou en Angleterre, accessoirement dans les pays du Golfe, car là-bas, on leur propose du solide.
Chez nous, avec l’uberisation accélérée de la société, et de l’économie (le bobo qui commande sa pizza à un migrant qui a acheté un compte à un petit malin de chez Uber Eats ou Deliveroo), c’est du gagne-petit, du salaire d’esclave. Peu de chance de monter en grade, peu de lutte sociale en perspective : les migrants n’en ont rien à faire, ils n’ont pas la fibre syndicale, et ne fonctionnent que par clans ou ethnies, donc horizontalité sur un mode marxiste impossible.
C’est antinomique de la France, mais de la France d’avant : celle d’aujourd’hui, américanisée à grande vitesse en seulement vingt ans par le tandem Sarko-Macron, peut entasser les communautés les unes à côté des autres, et les classes les unes au-dessus des autres. Ça donne un séparatisme social dur, une société ultra-cloisonnée qui génère incompréhension et violence, pendant que nos gouvernants nous bassinent avec le séparatisme musulman, ces escrocs...
La pince Stasi-Badinter
Maintenant, cher Bernard Stasi – le frère de Mario Stasi, lui-même père de Mario LICRA Stasi –, les chances pour la France sont devenues de vrais malheurs pour nos concitoyens. On le voit avec tous ces OQTF que nos ministre successifs de l’Intérieur laissent vaquer dans nos rues, forcément en marge, souvent en souffrance, ruminant leur haine de la France et des Français, des rêves de vengeance plein la tête...
Pas difficile de recruter des terroristes dans le tas, pour ceux qui auraient besoin d’exploiter le filon, pour des raisons politiques, par exemple. Le meurtre de Lola, c’est du pur terrorisme, et ça n’a pas été une chance pour cette petite Française.
@brutofficiel L’émotion de la famille de Lola après le verdict. #lola ♬ son original - Brut.
Ces poisons qu’on nous a injectés de force dans le gosier, ils ne sont pas à leur place, ils jurent dans notre pays.
Elle est loin, la France de tonton Bastianelli, avec ses reportages bucoliques, ses journalistes cultivés, pas encore devenus les chiens du régime.
