Jusqu’à début novembre 2024, les trans avaient le vent en poupe. Ils étaient partout, au-dessus de tout et de tous, intouchables, rois du monde riant de leur super-différence face à la foule des beaufs, sur laquelle ils crachaient du haut de leurs faux cils. L’acmé fut leur banquet antichrétien en mondovision du 26 juillet 2024, soir de l’inauguration des JO LGBT de Paris. Le début de la chute.
ALERTE INFO : L'évêque woke qui a attaqué le président Trump a reçu 53 millions de dollars de fonds publics pic.twitter.com/5Fb9xU1Kz9
— Trump Fact news (@Trump_Fact_News) February 7, 2025
Six mois plus tard, on ne sait pas trop ce qu’il s’est passé, juste après le 5 novembre – ça devait être une lune noire ou un mauvais alignement des planètes transphobes –, toute la transmania s’est effondrée. Ces surhommes, qui avaient tous les droits, celui notamment d’accuser les non-trans de transphobie à la moindre critique ou vanne, les ont perdus les uns après les autres.
Aujourd’hui, il ne leur reste que leurs faux nibards pour pleurer. Ils sont redevenus des nobodys, des beaufs, des gens-qui-ne-sont-rien. Pire, leur reine, qui squatte un château au cœur de Paris, est en train de tomber pour une vulgaire histoire d’âge ou de mari incompétent.
On parlait de JO et de trans, chacun sait qu’ils avaient infiltré le sport féminin pour voler des médailles. Aujourd’hui, c’est terminé. Un sale type, fasciste et blanc, donc transphobe, a décrété aux États-Unis que les transsexuels ne pourraient plus tricher. Le journal L’Équipe, en retard d’une guerre sur l’opinion, s’indigne.
Donald Trump a signé un décret interdisant aux athlètes transgenres de pratiquer des sports dans les catégories féminines, une attaque supplémentaire contre cette communauté qu'il cible particulièrement depuis son retour au pouvoir. https://t.co/T4gknbGJ54 pic.twitter.com/6em0CA2vyo
— L'ÉQUIPE (@lequipe) February 6, 2025
En réalité, 99 % des Français trouvent que la pénétration trans chez les femmes est au mieux une absurdité, au pire un danger. Les filles elles-mêmes ne sont pas d’accord pour rétrograder dans les compétitions.
Les femmes de l'équipe de natation de Pennsylvanie poursuivent l'université après avoir été forcées de partager le vestiaire avec la nageuse transgenre Lia Thomas. Elles dénoncent des menaces et des traumatismes émotionnels. Où sont les droits des athlètes féminines ? pic.twitter.com/alxwDWuEcl
— Trump Fact news (@Trump_Fact_News) February 6, 2025
Pour l’instant, la tornade antitrans qui ravage les USA n’a pas traversé l’Atlantique. Ceux qui s’intéressent au BrigitteGate en France sont toujours victimes de persécutions ou d’intimidations. Il ne s’agit pourtant pas de transphobie, puisque la Première dame est bien une femme, selon l’Élysée. Deux exemples exemplaires ici :
LÈSE-MAJESTÉ
▪️27/7/24
Adulé par Macron,l'artiste Th.Jolly exhibe une immense Marie-Antoinette décapitée pour les JO.
Macronie et médias s'en extasient.▪️6/2/25
Un artiste guadeloupéen expose un Macron décapité.
Macronie et médias s'en scandalisent et l'Élysée porte plainte pic.twitter.com/oJw7YPRxTG— François Asselineau (@f_asselineau) February 6, 2025
On peut donc se moquer de Marie-Antoinette mais pas de Macron-Antoinette. On ne voit pas comment arrêter la déferlante sur les réseaux sociaux, c’est comme si on voulait stopper un tsunami avec des seaux de plage.
Les convocations se multiplient. Plusieurs influenceurs, y compris des comptes modestes de 70 000 abonnés, sont aujourd’hui appelés au commissariat pour avoir simplement exprimé un avis sur l’affaire Brigitte Macron. Une tendance inquiétante qui soulève des questions sur la… pic.twitter.com/AuIYCig4ql
— ChienSurpris (@ChienSurpris) February 6, 2025