Un « vrai vaccin » contient des antigènes spécifiques du virus ou de la bactérie suscitant une réaction immunitaire spécifique, et il est efficace. Les vaccinés contre la diphtérie ou la fièvre jaune sont protégés à vie de la maladie, ne peuvent donc pas la transmettre et n’ont aucun risque d’en mourir.
Mais ceux qui ont reçu les pseudo-vaccins anti-covid peuvent attraper la maladie, la transmettre et en mourir.
Les données acquises de la science montrent que se « vacciner anticovid » ne protège ni de la maladie, ni du risque de faire une forme grave, ni d’en mourir.
Recevoir l’injection anticovid ne protège pas de la maladie
À Chavagnes-en-Paillers, en Vendée [1], entre le 14 avril et le 21 avril, tous les prêtres retraités des Fils de Marie Immaculée ont reçu l’un des « vaccins » expérimentaux ARNm, à l’exception d’un prêtre infecté auparavant. Sur les 22 prêtres vaccinés, 21 sont tombés malades et sept sont décédés dans un délai de deux à trois semaines et demie.
On ne compte plus les EHPAD de France et d’Europe qui ont subi des flambées d’épidémies mortifères, malgré la vaccination de tous leurs pensionnaires. [2] [3] [4] [5] [6]
Quatre des neuf navires du groupe aéronaval de la Royal Navy, dont le HMS Queen Elizabeth, le nouveau porte-avions britannique, ont été touchés par une épidémie de Covid [7] avec plus de 100 cas, alors que tous les marins à bord avaient reçu leurs deux doses depuis plus de trois mois.
En Israël, les vaccinés représentent 40 % des nouveaux cas, mais les décodeurs du Monde ont le culot d’affirmer que c’est une bonne nouvelle [8]. « C’est pourtant là, chose tout à fait normale et attendue. » Craignait-il que les vaccins soient totalement inefficaces pour se réjouir d’un pareil échec ? Toute contamination d’un vacciné constitue un échec ; on n’en observe heureusement presque jamais avec les vrais vaccins classiques (qui n’existent pas pour le Covid-19 dans nos contrées).
Contrairement aux annonces des labos et de nos gouvernants, recevoir l’injection anticovid ne protège pas non plus des formes graves
Actuellement, en Israël, les vaccinés sont plus nombreux en réanimation que les non-vaccinés.
Cela démontre de manière formelle que les pseudo vaccins ne protègent pas des formes graves.
Recevoir l’injection anticovid ne protège pas de la mort par Covid
Santé publique Angleterre, faisant le bilan des derniers mois, constate que sur les 257 personnes qui sont mortes de Covid entre le 1er février et le 21 juin 2021, 163 (63,4 %) avaient déjà reçu au moins une dose du vaccin, et conclue : « les personnes vaccinées meurent plus que les non-vaccinées ». [9]
Constatation confirmée par O. Véran dans sa réponse au Conseil d’État en mars 2021 : « les personnes vaccinées sont aussi celles qui sont les plus exposées aux formes graves et aux décès en cas d’inefficacité initiale du vaccin ou de réinfection post-vaccinale ou de la virulence d’un variant. »
Un vrai vaccin efficace empêche d’être malade et encore plus de faire des formes graves et d’en mourir. Ce n’est pas le cas des injections géniques actuelles présentées comme de vrais vaccins.
Certains fastcheckers [10], pour désamorcer la bombe que constituent ces faits établis, n’hésitent pas à se ridiculiser en concluant : « Le fait que plus de personnes vaccinées meurent que de personnes non vaccinées ne compromet en rien l’efficacité des vaccins. En fait, c’est exactement ce que l’on attend des excellents vaccins. »
Est-ce de l’humour noir qui a échappé aux correcteurs ? J’espère que l’auteur, Christian Yates, non-médecin, a quand même été payé pour proférer de pareilles stupidités dignes des pires antivax. Ont-ils oublié que les vaccins contre la variole, la fièvre jaune ou la diphtérie protègent tous les vaccinés à vie et complètement contre les maladies cibles ?
Alors, pourquoi le gouvernement et les médias complices continuent de répéter la propagande des labos en prétendant que la vaccination protégerait à 95 % de la maladie et en particulier des formes graves ?
Les pseudo-vaccins n’empêchent pas la transmission aux contacts ni la propagation de la maladie dans la population
Aucune étude scientifique n’a pu démontrer que les injections diminueraient le risque de transmettre la maladie. L’examen des chiffres et des courbes – officiels – des cas publiés par l’OMS ou OurWorldinData, montre le contraire.
Les exemples – britannique, israélien et espagnol – montrent l’absence d’efficacité des pseudo-vaccins contre la dissémination de la maladie dans les populations ; ces champions des pseudo-vaccins sont actuellement confrontés à une forte reprise de l’épidémie avec des variants dont ils ont favorisé l’émergence.
Et même Olivier Véran l’a d’ailleurs reconnu dans sa réponse au Conseil d’État : « Le vaccin n’empêche pas de transmettre le virus aux tiers. »
Alors pourquoi le gouvernement et les médias complices continuent-ils de prétendre que la vaccination serait le meilleur moyen de lutte contre l’épidémie ? Les pseudos vaccins actuels ne sont pas dépourvus de risques
Le site d’Eudravigilance comptabilise plusieurs centaines de milliers d’effets secondaires et près de 19 000 décès post-injectons anti-covid.
La majorité des effets secondaires sont relativement bénins, mais imposent souvent des arrêts de travail de quelques jours du personnel des hôpitaux (au point de justifier la recommandation de la Haute Autorité de santé de ne pas vacciner en même temps les membres d’un même service).
Les myocardites et les péricardites (inflammation du cœur et de son enveloppe) post-vaccination sont des complications sévères maintenant reconnues par la FDA qui touchent principalement les hommes de moins de trente ans et plus encore les adolescents vaccinés.
Beaucoup de sportifs qui se vaccinent voient ensuite leurs performances baisser de 10 % à 20 %. L’alerte pour les sportifs de haut niveau vient de la Belgique. Elle a été relayée en France par Christophe Lemaitre, forfait pour le championnat de France à Angers, comme Jimmy Vicaut et le demi-fondeur Pierre-Ambroise Bosse non qualifiés pour les JO. Au lendemain des annonces similaires de Quentin Bigot et de Pascal Martinot-Lagarde, la cascade de forfaits de grands noms de l’athlétisme français après vaccination continue
Mais l’injection peut être aussi suivie de décès. Comme ce médecin âgé de 55 ans, sportif et alpiniste, mort d’une thrombose après une injection de Pfizer/BioNtech, ou cet agent hospitalier de 54 ans à La Garde, ou Carole Petit, une assistante sociale de 38 ans qui travaillait à Albi, morte de thromboses cérébrales fin mars, à l’hôpital Purpan, trois semaines après vaccination.
Les décès n’épargnent pas les jeunes comme ce jeune interne en médecine nantais en excellente santé et sportif dont l’autopsie « indique que la cause du décès est une thrombose abdominale (…) au niveau de la rate avec des caillots très récents ».
Les décès n’épargnent pas les sportifs de haut niveau. Ainsi Lise Vidal, double championne d’Europe de planche à voile, propagandiste de la vaccination est décédée brutalement à l’âge de 43 ans d’une hémorragie cérébrale après vaccination.
La ségrégation par le pass ne peut avoir aucun effet positif sur l’épidémie
Le passe constitue un moyen totalitaire de chantage brutal « vacciné ou enfermé » destiné à imposer l’injection par une voie détournée [11] en nous promettant qu’ensuite nous retrouverons nos libertés scandaleusement confisquées. Mais quel crédit peut-on accorder à cette promesse compte tenu des reniements habituels des promesses de Macron ? D’autant que beaucoup des covid-terroristes font actuellement campagne dans les médias pour toujours plus d’enfermement.
Mais on ne voit pas comment l’obligation d’un pseudo-vaccin (qui n’empêche pas d’attraper la maladie, ni de la transmettre, ni d’en mourir) pourrait améliorer la situation de l’épidémie. Les vaccins actuels sont tout bonnement trop inefficaces pour être utiles.
Et comme les titulaires de pass se croient protégés et prennent moins de précautions, on peut même craindre que l’instauration de pass entraîne une augmentation des contaminations.
C’est la tendance observée en Autriche qui a instauré ce système de ségrégation le 1er juillet 2021 et qui se trouve depuis avec une forte poussée de nouvelles contaminations.
Les organisateurs du festival Verknipt à Utrecht en ont aussi fait la triste expérience. Ils croyaient protéger les participants en subordonnant l’entrée du festival à l’utilisation d’un pass sanitaire. Les visiteurs ont dû en effet démontrer, via l’application CoronaCheck, qu’ils avaient été soit testés négatifs, soit vaccinés, soit guéris d’une infection corona précédente.
Mais quelques jours après le festival, sur les 20 000 participants, on dénombre, plus de mille nouveaux infectés par le coronavirus [12] (dont une majorité de vaccinés !). La porte-parole des services de santé de la région d’Utrecht n’exclut pas la possibilité que le nombre d’infections augmente encore dans les prochains jours. « Nous espérons que le pic a été atteint, mais avec la variante delta plus contagieuse, ce n’est pas évident. » Cet incident démontre que ni la vaccination ni le pass ne protègent réellement.
Alors pourquoi veut-on nous imposer encore des contraintes inefficaces ?
Pour une tout autre politique sanitaire
La politique totalitaire du mensonge-confinement-vaccination sans traitement a fait la preuve de sa nocivité sanitaire, sociale, économique et politique. Il est temps de suivre l’exemple des pays qui ont parié sur l’emploi de traitements précoces comme l’Inde et de nombreux pays africains qui comptent 5 à 10 fois de moins de morts par million d’habitants que nous. Et d’appliquer la recette du ministre de la santé de Taïwan qui a rappelé dès avril 2020 que « la démocratie et la transparence gouvernementale étaient essentielles pour vaincre l’épidémie. »
Stop au mensonge et à la dictature ! Libérons le pays.
Que le gouvernement cesse de nous mépriser en des termes orduriers tels que ceux qu’utilise G. Attal :
« Les non-vaccinés doivent se bouger le cul sinon ils auront une vie de merde. »
ou Castaner :
« On va vraiment vous pourrir la vie. »
Rassurons la population en rappelant que le variant delta ne nécessite qu’exceptionnellement l’hospitalisation et ne tue presque jamais et qu’il est de plus très sensible au traitement précoce par Ivermectine/chloroquine et antibiotiques, zinc et vitamines.
Reconstruisons l’hôpital en arrêtant les suppressions de lits qui se sont poursuivies durant la crise et en en créant de nouveaux.
Que le gouvernement arrête de menacer ceux qui sont en première ligne du combat, comme les pompiers ou les soignants dont trop envisagent de démissionner, alors que nous en manquons déjà si les menaces perdurent. Remotivons les soignants en ne leur imposant rien qui heurte leurs connaissances et leurs convictions, en les libérant du carcan administratif et en les payant mieux.
Encourageons enfin les médecins à utiliser les traitements précoces tellement efficaces, si une poussée entraînait des hospitalisations. Ils ont parfaitement le droit de les prescrire (en mettant hors AMM) tant que ce n’est pas le traitement « recommandé » par les instances. Mais en aucun cas ils ne sont interdits de prescription.
Si ceux qui sont censés nous représenter au parlement ne défendent plus nos libertés, faisons-le à leur place en manifestant partout et tous les jours et en organisant des grèves nationales jusqu’au retrait des mesures liberticides et à la démission des responsables.
Retrouvons nos racines du pays des lumières et des droits de l’homme. Donnons ainsi l’exemple du combat pour la liberté aux autres populations européennes qui commencent elles aussi à se réveiller telle qu’en Italie.