Egalité et Réconciliation
https://www.egaliteetreconciliation.fr/
 

Christophe et Stéphanie, agriculteurs reconvertis dans la vente directe

« On ne vit pas des céréales, on arrive à faire zéro, déjà à rembourser nos emprunts et à rembourser ce qu’on doit au niveau des intrants et tout ce qu’on peut mettre, rembourser le matériel qui est utilisé, on ne sort pas de salaire avec les céréales »

Christophe a repris une ferme pour 700 000 euros et il fait de la céréale. Il vit et travaille avec Stéphanie qui elle s’occupe de l’élevage de moutons et de lapins – plus rentables – nourris avec l’orge et la luzerne cultivés dans leurs champs.

 

 

Les agriculteurs français ont la parole avec le réseau d’entraide Solid’E&R :

Pour utiliser la science dans le respect des hommes et des animaux,
lire sur Kontre Kulture

 

Diversification, permaculture et circuits cours, sur E&R :

 






Alerter

30 Commentaires

AVERTISSEMENT !

Eu égard au climat délétère actuel, nous ne validerons plus aucun commentaire ne respectant pas de manière stricte la charte E&R :

- Aucun message à caractère raciste ou contrevenant à la loi
- Aucun appel à la violence ou à la haine, ni d'insultes
- Commentaire rédigé en bon français et sans fautes d'orthographe

Quoi qu'il advienne, les modérateurs n'auront en aucune manière à justifier leurs décisions.

Tous les commentaires appartiennent à leurs auteurs respectifs et ne sauraient engager la responsabilité de l'association Egalité & Réconciliation ou ses représentants.

Suivre les commentaires sur cet article

  • #1911030

    La politique imposée par les mafieux de Bruxelles est celle des "progrès" permanents de la productivité (Articles 33 & 39 de la PAC). De sorte que jamais un agriculteur français ne pourra lutter contre les Farmers US et le CEFTA. Seuls les marchés de niche peuvent encore être pertinents mais jusqu’à quand ? La misère avance ...

     

    Répondre à ce message

    • #1911233

      Il faut tendre vers l’autarcie, sortir du Régime et couper les fils qui nous relient à lui, par exemple sous la forme d’une communauté de cinquante ou cent personnes en vase quasi-clos afin d’avoir suffisamment de compétences (un médecin, un charpentier, un maçon, un fabricant de meubles, un électronicien, un boulanger, un éleveur de volailles, un céréalier, quelques profs, etc.) avec un système de troc, pourquoi pas fondé sur une monnaie d’échange quelconque, par exemple de l’argent métal ou un système de monnaie locale acceptée seulement au sein du groupe.
      Dix communautés s’agrègent, et on peut avoir des métiers plus rares (spécialistes médicaux, robotique, etc.).
      Il faut reconstruire le pays par la base, en commençant par cesser de reconnaître une quelconque légitimité aux suceurs de sang de Paris. Ils ne sont grands que parce que nous sommes à genoux, ça c’est une chose, et surtout ils ne vivent que parce que nous les nourrissons. La première chose à faire est de cesser de nourrir les parasites du Palais Bourbon et de l’Élysée (et des autres palais hérités de la France et occupés par l’anti-France), les parasites des multinationales, tous ces riches et ultra-riches qui vivent grassement sur le dos du travailleur.

       
    • Je suis d’accord avec vous Georges, c’est une idée qui m’a traversée et dont j’essaye de "construire" mentalement le projet mais il y a 2-3 obstacles.

      Monter une communauté de 100 personnes, on va dire quoi 15 couples et leurs enfants.
      Déjà il faut décider de comment on se "choisit" et des métiers indispensables pour fonctionner.

      Ensuite il faut qu’on puisse acheter le terrain énorme que nécessite l’emplacement où stocker ces personnes, les infrastructures, les champs, bouchers, boulangers, école, salle commune etc

      Ensuite acheter tous les matériaux nécessaires (en supposant qu’on puisse ensuite construire et installer tout nous-mêmes).

      Donc on va supposer que chacun des couples apporte avec lui une certaine somme qui permet de faire tous ces investissements qui doivent commencer à ce compter en quelques millions, tout nous appartient. Nous fonctionnons par exemple sur un système (je n’aime pas ce mot, trop connoté à mon avis mais tant pis) communiste, où tout est à tout le monde et où on répartie selon les besoins de chaque famille.
      Ce qui va nous permettre de déclarer 0 bénéfices puisque nous ne vendons strictement et légalement rien.

      Bien on est content , on va leur fout’ au... comme dirait l’autre mais non dernier gros problème, il faut payer des impôts sur la propriété, impôts locaux....
      Comment fait-on pour acheter des médicaments, des soins lourds, de la culture, des livres, de l’essence etc etc ?

      Bref, très bonne idée mais qui demande déjà une forme d’autonomie financière ou de capacité d’investissement initiale (sans prêts) assez lourde et une tyrannie d’Etat qui ne nous laisse aucune capacité d’autonomie réelle même avec investissement de départ vis-à-vis de lui.

      Il faudrait soit décider de vivre comme les mormons soit trouver un moyen de rentabiliser une production bio excédentaire, de la création artistique (ou autre) qui engrangerait de l’argent sale utilisable seulement avec approbation commune pour se fournir en denrées "extérieures" mais qui engendre donc des bénéfices taxables etc...

      Sans compter que ce genre de communauté, s’il elle veut rester perenne et éviter les dissensions, accusations sectaires ou juste une dérive doit avoir une sacrée bonne organisation légale qui garantisse à chacun une part égale de propriété du terrain et de chaque possessions de la communauté mais aussi que chaque couple ne puisse pas vendre à l’extérieur ou mettre la communauté dans l’embarras s’il veut la quitter...

      Pas impossible mais compliqué.

       
    • @Pedro
      Quand les gens seront prêts pour la solution, tout se mettra en place tout seul. Et chacun sera se gérer et se prendre en charge sans dependre de la communauté. C’est aussi ça l’autonomie, c’est arrêter de compter sur quelqu’un ou une communauté pour se réaliser. Une communauté autonome se forme naturellement avec des personnes autonomes et non pas des assistés qui attendent tout des autres.

       
    • @rie

      ce n’est pas attendre tout des autres, si chacun à sa place et son "travail" à faire il n’y a même pas besoin de mettre en place du troc.
      la laitière distribue le lait à chaque famille, le boulanger le pain etc etc

      vous êtes tellement obnubilé par les immigrés, les parasites etc que vous vous faite des idées sur tout.

      c’est bien beau de dire que quand tout le monde est près et autonome ça se fait tout seul... Expliquez moi alors votre version autonome du chacun pour soit uni s’il vous plaît ?
      Qu’est ce que la prof peut troquer contre du lait, du pain, de la viande ? Ou celui qui distribue le lait, qui tiens les comptes, qui fait garderie ?

      les choses sont plus compliquées que vous semblez le croire, il y a, dans une communauté des postes nécessaires qui ne sont pas producteurs mais qui ont tout de même une valeur. Il ne suffit pas de prendre 100fermiers pour faire une communauté.

       
  • "on ne gagnait rien mais on ne dépensait rien"
    Charles Péguy, "L’argent"

     

    Répondre à ce message

  • #1911075
    Le 2 mars 2018 à 12:42 par Mo’ Truckin’
    Christophe et Stéphanie, agriculteurs reconvertis dans la vente (...)

    Autre exemple d’agriculture et de vente directe :
    https://www.youtube.com/watch?v=L39...

     

    Répondre à ce message

  • #1911085

    Christophe, environ 30 ans, bac -8, a repris une ferme pour 700 000 euros.
    Alors pour info : A 30 ans, en travaillant dans la finance à Bordeaux, bac +8, avec comme compagnon un directeur de banque, ma soeur sera en retraite lorsqu’elle aura terminé de payer sa maison de 600.000 €.
    Mon meilleur ami, 30 ans, ingénieur en informatique vivant avec une smicarde, sera en retraite lorsqu’il aura terminé de payer sa maison à 450.000 €
    Moi-même dans l’artisanat, je serai en retraite lorsque j’aurai terminé de payer mon appart à 300.000 €.
    Donc comment Christophe a fait pour obtenir le droit d’emprunter 700.000 €, que beaucoup de banquiers n’ont même pas, si il ne génère rien ?
    Soit Christophe est un imbécile manquant de réalisme, soit Christophe génère des revenus énorme qu’il renvoie dans son prêt.
    Donc Christophe n’est en réalité pas à plaindre du tout puisqu’il gagne un salaire supérieur à celui d’un cadre, mais il chiale que le remboursement de ses 700.000 € ne lui en laisse pas quelques milliers derrière en plus.
    Pauvre petit bichon millionnaire qui se plaint... ça eu payé et ça paie encore ! hein christophe

     

    Répondre à ce message

    • #1911331

      Sauf que Christophe fournit à la collectivité de la nourriture. Votre meilleur ami dans l’informatique ne produit rien du tout. Et vous ?

       
    • Tout simplement parce qu il a de la famille qui lui a apporté de l argent. Quelqu un de sa famille s est porté garant.

       
    • #1911362

      Dans votre famille , vous vous logez avec "chasseur d’appart " ?....Essayez de vous rapprochez du petit peuple ....

       
    • #1911436

      Le condescendant "bac-8" !!!

      Tous les bac+5 ou plus que je côtoie ne sont qu’une bande d’imbéciles incultes sans aucune pensée complexe sur le monde.

      Le truc franco français à la con qui veut que vous soyez quelqu’un dans hiérarchie sociale en proportion de votre bac+.....

      Conneries....juste des parasites que les bac- nourrissent et entretiennent parce que pas foutu de se retrousser les manches pour vraiment BOSSER.

      J’ai horreur de votre système de merde...

       
    • #1911514

      @jeanloras, vous avez raison sur au moins deux points : 1. il n’est plus possible pour quiconque aujourd’hui d’accéder à la propriété sans s’endetter sur une période qui dépasse l’entendement. 2. Christophe n’est pas à plaindre car beaucoup de jeunes agriculteurs aimeraient bien avoir un outil de travail (une petite ferme et un peu de terre) et Christophe est effectivement un imbécile s’il a emprunté aux banques une telle somme, tout comme vous et vos amis d’ailleurs.
      @paul82fr, Christophe reçoit chaque mois des subventions et des primes pour continuer à nourrir la collectivité. L’exploitation de Christophe est sous perfusion, comme la majorité des exploitations en France. C’est ça votre modèle de production ?
      @mesencephale, ce n’est pas parce que tous les bac+5 ou plus que vous côtoyez ne sont qu’une bande d’imbéciles incultes, des parasites nourris par des bac-, qu’ils le sont tous. Avec de telles généralités la réconciliation n’est pas pour demain.

       
    • #1911535
      Le Mars 2018 à 22:30 par lecteur Soralien
      Christophe et Stéphanie, agriculteurs reconvertis dans la vente (...)

      @Jeanloras : les 700000€ c’est pour la rénovation.. bien entendu emprunté sur l’hypothéque du domaine familiale.
      Il a d’ailleurs de la chance d’avoir une épouse passionnée dans ces conditions. autrement ca serait l’autre misère qu’il aurait trimballé le reste de sa vie.

       
    • #1911673

      @reconciliation

      Vous avez entièrement raison sur la généralisation. D’ailleurs je ne pense pas mettre tous les bac+5 ou plus dans le même panier. Je parle bien de ceux que je côtoie. J’ai toujours espoir en l’être humain même si par moment des droites se perdent.

      Enfin pour la réconciliation, c’est comme la paix, il faut que toutes les parties fassent un pas. Autrement, je n’ai pas de temps à perdre avec les idiots. Je pense à eux dans mes invocations au Seigneur.....

       
    • #1912027

      @reconciliation

      Ce système a été mis en place bien avant ma naissance, donc non ce n’est pas MON système. Et vous n’avez pas répondu à ma question....

       
  • #1911154

    Exactement ce qu’il faut faire.

    Après, il faut aller plus loin, car
    - c’est toute la France "périphérique" qui doit parvenir à s’organiser elle-même, de façon autonome.

    La France "périphérique" dispose d’un atout stratégique majeur : elle peut assiéger la France non-périphérique.

     

    Répondre à ce message

    • Surtout que la France a la chance d’être un pays autosuffisant.

       
    • #1911605

      À Edward

      Exactement.

      D’ailleurs, il est édifiant de constater à quel point nos "élites" ont tenté de casser cette auto-suffisance ces dernières décennies, afin de nous rendre dépendants, nous faire perdre toute chance d’autonomie.

      C’est là une autre preuve de leur haute-trahison, de la façon criminelle avec laquelle ils ont trahi la France.

      Sous leur action, la France a pas mal perdu cette auto-suffisance, mais elle reste encore relativement présente, et ne demande qu’à être totalement remise debout.

       
    • #1911647

      Que la France soit auto suffisante cela reste à prouver. Dans de plus en plus de production nous sommes importateur net c’est à dire que l’année soit bonne ou mauvaise nous importons. De plus même si les stats offiicelles disent le contraire, avec un peu de bon sens on s’aperçoit de l’avancée de la friche, que depuis 1960 on n’a plus construit de silo, au contraire on a perdu 3M de t de stockage, que la bétonisation avance 1 département tous les 10 ans, que l’agriculture bio ne produit pas grand chose (que ce que lui donne la nature et que lui laisse les prédateurs, champignons insectes ravageurs. Quand on en parle entre paysan on pense plutot que l’on va vers la famine mais n’est ce pas une forme d’autosuffisance

       
    • #1911678

      À Beligue

      Oui : il faudrait bien quantifier tout ça :
      - Où en est l’auto-suffisance pour les besoins essentiels ? (elle est peut-être meilleure que mesurée par rapport à notre mode de vie actuel)
      - Quel plan faut-il pour restaurer cette auto-suffisance ? (part des jardins potagers privés, des AMAPs, du bio, du traditionnel, etc., et avec tout ça, quel est le plus court chemin vers l’auto-suffisance ?)

       
  • #1911194

    Ce FILS D’AGRICULTEUR a reprit l’exploitation FAMILIALE, c’est uniquement pour cette raison que la banque le suit à hauteur de 700 000 €, cela lui permet de ne pas prendre de risque. C’est la banque qui est PROPRIETAIRE de la ferme (via le crédit). La banque a juste besoin d’un "gestionnaire/exploitant/esclave" pour faire "fructifier" sont investissement (crédit + INTÉRÊTS) . Elle en a rien a faire qu’il fasse des céréales ou du lapin. Le jour où la réglementation brisera cette exploitation, il mettra la clé sous la porte, la ferme sera vendu (bâtiments+terre+matériel > 700 000 €) et la banque retrouvera ses billes. 700 000 € à environ 30 ans, il devient de facto esclave de la banque jusqu’à la fin de ses jours et s’il fait des gosses, il "risque" de leurs transmettre cet état d’esclavage comme l’a fait son père.

    C’est une exploitation qui est transmise pas une propriété, l’agriculteur loue la terre au banquier au prix fixé par le banquier (TAUX d’intérêts), il est là le pouvoir des banquiers.

     

    Répondre à ce message

    • #1911379

      "et la banque retrouvera ses billes" erreur fondamentale. La banque n’a rien avancé elle a tout juste créer de la monnaie virtuelle, des bits informatique plus réalistement. Par contre s’ il fait faillite elle empochera des biens convertible eux en monnaie sonnante et trébuchante, convertible en or. La différence entre un banquier et un canari....

       
    • #1912352

      Qu’entendez- vous par " ce fils d’agriculteur a repris " ?

      - A qui ? ==> qui a reçu de l’argent (700 000 €= 58 ans de Smic ou 39 ans à 1500€/mois)

      - a repris c’est quoi pour vous juridiquement ?

       
  • #1911464

    Le circuit encore plus court, c’est de cultiver et d’élever pour soi-même, comme le faisaient encore les français au siècle dernier.

     

    Répondre à ce message

  • #1911712

    Bonjour,

    Je crois connaître un peu le sujet. C’est complexe. Cela fait appel à beaucoup d’éléments que vous connaissez mais cela reste parcellaire.

    1/ D’abord que le prix de la terre est très variable donc qu’il convient de distinguer 2 groupes d’agriculteurs :
    Le premier a une terre à - 20 km du littorale, d’une ville, d’un lieu touristique attractif, d’une station de ski, dans un vignoble réputé, une terre très riche.
    Le deuxième groupe a des terres moins fertiles et sans perspective de valorisation foncière.
    Bon déjà il convient d’analyser l’investissement en connaissant le groupe.

    2/ Pour analyser correctement, faut avoir un minimum de connaissance en gestion. Mais le bon sens suffit.
    Mr X emprunte 700 000 € qui lui rapporte chaque mois 6000 € mais il redonne au banquier 5000 €.
    Mr X dit à son voisin qu’il gagne 1000 € en pleurant.

    Or Mr X gagne bien plus puisque qu’il va récupérer son capital + inflation à la fin du crédit soit 700 000 €.

    En fait, nos agriculteurs ont fait le choix de vivre pauvre pour être vieux et riche. Or ce système ne plait plu dans la société de consommation.

    Moi j’aurai été journaliste, j’aurai demandé au père de cette exploitant combien il avait touché lors de la transmission de la terre à son fils .
    Et cela soulève bcp de question moral.

    Voilà la réalité depuis 25 ans. Des agriculteurs partent à la retraite, vendent leur exploitation pour des sommes très rondelettes ( en fct du groupe) alors qu’eux mêmes en avaient hérité pour rien.

     

    Répondre à ce message

    • #1911801

      très bonne remarque, je connais un peu le sujet aussi et je suis d’accord avec votre commentaire.
      J ajouterai que pour moi, tant que les agriculteurs n’abandonneront pas ce système de production intensive, la situation ne pourra jamais s’améliorer, qui dit intensif dit : beaucoup de moyens, de matériels très couteux, de pesticides (quand on fait de l’intensif on est obligé, cf conférence de Bourguignon, magnifique), donc bien entendu Monsanto... et surtout au final crédit à la banque + interets = la corde au coup
      Alors que rien ne les empêches de se diversifier un peu et de voir plus petit, ça serait plus viable pour eux, et ils n’auraient pas besoin d’emprunter des sommes astronomiques. Je connais des personnes qui ont fait cela et vivent très bien. Comme on dit il faut faire avec ce qu’on a.
      j’insiste et j’invite tout le monde à s’interesser aux travaux de Mr Bourguignon

       
  • #1912073

    Je ne vais pas vous dire que c’est mal, bien au contraire, mais franchement, c’est du bouche trou.
    Ces gens parce-qu’ils avaient de la main d’oeuvre pas cher dispo (c’est à dire eux mêmes) sont devenus pluriactifs, en fait il ont un autre métier en plus d’être paysan.

    C’est très bien, mais vous croyez que tout les paysans de France vont pouvoir se retrouver tout les jours au marché avec du lapin et du mouton ? C’est une niche...
    Le problème de fond demeure, ils ne peuvent pas vivre par l’activité céréales. Prix mondial avec contraintes françaises ça ne marche pas. C’est comme dire à un commercial de chez Mercedes qu’il doit vendre au prix Dacia... ça ne marche que s’il fait aussi une Dacia...

     

    Répondre à ce message