Deux informations sans lien apparent se sont téléscopées dans les médias en cette fin de première semaine d’avril 2023.
1 - Thierry Casasnovas a fait l’objet d’un article aussi mensonger que meurtrier dans Le Monde, le journal qui entraîne en général la meute médiatique.
2 - Agnès Buzyn a déclaré sur France Info qu’elle ne peut plus marcher tranquillement dans la rue car elle a peur des antisémites qui lui en veulent pour sa politique au début du covidisme.
Bornstein : Vous décrivez sans vouloir le dire de l’antisémitisme.
Buzyn : Il y a eu une part d’antisémitisme clairement, en fait j’ai été reproduite sur les réseaux sociaux dans des dessins qu’on retrouvait au Moyen Âge, c’est-à-dire la...
Bornstein : Le mythe du juif empoisonneur.
Buzyn : Le mythe du juif empoisonneur responsable d’une épidémie de peste.
Vous nous fatiguez, les uns et les autres, à venir pleurnicher dans les médias. Des menaces, on en reçoit tous sur les réseaux. Tous. Cela ne vous exonère EN RIEN de vos responsabilités durant le Covid, madame Buzyn. Trop facile et pour tout dire : misérable. Stratégie #McKinsey https://t.co/Iy5YeyKDiO
— Didier Maïsto (@DidierMaisto) April 7, 2023
Rappelons à ce stade de la compétition que c’est le mari d’Agnès Buzyn, au côté de Bernard Cazeneuve, qui a été choisi en 2017 pour inaugurer le laboratoire P4 de Wuhan, d’où le fameux virus s’est « échappé ». Yves Lévy était alors patron de l’Inserm.
Par ailleurs, le mot « peste » a été utilisé par Jérôme Salomon, alors directeur de la Santé, le 23 avril 2020 pour qualifier l’épidémie de coronavirus.
« Dans l’histoire, elle peut être comparée à l’épidémie de peste de 1347 ou à celle de la pandémie de grippe espagnole de 1917... »
Rappelons en outre que c’est Agnès Buzyn qui a fait interdire l’usage de l’hydroxychloroquine, qui pouvait alors soigner en amont ceux qui avaient été contaminés par cette grippe un peu spéciale. La plupart des Français malades ont attendu chez eux, en vain, d’être soignés. Ceux qui sont tombés gravement malades ont été pris en charge trop tardivement, générant ainsi une surcharge des centres de réanimation.
Voilà pour les faits.
On attend le même traitement du Monde sur Buzyn
De l’autre côté de la barrière sociale, et oligarchique, Le Monde, ce chef de meute, tire à boulets rouges sur Thierry Casasnovas, qui a fait du bien aux gens avec ses conseils nutritionnels et qui n’a tué personne. Il est accusé de tous les maux par les médias qui dépendent d’un gouvernement qui dépend lui-même du Big Pharma, en ce qui concerne la politique sanitaire. Cela a été prouvé. L’attaque est aussi violente que grotesque, puisque en une le journal des marchés et des lobbies parle carrément d’un « empire Casasnovas ».
La (longue) suite est le déshonneur du journalisme. Il n’est question que d’argent, alors que Le Monde, qui a reçu 4 millions de dollars de Bill Gates, n’a jamais reproché au gouvernement sa collusion avec le Big Pharma, qui a profité comme personne de la psychose médiatico-politique du covidisme. On ne reviendra pas sur les nouveaux milliardaires à la tête de Pfizer et Moderna. Ce sont des intouchables à la tête d’un empire de mort.
Au lendemain de sa mise en examen, le 10 mars 2023, c’est sur sa chaîne qu’il publie un « communiqué de presse » en vidéo, dans lequel, cette fois face à la mer, il promet qu’il va « prouver son innocence » et en appelle à sa communauté : « Merci de continuer à soutenir Régénère », son mouvement, qui promeut la santé par l’alimentation et les plantes, y compris face à des maladies graves. Son « comité de soutien » a récolté en l’espace de quelques jours près de 100 000 euros grâce à une cagnotte en ligne sur le site Crowdbunker, prisé des mouvances complotistes, pour permettre à « Thierry et [à] sa famille de sortir la tête de l’eau », grâce à la générosité de 3 200 donateurs. Une « initiative indécente », dénonçait, mardi 4 avril, Sonia Backès, secrétaire d’État à la citoyenneté, sur Twitter.
Le fait de pouvoir vivre en marge de ce système complètement pourri, et dangereux (des dizaines de milliers de morts en France sont à mettre sur le compte des responsables de la politique sanitaire depuis 2020), est vu comme une menace pour la justice, la République, en réalité pour l’oligarchie aux commandes. Et Le Monde est le premier porte-voix de cette extrême minorité qui détruit la France à petit feu. Un feu qui pourrait bien emporter ce triste journal.