Je plussoie :
2 Frances : la France périphérique, et la France non-périphérique.
> La première doit reprendre la main, mettre en échec la seconde, et lui infliger une défaite d’une ampleur sans précédent.
Il faut bien voir une chose : c’est la France périphérique qui cultive la terre, fabrique les choses, etc.. L’autre France ne fait que gérer, et en plus, elle le fait mal, ou carrément en trahissant et en œuvrant contre la patrie. De plus, aujourd’hui, l’informatique et l’intelligence artificielle sont parfaitement capable d’effectuer cette gestion. Ce d’autant plus qu’à notre époque les gens ont pris l’habitude de s’organiser plutôt de façon horizontale que verticale (même si une verticalité et une hiérarchie est toujours nécessaire bien-sûr).
> Donc la France périphérique est en réalité bien plus nécessaire que la France non-périphérique, et on pourrait parfaitement se passer de la seconde, alors qu’on ne le peut pas de la première.