La presse française mainstream, vent debout contre le Pr Raout, devra s’expliquer un jour quand la crise du coronavirus deviendra le scandale du coronavirus, comme on a eu le scandale du sang contaminé, le scandale du distilbène, le scandale de l’hormone de croissance, le scandale du Mediator, le scandale de l’Association pour la recherche contre le cancer (avec l’ordure Crozemarie), le scandale de l’amiante...
Cette presse corrompue, mensongère, littéralement vendue à l’ennemi des peuples, ce pack de multinationales qui font passer leurs intérêts avant la santé publique, devra elle aussi rendre des comptes pour avoir joué la psychose et le sacrifice conscient de milliers de nos compatriotes, uniquement dans le but d’offrir de nouveaux débouchés au Big Pharma.
Cette presse était déjà idéologiquement et moralement pourrie, on le savait. Aujourd’hui, on sait qu’elle peut être dangereuse, voire meurtrière.
Touchez pas au Raoult. Fervent défenseur du désormais très médiatique, mais aussi controversé, professeur Didier Raoult, Christian Estrosi a une nouvelle fois pris le parti du spécialiste marseillais.
Invité ce vendredi [22 mai 2020] matin sur BFMTV, le maire de Nice a même estimé que le directeur de l’IHU de Marseille était victime d’un « lynchage médiatique », qu’il a dénoncé.
Christian Estrosi sur le Professeur Raoult : "Je ne comprends pas pourquoi on s'est livrés à ce lynchage médiatique" pic.twitter.com/nQkSmHqEZ6
— BFMTV (@BFMTV) May 22, 2020
Saluant les travaux de celui qui, d’après lui, est « le plus grand chercheur » de France, Christian Estrosi est donc monté au front contre ceux qui mettent en doute l’efficacité de l’hydroxychloroquine.
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« Parfaite ou imparfaite, il y avait une solution, a notamment estimé l’élu, qui a bénéficié de ce traitement alors qu’il était touché par le Covid-19. Je ne comprends pas pourquoi on s’est livré à cette espèce de lynchage médiatique de quelqu’un qui travaille, de quelqu’un qui ne veut pas se mêler de tous ces débats, de quelqu’un qui, au lieu de passer son temps à être un commentateur sur les plateaux de télévision, préfère se consacrer à ses patients ».
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L’ancien ministre de Nicolas Sarkozy critique un « monde scientifique » davantage constitué de « commentateurs que d’acteurs », d’après lui.
« Je ne les vois pas enfermés du matin au soir dans leurs laboratoires, mais je les vois surtout occuper tous les plateaux de télévision. […] Je suis plus derrière ceux qui agissent que ceux qui commentent », a-t-il conclu.
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Le passage d’Estrosi en entier sur BFMTV :