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C’est pas l’année des trans

Jusqu’à début novembre 2024, les trans avaient le vent en poupe. Ils étaient partout, au-dessus de tout et de tous, intouchables, rois du monde riant de leur super-différence face à la foule des beaufs, sur laquelle ils crachaient du haut de leurs faux cils. L’acmé fut leur banquet antichrétien en mondovision du 26 juillet 2024, soir de l’inauguration des JO LGBT de Paris. Le début de la chute.

 

 

Six mois plus tard, on ne sait pas trop ce qu’il s’est passé, juste après le 5 novembre – ça devait être une lune noire ou un mauvais alignement des planètes transphobes –, toute la transmania s’est effondrée. Ces surhommes, qui avaient tous les droits, celui notamment d’accuser les non-trans de transphobie à la moindre critique ou vanne, les ont perdus les uns après les autres.

Aujourd’hui, il ne leur reste que leurs faux nibards pour pleurer. Ils sont redevenus des nobodys, des beaufs, des gens-qui-ne-sont-rien. Pire, leur reine, qui squatte un château au cœur de Paris, est en train de tomber pour une vulgaire histoire d’âge ou de mari incompétent.

On parlait de JO et de trans, chacun sait qu’ils avaient infiltré le sport féminin pour voler des médailles. Aujourd’hui, c’est terminé. Un sale type, fasciste et blanc, donc transphobe, a décrété aux États-Unis que les transsexuels ne pourraient plus tricher. Le journal L’Équipe, en retard d’une guerre sur l’opinion, s’indigne.

 

 

En réalité, 99 % des Français trouvent que la pénétration trans chez les femmes est au mieux une absurdité, au pire un danger. Les filles elles-mêmes ne sont pas d’accord pour rétrograder dans les compétitions.

 

 

Pour l’instant, la tornade antitrans qui ravage les USA n’a pas traversé l’Atlantique. Ceux qui s’intéressent au BrigitteGate en France sont toujours victimes de persécutions ou d’intimidations. Il ne s’agit pourtant pas de transphobie, puisque la Première dame est bien une femme, selon l’Élysée. Deux exemples exemplaires ici :

 

 

On peut donc se moquer de Marie-Antoinette mais pas de Macron-Antoinette. On ne voit pas comment arrêter la déferlante sur les réseaux sociaux, c’est comme si on voulait stopper un tsunami avec des seaux de plage.

 

 

Non à la transphobite

 






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4 Commentaires

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  • #3489375
    Le 7 février à 13:26 par GERARD R.
    C’est pas l’année des trans

    Il faut battre le fer quand il est chaud. Vieux proverbe forgeron. C’est donc le moment d’organiser des... Normality Pride. Et pas qu’une fois l’an !

     

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  • #3489385
    Le 7 février à 13:36 par Sinabil
    C’est pas l’année des trans

    Le Trumpistan et le Macronistan...Deux salles deux ambiances...

    Quand Kathy Griffin s’était mise en scène tenant la tête d’un Trump décapité, l’intéressé avait réagi en personne en tweetant que c’était de très mauvais goût.

    Dans la même situation Macron porte plainte en se cachant derrière l’Élysée.

    Quant aux trans, ils auront leur revanche couillue, cousue de fil blanc résorbable le 3 mars, quand Karla Sofia Gascon sera oscarisée par la force des choses qui brillent par leur absence...un petit pas pour le wokisme ellegébétiste contre un grand pas pour l’Amérique depuis que Trump a remis la raison au centre du supermarché ricain.

     

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  • #3489394
    Le 7 février à 14:05 par nico
    C’est pas l’année des trans

    Je vous invite a lire les réponses sous le tweet de l’Equipe.
    Tous sont unanimes et il n’y a pas un seul message pour soutenir le délire woke de ce journal.

    On est vraiment ici dans un cas de figure radial ou l’ont peut clairement observer que l ’oligarchie agit contre 100% du peuple.

     

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  • #3489396
    Le 7 février à 14:09 par Jean-Marie
    C’est pas l’année des trans

    Je commence à croire que "la bête de l’événement est là, elle arrive" (en France aussi) depuis l’investiture de Trump.

     

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