C’est au détour d’une sympathique vidéo du couple royal qui poulope dans les rues de Caen au milieu des hourras de la foule, qu’on a pu admirer la tenue djeuns de Brigitte, et sa magnifique paire de tennis compensées. La question que l’on se pose, parce qu’on est tous avides de détails sur la mystérieuse Première dame, c’est : elle chausse du combien ?

Si les photos montrent depuis 2017 qu’elle s’est fait augmenter la poitrine – que celui qui n’a jamais voulu une grosse paire de seins nous jette la première pierre –, en revanche, ses pieds n’ont pas changé. Il est plus facile de se faire augmenter les nibards que raccourcir les panards.

Ceci dit, à la cour de l’empereur de Chine, les courtisanes, pour des raisons de séduction et peut-être pour un aspect jeune fille (lire la bio de Mao, qui n’était pas de bois), empêchaient leurs pieds de grandir. Le petit pied était un signe d’appartenance aristocratique.

Aujourd’hui, en Chine où les traditions perdurent, Brigitte n’aurait aucune chance, en cas de chute de son mari, de se maquer avec Xi, qui vit avec une artiste, chanteuse en l’occurrence. Mao, lui, aimait les danseuses (relire Les Murs rouges), comme Céline. Hommes de goût...

Comme R&R est un lieu de culture avant tout, voici l’histoire des pieds bandés par une féministe, forcément. Aujourd’hui, si Brigitte voulait passer du 43 (notre estimation) au 36 fillette, il lui faudrait au moins 20 ans de bandage en plus, ce qui l’amènerait à des âges inconcevables. Déjà qu’on sait pas très bien si elle a 70, 80 ou 90 ans...

Apparemment, Brigitte ne parle pas au fétichiste des pieds

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