Quand on lit l’interview de Marlène dans Madame Figaro (la meuf à Monsieur Figaro), on se dit que le gros Harvey a bien foutu le souk avec ses turpitudes sexuelles sur les actrices qui ne sont pas des putes mais des femmes honnêtes qui cherchent à travailler pour que leurs enfants aient du pain. On n’est pas en 42 quand les Parisiennes se laissaient peloter par le boucher pour une bouchée de bœuf.
Aujourd’hui, la division entre les hommes et les femmes, pardon, la lutte pour l’égalité entre les femmes et les hommes a pris une dimension supplémentaire. On n’est plus à l’ère Belkacem, avec son petit budget, ses petits objectifs et ses petits résultats. On est à l’ère du progressisme intégral qui refuse la différenciation sexuelle et qui veut masculiniser la femme, féminiser l’homme et homosexualiser tout le monde.
Au moins les choses sont claires : l’hétérosexualité est un délit – d’opinion bien entendu – et la France va être rebaptisée Gomorrheland, un peu comme le Neverland de Michael Jackson, cet ogre mi-homme mi-femme, mi-noir mi-blanc, qui attirait ses victimes dans un parc à jeux idéal pour finir par les rôtir dans son lit.
Macron et ses sbires nous promettent plus d’égalité, comprendre moins de pouvoir à l’homme blanc hétérosexuel donc misogyne, raciste et homophobe, et ils y mettent le prix. La secrétaire d’État, responsable de la division Division des hommes et des femmes dans le grand et unique ministère de la Vérité, dont les autres divisions sont par exemple Paupérisation et Antiantisémitismisation, cette dernière touchant 100 millions pour faire reculer la Bête immonde (qui n’a pas bougé d’un poil), dispose d’un budget en propre de 30 millions, mais d’un trésor interministériel de 420 bâtons.
Ça veut dire quoi un budget intermachin ? Eh bien que d’autres ministères sont associés à l’opération de castration masculine nationale et que des budgets vont être non pas ajoutés, mais décrochés de ces budgets voisins pour arriver au grand résultat qu’on a dit, Gomorrheland. Un pays rien qu’avec des homos et des Amazones. Et des migrants, bien entendu, qui vont tirer dans le tas sans la moindre résistance des cibles molles, selon l’expression consacrée des militaires.
Ce qui veut dire que, entre autres, le budget de l’Éducation nationale va être amputé de quelques bâtons, juste pour faire la promo que l’on sait et qu’on a déjà vue partout : des vilains hétéros, de préférence blancs, qui agressent sexuellement des femmes, de préférence gentilles et avec un peu de couleur. On sait pas qui a écrit ces scénarios, mais ils correspondent tout à fait à notre petite analyse. La preuve en images, avec une série de trois clips comiques.
Le premier évoque le courage du jeune métis qui sauve une beurette des griffes de tripoteurs blancs (on aurait pu mettre Haziza dans le rôle, ça aurait été plus crédible) :
Le second montre un vilain Blanc qui se tripote devant une beurette apeurée :
Le troisième racotre l’histoire hélas courante du méchant patron blanc qui veut violer la jolie blanche mais un homme d’origine étrangère intervient :
Dans la même veine surréaliste on a « Catherine qui fraude la CAF et Gérard qui ne paye pas son pass Navigo »... Le site contre-info.com a même relevé que les 3 clips qui dénonçaient les agressions de pompiers ne montraient que des racailles blanches ! C’est vraiment du délire, on est chez Ubu, et Macron est notre roi.
Ceci étant dit, tous ces millions finiront à la poubelle puisqu’ils ne changeront pas le réel : ce sont les racailles de cités qui caillassent les pompiers, ce sont les hommes d’origine immigrée sexuellement frustrés et psychologiquement déracinés qui agressent les jeunes Françaises (de toutes les couleurs pour le coup), ce sont les lobbies parasites de la République qui obligent ce gouvernement de traîtres à produire ce genre d’inepties, uniquement pour fracturer la nation française.
Car une France unie, c’est la fin de ces puissances occultes. On va quand même passer un peu de l’interview de la coupeuse de couilles nationale, des couilles qui manqueront le jour où il faudra affronter les petits soldats du mondialisme qui sont importés en masse et disséminés dans tous les coins de France. Parce qu’on ne voit pas à quoi ils peuvent servir d’autre. À part faire chier nos femmes et nos filles, évidemment, et les homos (qui devraient réfléchir au progressisme). C’est peut-être ça qui va réveiller le pays, sait-on jamais : un vieux réflexe gaulois, une remontée de l’esprit de Valmy...
Donc un gros merci au gros Weinstein pour avoir harcelé ses actrices, une explosion atomique qui a déclenché le mouvement MeToo, qui a lui-même déclenché la grande campagne mondiale contre les hommes, ceux qui résistent justement à l’offensive libérale libertaire qui veut tuer les nations et foutre tout ce petit monde au garde-à-vous devant un nouveau gouvernement mondial situé à Jérusalem, une fois qu’elle sera débarrassée de ses vilains Arabes terroristes, évidemment. Tu veux garder ta maison, ta ville, ton pays ? Tu es un terroriste antimondialiste, anti-humaniste !
Voici le portrait en images du défenseur d’Harvey, Benjamin Brafman, qui a déjà sauvé les fesses de DSK après ses frasques au Sofitel en 2011. Ne ratez pour rien au monde la prononciation du nom Weinstein par la voix off : elle dit vinestine au lieu de vahinechtaillne à la manière de cette grosse faux-cul de Meryl Streep pendant la remise des Golden Globes 2017 !
Et maintenant, après cette longue introduction, place à l’interview de l’émasculatrice en chef dans Madame Figaro.
« Depuis quelques jours, Marlène Schiappa multiplie les prises de parole. Une année s’est écoulée depuis le séisme mondial provoqué par l’affaire Weinstein. Au lendemain de l’annonce sur RTL du premier plan de lutte contre les violences conjugales, elle nous reçoit dans son bureau du VIIe arrondissement à Paris afin de faire le « bilan » du mouvement Me Too et d’envisager le futur d’une société dans laquelle la parole des femmes doit être toujours plus libre et respectée. »
Oui, c’est important une parole libre et respectée. Tiens, en passant : Weinstein est-il le Einstein du cul ? Bon allez, un peu de sérieux :
Madame Figaro : « Un an après l’affaire Weinstein, la société a-t-elle changé ? »
Marlène Schiappa : « Il y a une amorce de changement. On ne peut pas changer des pratiques ancestrales, ancrées depuis des générations, en un an. Ce serait naïf de le penser. Mais maintenant on les voit, alors qu’avant, elles étaient tues. »
La journaliste du Figaro évoque ensuite le problème du harcèlement dans le monde politique, et Marlène dit que c’est un problème car c’est un monde d’hommes avec peu de femmes, du coup grosse pression sexuelle. Nous on a une solution : interdire la politique aux femmes comme ça plouf, plus de harcèlement. Même si on sait que la disparition des femmes fait exploser l’homosexualité, comme en prison. On n’en sort pas, bordel. Vous imaginez les hommes politiques coucher entre eux ? Castaner peloter Philippe, Manu-la-pelote (après Manu-la-tremblote) pourchasser un député d’Outre-mer ?
Sur le dossier des violences conjugales, Marlène rappelle sa grande avancée, qui va sauver des milliers de femmes battues :
« Nous sommes le seul pays où le président a rendu hommage aux victimes, en demandant une minute de silence à l’Assemblée nationale, et où la lutte contre les violences faites aux femmes est la grande cause du quinquennat. En Italie et aux États-Unis, le gouvernement est hostile au mouvement #MeToo. »
Les ritals et les amerloques sont vraiment des pourris. Maintenant, à chaque fois que vous verrez une femme battue, vous ferez une minute de silence et l’agresseur sera paralysé. On en arrive à la question du pognon.
Madame Figaro : « C’est la grande cause du quinquennat mais une incompréhension demeure : pourquoi ne disposez-vous pas d’un ministère comme cela avait été annoncé durant la campagne présidentielle ? »
Marlène Schiappa : « J’aimerais d’abord dire un mot des budgets, car il y a beaucoup de mauvaises informations qui circulent dans ce domaine. Le nôtre est à son plus haut historique. Il est de 30 millions d’euros là où il était de 23 millions d’euros sous Najat Vallaud-Belkacem (ministre des Droits des femmes de mai 2012 à août 2014, NDLR). Le budget interministériel s’élève, lui, à 420 millions d’euros et les subventions des associations sont en hausse. Nous bénéficions des moyens du Premier ministre (le secrétariat d’État chargé de l’Égalité entre les femmes et les hommes est sous tutelle de Matignon, NDLR), qui est très engagé pour l’égalité entre les femmes et les hommes. »
Et à quoi va servir tout cet argent qui va manquer ailleurs ? À la répression des machos et à l’éducation des enfants, cette dernière étant une répression camouflée : on va réprimer les tendances naturelles des mômes à la différenciation sexuelle. Les clips que vous avez vus sont la matérialisation de ce rêve désastreux.
Madame Figaro : « Outre le durcissement des sanctions, la lutte contre les violences faites aux femmes doit-elle passer aussi par l’éducation ? »
Marlène Schiappa : « Oui, absolument. C’est le sens des séances d’éducation à la vie affective et sexuelle, qui ont été tant décriées. Il y en a trois par an et l’on y apprend le respect de l’autre, le consentement, l’égalité entre les filles et les garçons… C’est également le cas du service national universel, où l’on transmettra également ces notions d’égalité entre les femmes et les hommes. C’est quelque chose qui se fait à tous les âges de la vie. C’est pour cela que l’on a mis en place une campagne adressée aux témoins (« Réagir peut tout changer », 4 spots diffusés à la télévision du 30 septembre au 14 octobre, NDLR). Souvent, les adultes savent mais ne font rien. »
Sur le modèle de la DILCRAH qui nous pique 100 millions pour nous faire la leçon sur un antisémitisme qui n’existe que dans leur esprit tordu, on va donc se fader de l’éducation au féminisme et à l’homosexualisme pour 420 barres.
Ces 420 millions sont un impôt sur les couilles. Au sens propre comme au sens figuré.