Melissa : quand j’achete des fruits ou légumes, je ne choisis pas les pourris.
Cela dit, chacun sa version.
Extraits :
Le pape François ajoute, lors de l’Angélus du 20 juillet 2014 :
« L’enseignement de la parabole est double. Il dit avant tout que le mal qui existe dans le monde ne vient pas de Dieu, mais de son ennemi, le Malin. C’est curieux, le Malin va semer l’ivraie la nuit, dans l’obscurité, dans la confusion ; il va là où il n’y a pas de lumière, pour semer l’ivraie. Cet ennemi est rusé : il a semé le mal au milieu du bien, si bien qu’il nous est impossible, à nous, les hommes, de les séparer nettement ; mais Dieu, à la fin, pourra le faire. "
 Ah oui ? A la fin de quoi ?? L’humanité ne souffre pas encore assez ? S’il peut le faire, il attend quoi ? C’est un peu sadique de laisser faire ce bordel.
" et nous en arrivons au second thème : l’opposition entre l’impatience des serviteurs et l’attente patiente du propriétaire du champ, qui représente Dieu. Parfois, nous avons une grande hâte de juger, de classer, de mettre les bons ici, les méchants là… Mais souvenez-vous de la prière de cet homme orgueilleux : « Mon Dieu, je te rends grâce parce que je suis bon, je ne suis pas comme le reste des hommes, méchants… » (cf. Lc 18, 11-12). Dieu, au contraire, sait attendre. Il regarde, dans le « champ » de la vie de chacun avec patience et miséricorde : il voit beaucoup mieux que nous la saleté et le mal, mais il voit aussi les germes du bien et il attend avec confiance qu’ils mûrissent. Dieu est patient, il sait attendre. »[4]" .
 Bah voyons ! Etre patient ?! C’est pas lui qui morfle.
Je résume : d’après les infos, dieu a créé l’homme à son image, donc on peut se poser des questions, vu le mal existant. Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué !