Egalité et Réconciliation
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Alain Soral sur Quincy Jones

 

Extrait de

Effondrement culturel, épisode 1 : la musique

Le premier volet de la rencontre Alain Soral-Gilles Lartigot
disponible pour tous en vidéo à la demande !

Plus de deux heures et trente minutes d’échange

 

 

 

 

L’émission est également accessible pour les contributeurs
au financement associatif d’Alain Soral (à partir de 20€/mois)

 

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13 Commentaires

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  • #3452160
    Le 11 novembre à 11:22 par Krak
    Alain Soral sur Quincy Jones

    Nadia Boulager sœur de Lili... "d’un jardin clair" à écouter... composé à 18/19 ans je crois .
    Un autre temps.

     

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  • #3452162
    Le 11 novembre à 11:22 par Oasis
    Alain Soral sur Quincy Jones

    Quincy c’est notoirement une fine antenne qui a su s’entourer de remarquables talents à chaque période musicale, qu’il a su ’diriger’.
    Beaucoup de bonhomie et d’adresse sociale chez cette homme.

    Pour sa période à grand succès soul/funk, c’est entre autres Bruce Swedien, Rod Temperton, M.Jackson évidemment.

    MJ prend de l’assurance et le vire plus ou moins (ils ont quand meme bossé presque 10a ensemble - de The Wiz à Bad),
    Parce qu’il estime qu’il ne s’engage pas assez dans le virage sonnore liée aux nouvelles tech.
    Effectivement Jones a essentiellement des succès d’estime par la suite, pendant que son ex-chanteur consolide sa conquête musicale planétaire (commerciale diront les ingrats) en collaborant toujours avec Bruce Swedien et de jeunes équipes talentueuses (Teddy Riley, Darkchild surtout, Slash comme guitariste) ayant aussi un baguage musical mais appréhendant mieux la tech.

    Pour ma part, j’apprécie particulierement le travail de Q avec Nana Mouskouri :
    Une chanteuse surement plus receptive qu’MJ qui lui opposait son point de vue, en tant que co-producteur, meme à un age assez jeune.

     

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  • #3452165
    Le 11 novembre à 11:38 par Oasis
    Alain Soral sur Quincy Jones

    Quincy a su imposer des collaborateurs de discrete renommée :
    MJ voulait de grands noms sur Bad : Prince, W.Houston,
    Q a imposé la musicalité et l’authenticité de l’iintention avec Siedah Garett pour un magnifique duo et surtout la composition de la meilleure chanson de l’album, meme de toute sa discographie : Man in the Mirror.

    Quincy a produit Zaz, que j’apprécie pour ma part. Il a plus ou moins envoyé bouler Oph.Winter qui lui tournait autour en bonne opportuniste.
    On se comprend...

     

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  • #3452172
    Le 11 novembre à 12:01 par Alain Bispol
    Alain Soral sur Quincy Jones

    Désolé M. Soral. Mais dans les voix de Chaka Khan et Patti Austin, qui doivent tant à Quincy Jones, il y a aussi des images de gros culs (noirs, mais chut). Bon, d’accord, c’est plus suggéré qu’affiché (on n’est pas chez Koffi).
    Hélas, Q. Jones a largement participé au lancement du rap en France avec son album avec Ray Charles et Chaka.
    Son 75e anniversaire reste quand même un bon moment même si toute la bourgeoisie noire démocrate s’y exhibait.

     

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  • #3452184
    Le 11 novembre à 12:29 par Mary M
    Alain Soral sur Quincy Jones

    Quincy qui a fait Michael Jackson avec 3 albums exceptionnels mais quand Quincy prend en main Michael Jackson, il a 50 ans de carrière solide derrière lui avec les plus grands noms du jazz et de la soul. Il est déjà un compositeur et arrangeur accompli. Les débuts de sa carrière commencent avec Lionel Hampton qui ne savait pas lire une partition, il le suit en tournée alors qu’il est tout jeune, il décrit tout ça dans sa bio qui est assez intéressante à lire car elle décrit l’évolution de la musique américaine des années 30 aux années 90, son amitié avec Ray Charles (avec lequel il n’a jamais signé un contrat tant leur amitié était forte). C’est passionnant pour les mélomanes.
    Michael Jackson a toujours été plus populaire que Prince car plus accessible mais on peut se demander, si Quincy Jones avait produit 3 albums avec Prince si l’histoire de la musique des années 80/90 n’aurait pas été toute autre.
    JACKSON était un interprète et un danseur exceptionnel, certes, mais Prince était un interprète et un multi-instrumentiste (maîtrise de 25 instruments). Si Prince et Quincy avaient travaillé ensemble, nul doute que la carrière de Michael Jackson n’aurait pas été la même et que Prince aurait pris le dessus historiquement.

     

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    • #3452297
      Le 11 novembre à 17:44 par Surnom
      Alain Soral sur Quincy Jones

      La carrière de Jackson était déjà bien lancée avec les Jackson five, Prince n’existait pas encore. Si Q a plus bossé avec Jackson que Prince, c’est qu’il le trouvait meilleur.

       
    • #3452301
      Le 11 novembre à 18:07 par Eric
      Alain Soral sur Quincy Jones

      La première participation avec Jackson c’est sur « Off the wall » (1979). Étant né en 1933, Q.J . avait alors 46 ans. Il n’avait donc pas 50 ans de carrière derrière lui, même en étant très précoce ! :-) Ça n’ôte évidemment rien à son talent ni à l’intérêt de son parcours.

       
    • #3452332
      Le 11 novembre à 19:30 par loulou
      Alain Soral sur Quincy Jones

      Et il était surement plus facile de travailler avec Michael Jackson qu’avec Prince.

       
    • #3452366
      Le 11 novembre à 21:28 par Eric
      Alain Soral sur Quincy Jones

      « Si Q a plus bossé avec Jackson que Prince, c’est qu’il le trouvait meilleur. »
      Comparaison n’est pas raison. De manière plus pragmatique, il savait surtout que Prince étant lui même capable d’arranger et de produire ses musiques, en plus du reste, il n’avait donc nul besoin de ses services et on peut considérer que ça ne présentait d’intérêt ni pour l’un ni pour l’autre.

       
    • #3452377
      Le 11 novembre à 22:28 par Mick
      Alain Soral sur Quincy Jones

      Prince était son propre superviseur musical ; il ne collaborait pas avec de tels ’producteurs’. La question ne se pose pas trop, donc.
      J’ai entendu que Prince avait sollicité Q dans les années 90 et que celui-ci n’avait pas accepté entre autres par loyauté envers M.Jackson (avec lequel il ne travaillait plus, pourtant). Mais j’ai aucune preuve.
      MJ avait un mode de travail plus collaboratif, par rationalité et le fait qu’il n’était pas bon instrumentiste (hormis la voix et la beatbox).

       
  • #3452195
    Le 11 novembre à 12:58 par Lo
    Alain Soral sur Quincy Jones

    Merci Tonton Alain !

     

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  • #3452228
    Le 11 novembre à 14:31 par Enki
    Alain Soral sur Quincy Jones

    Oui, parce qu’une formation classique au sens où je fais mes « classes », c’est la voie droite de celui qui monte l’escalier pas à pas ! Y’a pas photo. J’étudie en ce moment une sonate de Mozart au piano. Je me suis donné deux ans. Mais quel régal, déjà ! Venir et revenir sur les pas de Wolfgang, c’est entrer en dialogue avec lui traversant les siècles en bottes de sept lieues ! Converser avec ce qu’il a voulu exprimer. Il en devient un ami, un frère ! Pourquoi cet accord à ce moment là, ce # placé sur ce ré alors qu’il aurait pu l’éviter et bien, non à toi de découvrir la nuance qui signe l’œuvre, cette légèreté aérienne à accueillir dans ton interprétation pour le rejoindre. Ces grands musiciens-arrangeurs tels Quincy Jones ou Michel Legrand, sont passés par là avant de pouvoir voler de leurs propres ailes comme des papillons ! La musique, c’est de l’humble artisanat : éphémère et magique éternité à la fois, intemporelle et datée.

     

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  • #3452255
    Le 11 novembre à 15:27 par Mélodie
    Alain Soral sur Quincy Jones

    Je me souviens de Birdland très orchestral et funky (par la basse) ! Paix à son âme !

     

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