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Bug dans la matrice : Dylan Robert, César du meilleur espoir 2019, tombe pour braquage

 

 

Décidément, c’est pas la semaine des César ! Après la décision de l’Académie du même nom de nommer dans 12 catégories (meilleur acteur sioniste, meilleure réalisation sioniste, meilleur second rôle sioniste, meilleur scénario sioniste...) le film de propagande de Violanski, pardon, Polanski, J’accuse, provoquant en cela l’indignation des féministes et du grand public pas encore acquis aux délices du viol pédophile, c’est au tour du meilleur espoir masculin 2019 de ternir l’image de l’Académie, en tombant pour braquage. Quand la bien-pensance du monde du cinéma se heurte à une réalité un peu trop terre-à-terre...

 

Les films les plus nommés (ou nominés, ou nominationnés) sont tous dégoulinants de bien-pensance : il y a Les Misérables de Ladj Li, le réal que la Terre nous envie, qui a participé à un enlèvement, excusez du peu, mais il faut pardonner à un racisé victime de la violence du racisme du Ku Klux Klan français (Samuel, vérifie si ça existe, ça a intérêt à exister sinon toute notre démonstration se casse la gueule, débrouille-toi !), La Belle Époque de Nicolas Bedos, un enfant de la balle, producteur chez Canal+ à 19 ans, on ne rigole pas, et Portrait de la jeune fille en feu (au cul ?) de Céline Sciamma, le gouine-movie intello parfait.

 

 

On s’explique la complaisance du pitch du Figaro par la menace d’une dangereuse accusation d’antigouinisme :

« Céline Sciamma soigne le romanesque de cette ouverture, orchestrant par de belles atmosphères mystérieuses tous les thèmes qu’elle va développer dans son Portrait de la jeune fille en feu : la création artistique dans ses rapports avec la société, la condition féminine, la passion amoureuse, la solitude, la liberté. »

Ça donne une de ces envies d’y aller, non ? Au cinoche, pas aux chiottes, bande de mécréants !

L’affaire qui nous occupe aujourd’hui, puisque tout le monde a déjà parlé du lapsus bidon de Foresti, on appelle ça une préparation en laboratoire, Rachida Dati étant la spécialiste du truc, c’est donc ce meilleur espoir masculin 2019 écroué pour braquage. Voyons ce qu’en dit Le Point :

« L’acteur marseillais de 19 ans a été arrêté dans le cadre d’une information judiciaire ouverte pour vol avec arme et association de malfaiteurs à la suite du braquage d’un restaurant de la cité phocéenne le 25 octobre 2018, a précisé cette source, confirmant une information de La Provence. Le jeune homme a été interpellé vendredi à la gare Saint-Charles à Marseille, à sa descente d’un train. »

On voit à travers ce fait divers à quoi sert l’Académie des César : pas à faire la promotion du bon cinéma français, mais à lutter contre les discriminations, ce qui est tout à fait différent ; les deux ne se croisent pas forcément. La preuve : tous ces films de merde qu’il faut endurer, même quand on ne va pas les voir. C’est un univers médiatique qui fait mal au cerveau. On se demande d’ailleurs si la chute du téléchargement illégal n’est pas due à cette destruction programmée du 7e art...

En France, si l’on est homo, racisé ou de confession minoritaire, on a tout de suite droit à un César. Pourquoi ne pas inventer le César du meilleur racisé, de la meilleure gouine ou du meilleur pédé dans un film ? César du meilleur antiracisme, du meilleur antichristianisme... En fait, les récompenses reviennent à ça, pas besoin de les renommer, de les rebaptiser.

 

 

Quand on regarde le jeu des deux acteurs qui ont obtenu les César du meilleur second rôle masculin et féminin, on a du mal à le croire. Si Pialat voyait ça, lui qui justement travaillait dur et torturait ses acteurs (une bonne chose) pour donner l’illusion parfaite du réel...

 

 

C’est quand même se foutre de la gueule du monde. Faut pas nous vendre des WC pour des lanternes ! Pour ce qui concerne Dylan Robert, et là Zemmour n’aura pas à se plaindre de la francisation du nom ou du prénom, l’honnêteté et Wikipédia nous obligent à dire qu’il délinquait déjà avant le film :

« Natif du quartier marseillais de la Belle de Mai, Dylan Robert pensait devenir carreleur. Il abandonne sa scolarité à douze ans, faisant semblant d’aller en cours.

Alors qu’il est incarcéré pour des faits de délinquance, une éducatrice lui parle d’une audition du réalisateur Jean-Bernard Marlin pour la distribution de rôles du film Shéhérazade. Selon lui, le film alors en projet a été « un bon dossier devant le juge ». Durant tout le tournage, un éducateur pénitentiaire l’accompagne. Dylan Robert effectue plusieurs séances d’orthophonie avant le tournage. »

Sadisme bourgeois

Comptez pas sur nous pour planter un môme, qui a eu sa chance, mais pas non plus pour une pleurniche sur les méchants flics qui embastillent une victime de la société. Certes, il est difficile de s’en sortir en étant honnête quand on baigne dans un colossal merdier social, mais c’est possible, d’autres l’ont fait avant les habitants des quartiers. Le problème, ce sont les accompagnateurs sociaux qui sont souvent courageux, mais à l’esprit obscurci par les brumes de l’illusion socialo-antiraciste. Le môme ne voulait pas être « carreleur », on peut le comprendre, mais la France manque de bras dans le bâtiment : plus aucun jeune ne veut se lever tôt pour bosser dur. Et ça, tous les professionnels le disent. De l’autre côté, on a des assistants sociaux qui font faire du cinoche plutôt que de la scolarité à des enfants perdus, c’est pas la solution.

Le monde du cinéma, cette bande incestueuse et exclusive de bourgeois parisiens, est fasciné par l’enfance difficile. Attention, on ne fait pas d’allusion à la pédophilie ici, on parle vraiment de cette fascination du bourgeois pour la fange sociale, pour la barbarie de basse extraction, la violence d’en bas, la voyoucratie. Jacques Audiard, le réal homosexuel, a étalé cette fascination pour la racaille dans Un prophète, un film aussi joli qu’irréaliste, même si certaines scènes sonnent vrai.

 

 

Pour vous montrer qu’on ne délire pas sur la fascination (mêlée de pitié cynique), les deux espoirs du cinéma français ont été interviewés par Léa Salamé, madame Glucksmann à la ville, dans Stupéfiant ! :

 

 

La bourgeoisie médiatique, de temps en temps, grâce au loto du cinéma, tend la main à des nobodies d’en bas, à des gens de rien ou de peu qui vagissent dans le merdier, et parfois, quand le merdier les rattrape, cette bourgeoisie cynique relâche ses repêchés... dans leur merde. Le piège, ce sont les lumières du show-biz, cette fausse libération, qui sent effectivement le pognon, mais surtout la merde et la prostitution. Une merde chic, mais une merde quand même !

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73 Commentaires

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  • #2376368

    N’y a-t-il pas des cinéastes en France pour leur retourner leur vieux clichés redondants et moisis dans leur tronche ? Les milieux dits de droite ou de tendance nationale ont déserté la scène ou en sont chassé soit mais rien n’empêche aux réseaux de ces tendances de mettre en lumière les talents qui sommeillent parmi leur rang.
    Parler de cette fiente c’est toujours en faire de la promo qu’ils ne méritent pas. Il en va de même pour toute les formes d’art les vrais artistes ont disparu ou sont invisibles.

     

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    • #2376423

      Hello,

      Ils sont invisibles... à la télé, à la radio, au cinéma etc. C’est la censure depuis les années 70/80 (je pense surtout à la musique) Parce que si les artistes ( il y en a un paquet) s’expriment, les français de la télé ne vont pas aimer du tout... et si tu essaye d’entrer dans le show biz, tu constate tout de suite que c’est TOTALEMENT sous contrôle de ceux qu’on ne peut plus nommer... Pour cela il suffit d’écouter les textes de certains, qui sont d’un niveaux plus que mauvais (de "voiles sur les pétasse" à "alors regarde un pneu" C’est pour cette raison, ou plutôt cette communauté, qu’on se tape de la MERDE depuis des années, la liste est très longue, y compris les pseudo rebel rapeur qui se font tellement avoir dans leur contrat avec univers sâle, qu’ils sont obligés de faire dans le textile pour gagner de l’argent (booba "le playmobile" et sa marque de fringues de merde par exemple) . Idem pour le rock, représenté par phillipe maneuvre (depuis les années 70), ou là, on touche vraiment le fond. Il n’y a qu’une chose à faire... se couper des medias mainstream... c’est simple et totalement efficace...

       
    • #2376756

      A Greta
      Sauf que l’Internet a quelque peu changé la donne et je trouve dommage que des artistes de talents n’émergent pas par cet intermédiaire. Il y a des médias alternatifs sur internet aujourd’hui (E&R en est un) qui serviraient de passerelle pour de réel talent, et quitte à créer une plateforme dédiée à mettre en avant des oeuvres qui méritent de l’être.

       
  • #2376369

    Dylan Robert pensait devenir carreleur. Il abandonne sa scolarité à douze ans, faisant semblant d’aller en cours.



    Une fois de plus, ce sont les Inconnus qui parlent le mieux du "cinema" français. Tout est dit dans cette video :https://www.youtube.com/watch?v=jlP...

     

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  • #2376492

    Je ne remercie pas ER pour la découverte de ces 2 "talents". Kenza et Dylan, rien que les prénoms déjà... La prochaine fois mettez une mention sur l’article les gars, genre "déconseillé aux gens normaux et sains". J’ai failli tourner de l’œil.

     

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  • #2376511

    Pour ceux qui ne connaissent pas le vrai cinéma français mais qui aiment les films de voyous allez voir le deuxième souffle de Melville avec Ventura et Meurice. Dialogues et interprétations au plus haut niveau. Après on on oublie vite le cinéma d’aujourd’hui.

     

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  • #2376528

    Kenza Fortas , Dylan Robert, Léa Salamé, Tahar Rahim c’est quoi ?? c’est la France 2.0 ??
    Shéhérazade, le prophète , c’est la nouvelle culture ??
    On est où , là ??
    Tout ça va très mal finir
    Surtout quand les patriotes sont représentés par un Zemmour juif magrebin, quand l’antiracisme est représenté par un BHL, quand notre président sort de chez Rotchild, quand notre santé est représenté par Buzyn, quand nos retraites sont confié a Blackrock, quand notre économie est dans les mains d’un Attali, un Minc et un lobbie ultra communautaire, quand la télé, la radio, le cinéma est dirigé par des Drahi, Alexandre Arcady, Bruel, Sitruk et autres Elkrief, Elkabbach, Drucker
    Quand notre représentation devient invisible partout alors que nous sommes les autochtones...tout ça ne peut que mal finir
    Quand le petit blanc se sera aperçu de sa fin programmé, il ne lui restera que la violence
    On le voit avec la monté du racisme , des jeunes qui suivent des Conversano, ou de ses jeunes admirant le nazisme
    L’histoire ne repasse pas les plats, mais elle peut varier le menu
    Attention !!
    La ligne E&R est la meilleure, mais beaucoup essayent de l’invisibiliser
    Et on nous monte les uns contre les autres
    Et c’est pas le paysan de Dordogne ,ni l’éleveur du Béarn qui poussent au choc de civilisation , mais l’allogene de banlieues, le rappeur , le dealer , la racaille et sous la directive de qui on sait tous
    Force et honneur

     

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  • #2377088

    Un cinéaste ougandais, un autre monde :

    https://youtu.be/PUtiVL6z8wE

    Petit résumé : le gars a tout vendu pour acheter une pauvre camera , dont on ne voudrait même pas pour jeter, et à produit 30 films. 200$ de budget, une troupe régulière,des gens passionnes= films plus divertissants que tout ce qui se fait en occident.

    Ça vaut le coup d’oeil. Ce 20 minutes m’a fait comprendre ce que vivre en Afrique signifie.

     

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  • #2377130
    Le 31 janvier 2020 à 14:29 par Tristounet mon païs
    Bug dans la matrice : Dylan Robert, César du meilleur espoir 2019, tombe (...)

    Mais que sont devenus les français, je ne suis pas très vieux, mais je me rappelle dans ma jeunesse des Louis de Funès, des Jean Gabin, des Bourvil, Fernandel, du sport avec Bernard Hinault, Alain Giresse ,Dominique Rocheteau , Jean Pierre Rive, du cinéma d’Audiar, de l’humour d’un Devos, Pierre Desproges, des Léo Ferré, Brassens, de mon école et mes copains Pierre, Bernard, Christophe, Philippe, Pascal, Gilles....
    De Noël, la Chandeleur, la saint Jean, des crêpes, galette des rois, des jambons beurre cornichons, des vendanges, la castration des maïs, ou sont passé nos bals de campagne, nos fêtes traditionnelles, tout ça, ça date pas de très longtemps ,que je sache , et comment avons-nous pu en arriver là et si vite ????

     

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    • #2377618
      Le Janvier 2020 à 23:09 par Synodes sur l’encyclopédisme a une jambe
      Bug dans la matrice : Dylan Robert, César du meilleur espoir 2019, tombe (...)

      Putain t’es a la ramasse 
      Faut vivre avec son temps camarade
      Aujourd’hui c’est Bilal, gaypride, Tel-Aviv sur Seine, PreP, MacDo, les nuits fauves, 120 battements par minute, Mathieu Delormeau, Mounir Madjoubi, la Fistiniére et surtout shoah matin, midi et soir
      Tu hibernais où tu étais dans le coma ?
      Le réveil va être violent.

       
  • #2377732

    Je ne m’étonne plus de voir l’envol des pages FB et autres blogs dédiés à la nostalgie , tant pour le cinéma d"avant" ,la vie d’avant, la famille d’avant, les années 30-40-60-60-et même 70.. La propagande de la pourriture dans tous ses états, des déviances, de la laideur n’influence pas autant qu’(((ils))) l’avaient pensé.. La résistance c’est aussi ces pages qui ne sont pas que françaises , mais aussi anglaises, américaines ....

     

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  • #2378529

    J’ai fais l’effort d’avoir écouté le film car tourné à Marseille et avec des vraies habitants actuels de Marseille comme acteurs et figurants et c’est vraiment dégueulasse comme ville, comme misère, ils font pitiés ces gamins paumés en vérité et ça ne fais que me confirmer à quel point les français gauchiasses et tout ces pourris de l’état français et du showbiz sont des ordures intégrales !
    Les bobos/gauche caviar tiers-mondistes qui vivent comme des rois dans leurs beaux quartiers et écoles privés et qui victimisent et se servent de leurs ”domestiques immigrés”(expression de Charles Gave) comme faire valoir ”humaniste” tout sa en laissant les prolos français se faire vider les poches par le fisc et se prendre la criminalité et la merde en pleine gueule !

     

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  • Ouais, ouais, c’est qu’vraiment... paceque, ouais, ouais, euhhhh... mentalement, ouais, ouais...
    La konasse de service savait plus comment s’y prendre pour interroger ce débile. Bien fait pour elle.
    La dégringolade de la France se fait de plus en plus vite. A la prochaine génération, tout sera vraiment terminé. A moins que le peuple se réveille de la léthargie dans laquelle les pseudo élites l’ont plongé.

     

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