« C’est un nouveau Berlin dans le monde », commence le Père Georges Sabé, responsable des frères maristes à Alep. D’autres chrétiens parlant français témoignent du déchirement de leur ville, au cœur du conflit syrien depuis 2011. Malgré les bombardements et les snipers, les coupures d’électricité et le manque d’eau, grâce à sa foi, cette communauté multimillénaire survit, s’organise, et attend sa libération.