Cette semaine, les réchauffistes français vont devoir – une nouvelle fois, après les grosses crues et le remplissage des nappes phréatiques qui devaient être vides – se cacher. Mais ils ont une raison, qui s’insère bien dans leur idéologie : le Moscou-Paris. Un phénomène extraordinaire qui ne remet pas en question les 50 degrés du Paris 2050. Ouf !
Le Moscou-Paris, ce n’est pas un train de luxe qui part de la gare de Lyon et qui traverse toute l’Europe, vers un est de sinistre mémoire, mais une vague d’air froid continental venue de Russie, et plus précisément de Sibérie.
Pour les agents ukraino-réchauffistes de l’OTAN en France, il s’agit peut-être, on dit bien peut-être, d’une nouvelle arme, l’arme poutinéo-climatique. Un rayon polaire qui gèle les couilles des Français, hommes et femmes confondus, et qui repousse notre tendre climat océanique (atlantique, pour être précis, soit doux et humide), dans lequel baigne une bonne partie de l’ouest français, à la flotte.
La douceur océanique – devenue réchauffiste pour les besoins d’un gouvernement mondial – reviendra dans une semaine, après que le froid aura explosé nos compteurs EDF et autres fournisseurs d’électricité.
Cette nouvelle arme poutinienne est probablement une réponse à l’interdiction d’acheter du gaz russe, émise par les USA et transmise à sa putain, l’UE (prononcez luheu), un sigle vraiment moche, aussi moche que Leyen. Le maître du Kremlin disposerait d’une console avec un curseur spécial, celui des températures ouest-européennes.
Là, il va nous envoyer, un peu comme un coup d’anti-jus, du moins 3 dans les dents, mais ça pourrait être pire. Imaginez le Paris d’Hidalgo avec des pluies torrentielles en pleins JO... L’horreur. En tout cas, les combes du Jura risquent de descendre à moins 20.
« Ce froid on le voit venir de loin » (BFM TV)
Notre question : Poutine va-t-il lancer une attaque sur une Suède paralysée par le froid ?
Il ne nous reste plus qu’à prier, prier que les Amerloques, nos amis pour la vie (et la mort aussi) nous envoient une vague de chaud, du Pacifique par exemple. Cela redorerait le blason de ce pays grand par la taille, mais petit par la générosité.