Un monde de pervers et de frappadingues… et rien n’empêche de cumuler. Au contraire ! En fait ce sont les deux faces d’une seule et même inhumanité élitaire devenue tératologique, biscornue, amorale à un degré difficilement imaginable. N’est-il pas dit que le poisson pourrit par la tête ? Or çà, de qui s’agit-il ? De ceux qui se veulent Messie et ombilic du monde, défient la mort et les lois naturelles, cela vient du fond des âges, autrefois adorateurs du Veau d’or et autres Baal Moloch auxquels d’anciennes peuplades sacrifiaient par le feu leur premier né.
Aujourd’hui nihil nove sub soli (rien de neuf sous le Soleil – expression tirée de la Vulgate) : le cyberespace ne bruisse-t-il pas avec une furieuse insistance de témoignages de repentis relatifs à des meurtres d’enfants perpétrés par des pédo-satanistes des côtes Est et Ouest des États-Unis (Californie hollywoodienne et New-York) ? Artistes, politiques et comédiens aux ego immatures et boursouflés jusqu’à l’avilissement le plus total – mais n’est-ce pas un titre de gloire pour ces personnages passés de l’autre côté de la mer des ténèbres ? – familiers du crime impuni, en mal d’éternelle jeunesse et de succès indécemment prolongés ? Si Dieu n’existe pas, alors tout est permis, plus rien n’est répréhensible à condition de se situer au-dessus des lois, de même que les frontières s’effacent avec la disparition des barrières morales. Ainsi en est-il de ces vedettes et peoples qui auraient passé (ou cru passer) un pacte luciférien à la façon de Dorian Gray ou de Faust (un conte inspiré par la vie d’un alchimiste du XVIe siècle), mais sur un mode autrement terrifiant : en consommant par exemple le sang saturé d’adrénochrome d’enfants (rituellement) sacrifiés. Autrement dit, un sang mêlé d’adrénaline produite massivement par les endocrines surrénales d’enfants terrorisés et martyrisés.
Ces rumeurs qui n’en sont pas
Au-delà de cette dimension horrifique qui n’est pas sans rappeler l’Affaire des poisons, à laquelle fut certainement mêlée Mme de Montespan, maîtresse du roi, les rumeurs actuelles quant à ces pratiques vampiriques sont à ce point persistantes, étayées par nombre de témoignages qui ont souvent toute l’apparence de la véracité… Encore que les thèses les plus délirantes recueillent parfois une audience inattendue telle par exemple celle la Terre plate… au demeurant ces délires ne sont-ils pas répandus pour discréditer habilement des vérités vraies mais autrement innommables, ceci en les dissimulant au sein d’épais brouillards d’absurdités destinées à semer et entretenir la confusion mentale ?
Parce que si le doute est permis quant à la réalité des atroces turpitudes attribuées à certains membres de la « jet set » (jet society), si l’on met bout à bout certains scandales, le doute peut légitimement s’installer… Certes, de tous temps ont circulé des histoires horrifiques sur les classes dirigeantes dont La vie des Douze César (121 ap. JC) de Suétone, secrétaire personnel de l’empereur Hadrien, est peut-être le prototype. Ce faux historien et vrai désinformateur nous livre « des portraits à l’évidence caricaturaux et biaisés. La postérité de cette œuvre fut immense et contribua largement à créer le cliché d’empereurs romains sanguinaires, débauchés, décadents ou fous » [wiki]. De ce point de vue – faisons un détour par l’actualité immédiate – que resterait-il du président Trump à la fin de son premier mandat pour des historiens qui n’auraient d’autres sources que la presse hexagonale ? Puisque bien entendu nous pataugeons dans l’inversion accusatoire (chère au prisonnier politique Hervé Ryssen, ignoré par la plupart des ténors de la soi-disant dissidence intellectuelle), l’opinion ne retiendrait à la lecture de ces faux témoins professionnels que la vilenie (apparemment) flagrante de l’actuel occupant de la Maison-Blanche accusé de tous les maux… Soit les deux cent mille morts américains dus à la pandémie, la liquidation en pleine crise sanitaire du reliquat de l’Obamacare, la responsabilité quant à la plus grande crise économique depuis 1929 et, at last, coupable des émeutes et des brasiers allumés par la haine raciale des Black Lives Matter qu’il aurait provoqué en cautionnant les violences policières à l’égard des Afro-américains. Quelles charges !
Et c’est bien ce qu’a montré le débat présidentiel du 29 septembre à Cleveland (Ohio) au cours duquel son challenger, Joe Biden aura développé ce percutant réquisitoire de campagne… aussi fallacieux qu’éhontément mensonger pour qui voit avec les yeux de la raison raisonnante, mais non pour ceux qui regardent la réalité à travers le prisme de l’idéologie. Ce pourquoi les anarcho-socialistes militarisés de Black-Blocs s’emploient avec ardeur à préparer le chaos social de demain, l’Amérique périsse pourvu que l’anarcho-socialisme triomphe… La gauche américaine mondialiste, amoraliste (cf. André Gide), athéiste et anoméenne, ne peut en effet ni admettre ni accepter que D. Trump, dont le programme est « la loi et l’ordre » (et centré sur les intérêts premiers de la Nation charnelle), puisse être reconduit à la tête de l’État fédéral.
Les démocrates n’ont donc eu de cesse de fomenter des coups d’État feutrés, quoique tous ratés les uns après les autres… Ce fut le Russiagate suivi par un nouveau fiasco, la procédure de destitution (Impeachment). Démocrates qui ont le feu aux fesses sachant que les dossiers commencent à être ouverts avec la convocation devant la Commission judiciaire du Sénat de quelques très hauts fonctionnaires de l’Administration Obama et… la publication des 35 575 courriels que Mme Clinton avait fait disparaître de son serveur privé après que le New York Times en eut révélé l’existence. N’étant pas parvenu à ses fins avant l’élection présidentielle du 3 novembre, l’État profond ne devrait pas reculer, le cas échéant, à déclencher des troubles (en cas de réélection du très indésirable populiste adepte de la doctrine Monroe : l’Amérique s’occupe en priorité de ses affaires sauf à ce qu’elle soit directement menacée à sa périphérie… comme dans l’Atlantique nord en 1917 par les submersibles allemands). Bref Trump est l’obstacle majeur à dynamiter en vue de faire aboutir le processus multilatéral de mondialisation.
Fût-ce au prix d’une guerre civile interraciale et/ou intercommunautaire ! Car les Black-Blocs, avons-nous dit, les mêmes qui ont dévoyé et cassé en France le mouvement des Gilets jaunes, sont prêts à être lancés dans la bataille pour la Maison-Blanche, les enjeux étant tels que l’État profond transnational ne reculera devant rien !
Retour sur les turpitudes élitaires
Il n’y a pas de fumée sans feu dit l’adage. En tout cas, pour ce qui en est visible, les soi-disant beautiful peoples se font remarquer plus souvent qu’à leur tour en matière de mœurs disqualifiantes… Ainsi le sieur Roman Polanski qui sodomisa une mineure de treize ans droguée au préalable ; Woody Allen accusé d’inceste (il épousa en outre l’une de ses filles adoptives), ou encore le cas emblématique d’Harvey Weinstein, l’un des magnats de l’industrie du cinéma américain qui, depuis les premières révélations du New York Times en octobre 2017, doit faire face à quatre-vingt-treize accusations de viol ou d’agression sexuelle tant et si bien que le 11 mars 2020, le grossium était condamné à 23 ans de prison et assurément sur des bases avérées !
Quant au réseau de prostitution du sieur Epstein, il nous intéresse particulièrement eu égard à sa filiale parisienne de l’avenue Foch. Affaire qui aura eu le mérite de lever un peu le voile sur les pratiques dégénérées de nos élites, droite et gauche confondues. Epstein, sinistre personnage trafiquant de chair fraîche et maître chanteur (pour rémunération de ses services très spéciaux ?) se suicide (certainement assisté) le 10 août 2019 dans sa cellule de haute-sécurité. Disparition qui a dû en soulager plus d’un… À commencer par le prince Andrew, Hillary et Bill Clinton familiers de son lupanar volant, un jet joliment baptisé Lolita express du nom du roman éponyme (1955) de Vladimir Nabokov relatant ses ébats avec un nymphette…
Un livre précurseur de ceux du très subventionné Gabriel Matzneff, pédomane revendiqué, à telle enseigne qu’il en fit un genre littéraire à part entière. Nouveau mauvais genre que le chef de l’État n’a pas hésité à afficher dans son portrait officiel en date de juin 2017, ayant fait figurer sur cette photographie officielle, trois références très soigneusement choisies (dixit la porte-parole d’alors, Sibeth Ndiaye) dont un, bien visible et en bonne place, Les Nourritures terrestres du pédéraste André Gide… Tout un programme.
- Madame et Girard sponsor de Matzneff via Pierre Bergé Le 14 sept. 2020, Pierre Aidenbaum, autre adjoint de Mme Hidalgo à la mairie de Paris,quittait ses fonctions en raison d’un nouveau scandale sexuel.
L’affaire du prédateur sexuel Epstein éclabousse Jack Lang
Maintenant y a-t-il un lien entre l’ancien ministre de la Culture Jack Lang (actuel président de l’Institut du monde arabe) et le pédocriminel Jeffrey Epstein ? Le 5 octobre 2020, le site américain Daily Beast révélait qu’Epstein, par le truchement de son organisation Gratitude America LTD, avait consenti en 2018 une donation de 57 897 dollars (environ 49 000 euros) à l’Association française pour la promotion de la politique culturelle nationale menée dans les années 80 et 90 du siècle dernier… autant dire une association entièrement dévolue à la gloire du beau Djack ! Créée en juillet 2018 et domiciliée au 164, boulevard du Montparnasse (XIVe), très curieusement l’association ne possède ni site internet ni réseau social et se trouve pilotée (un hasard ?) par des proches de Jack Lang, son président en étant Christophe Degruelle, conseiller municipal à Blois dont Lang fut le maire de 1989 à 2000 ; Jacques Renard, trésorier, est un ancien directeur adjoint et chef de cabinet de l’ex-ministre de la Culture quand celui-ci était au gouvernement entre 1980 et 1990. Or cette « association » bienheureuse – dont nul ne sait à quoi elle peut bien servir ni de quelle manière ses fonds sont utilisés – est l’une des trois dernières (et la seule française), à avoir bénéficié des largesses de Jeffrey Epstein juste avant son arrestation le 7 juillet 2019 pour trafic sexuel de mineurs.
- Copains comme cochons
Né le 20 janvier 1953 à Brooklyn, Jeffrey Edward Epstein a prétendument fait carrière dans la finance. Millionnaire, prédateur sexuel et personnalité mondaine, ce proche de l’ancien président des États-Unis Bill Clinton, du prince Andrew et des milieux du show-biz, a été dès 1996 accusé de pratiques sexuelles abusives. Inculpé en 2006 et jugé en 2008, Epstein négocie une peine de prison de dix-huit mois et l’immunité pour ses comparses. « Il effectue sa peine dans des conditions particulièrement favorables, obtenant notamment le droit de se rendre à son bureau six jours par semaine. Aucune de ses victimes ne fut informée de l’accord passé avec la justice alors même que la loi l’impose. Des courriels divulgués en 2018 montreront que les magistrats se sont couchés devant l’énormité des relations du prévenu. » [wiki] Ne parlons pas de corruption (morale) des juges américains, ce serait peu charitable. Épisode ou accident de carrière qui ne l’a pas empêché de poursuivre ses exploits jusqu’à sa chute finale. Epstein est en fait réputé avoir bâti sa fortune – estimée à 577 millions de dollars au moment de sa mort – en dissimulant des caméras dans les murs de ses propriétés – des bordels pour le gratin – où il recevait ses nobles amis (entendre ses clients) afin de filmer leurs ébats et par la suite, éventuellement, les faire chanter… et danser. Qui a dit que le vice ne rapportait rien ?
Lang et Epstein se connaissaient parfaitement bien – pensons au don de 50 000 dollars – s’étant rencontrés pour la première fois à l’occasion d’un dîner en l’honneur de Woody Allen, lui-même alors sous le coup d’accusations de viol, en particulier celui de sa fille âgée de 7 ans. Sa rabatteuse en chef, Ghislaine Maxwell accusée de complicité dans le dossier Epstein, a été appréhendée par la FBI après une course poursuite de plusieurs mois, et si elle ne l’a pas déjà fait, elle est très susceptible de parler ! Le monde tremble sur ses bases, ce pourquoi, les oligarchies pécheresses prient aussi pour que le diable Trump rentre au plus vite dans sa boîte. Issue d’une puissante famille juive et socialiste (travailliste) du Royaume-Uni, son père, Robert, fut l’un des grands mogols de la presse britannique et actionnaire minoritaire (mais dominant) de TF1. Las, sa mort prématurée – après avoir vidé les caisses de retraite de ses employés – est intervenue dans des circonstances non élucidées au large des îles Canaries… Il est enterré au cimetière hébraïque du mont des Oliviers.
Pauvre Djack, aura-t-il tant vécu que pour finir, vieux et ridé, éclaboussé par un sordide scandale d’exploitations sexuelles de mineurs (une forme, parmi beaucoup d’autres, modernisée, up to date, de l’esclavage) ? Déjà en juin 2011, cela avait failli tourner vinaigre, quand Luc Ferry, ex-ministre de l’Éducation nationale avait accusé sur Canal+ (toutefois sans le nommer explicitement mais le propos était transparent) Jack (prononcer Djack) de commerce pédophilique avec de jeunes marocains dans les riads chicos de Marrakech. On parla même de décès accidentels durant des parties violemment festives…
Le proche avenir, espérons-le, remettra le monde à l’endroit avec (mais pas seulement) le maintien aux affaires du président Trump qui pourrait contribuer à arrêter l’actuel processus de basculement de l’histoire… Juste avant l’instauration ou l’avènement d’un Meilleur des Mondes où sexe, drogue et abrutissement télévirtuel à gogo (en guise de liberté) régenteront une humanité déchue. Une involution qui semble devoir balayer la civilisation et la remplacer par un universel chaos ethnique, culturel et moral. Un progrès où les machines auront remplacé l’homme, privé du labeur salvateur, dès lors condamné à une existence larvaire de pur consommateur et autorisé à accéder à la grande marmite collective du diable selon son degré de soumission à l’ordre social (on ne parlera plus alors d’ordre politique) repérable grâce à la mise à jour quotidienne de son permis à points de bonne ou mauvaise citoyenneté… Un procédé de contrôle des foules déjà opérationnel en Chine populaire. Modèle sociétal fortement inspirant pour nos oligarchies prédatrices.
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