Dit autrement, la crise que nous traversons ne résulte pas de l’immigration mais de nous-mêmes qui avons abandonné ce que le Christianisme a fait de nous.
C’est très vite dit : Si l’immigration n’avait pas d’effet sur la force d’un collectif ça se saurait, et les sionistes n’auraient aucune raison d’y tenir tant que ça, vu qu’ils doivent essuyer qqs dommages collatéraux...
Evidemment qu’une invasion forcée (avec interdiction de la critiquer) induit une forme de résignation, de désintérêt politique, de baisse d’estime de soi et de la conscience de soi.
Bien sûr que cette "ouverture au monde" ne peut induire qu’un relativisme, un doute sur soi, ses valeurs, son hisrtoire, sa légitimité, qui est fatal aux autochtones, pas aux nouveaux arrivants.
Sans immigration, impossible de nous emmerder.
Sans immigration les gauchistes et les wokistes n’auraient jamais pu être inventés. La gauche existait avant, mais il ne lui était pas venu à l’idée d’être anti-patriote. C’est l’immigration qui lui a permis de se chercher un autre dada alors que les ouvriers commençaient à comprendre l’arnaque.
Et de façon générale, bien sûr qu’un changement de population implique un changement d’environnement suffisamment profond pour impacter l’esprit des gens...ne serait-ce que, pour commencer, le fait que la culture populaire (de rue) ait été phagocytée par une autre culture , ce qui est déjà une amputation énorme, une défaite sensible et indiscutable, qui atteint forcément le français, notamment l’autre jeune blanc bec de 12 ans qui a cru indispensable de devoir se "convertir à l’Islam" pour pouvoir se comporter comme un lascar. (alors que tu peux tout à fait rester franchouillardement chrétien pour violer ta voisine de classe !)
Des catégories se créent, auxquelles il devient très vite difficile d’échapper, et on se retrouve avec un pays divisés sur tous les fronts, où castes sociales et ethniques se superposent plus ou moins, empêchent toute unité durable, et s’enfoncent dans leurs préférences exacerbées et hostiles les unes aux autres.
Mais on peut effectivement supputer qu’un peuple ayant davantage foi en lui-même, défenseur de ses traditions, et peu sensible aux gémissement des droits-de-l’homme ne se serait pas laisser envahir aussi facilement. Mais si ce peuple renaissait aujourd’hui (Grenoble ?), m’est avis que certains même ici seraient les premiers à s’en distancer quitte à tortiller du fion..