« Hitler a déshonoré l’antisémitisme », écrivait Georges Bernanos après avoir rompu avec l’engagement maurrassien de sa jeunesse, pour s’opposer radicalement au fascisme.
Or dans la très honorable université de la Rochelle, des étudiants, encadrés par un honorable enseignant et par un atelier théâtre non moins honorable, ont écrit et joué une pièce dont l’objet était de décrire et de combattre la mondialisation. Projet honorable, décidément…
Sans doute par un fâcheux hasard, la mondialisation s’incarne en une entreprise familiale, l’entreprise Goldberg, toute puissante et sans scrupule. L’argent mondialisé, c’est naturellement le juif. Ce premier stéréotype ne suffisant pas, la multinationale Goldberg and Co décide d’investir sur l’avenir, en spéculant sur les enfants mis au monde.
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