« J’estime que le coup de genou que je lui ai asséné ce jour-là dans les parties génitales m’a remboursée. Je n’ai pas été une vraie victime. »
Christine Bravo a été un visage incontournable de la télévision française des années 90 et 2000. L’animatrice, entre autres, de Frou-Frou et d’Union Libre, revient sur sa carrière dans un entretien à Télé Loisirs, publié jeudi 1er février et réalisé à l’occasion de la diffusion prochaine d’un documentaire sur ses émissions, sur C8. Elle évoque notamment le sexisme du milieu de la télévision et les agressions sexuelles qu’elle a subis.
« J’ai subi trois tentatives de viol, dont une à TF1, il y a vingt-cinq ans. Un homme, dont je ne donnerai jamais le nom, m’a enfermée dans son bureau et arraché mon soutien-gorge », se souvient-elle. « J’ai hurlé, ça m’a sauvée. Mais les gens avaient la tête baissée quand j’ai pu sortir. Il n’y avait aucune solidarité envers les femmes à l’époque. Ce genre d’incident était monnaie courante », a déploré l’animatrice.
Christine Bravo encourage les victimes à parler « d’abord à la police plutôt que sur Internet ».
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En 2011, dans l’émission de Ruquier sur Europe 1, Fabrice a pincé les nibards de Chistine, qui n’a pas porté plainte (attention, la scène choc est déconseillée aux mineurs, aux homosexuels et à Caroline de Haas) :
En 2016, Christine offre des culottes sexy à Lapix en plateau dans une émission de service public :
Karine Le Marchand répond en 2016 aux questions cochonnes de Thierry Ardisson, un animateur producteur qui sera en 2018 mouillé dans une sale histoire avec son chroniqueur gay :