La direction de Facebook a donc décidé de bloquer le compte de l’ex-président américain pendant deux ans, ce qui prouve qu’il fait encore peur à l’establishment. Vu l’énormité de cette décision, et surtout la bancalité de sa justification, la direction du réseau social a déclaré qu’elle allait mettre un terme à l’impunité dont jouissaient les responsables politiques sur leurs comptes Facebook. On verra si les mensonges de Biden ou de Macron, qui raconte tout et son contraire, seront modérés... Ainsi que ceux des journaux mainstream !
Jusqu’à présent, ces comptes « privilégiés » étaient considérés comme des sources d’information politique, que ce soit pour les lecteurs, les électeurs ou pour l’histoire, et étaient de fait intouchables, même en cas de propos violents ou faux. Mais la popularité indécrottable de Trump, malgré les attaques incessantes du pouvoir profond américain, dont Facebook fait objectivement partie (les hommes de Zuckerberg ont un partenariat avec la CIA), a bousculé les lois internes de Facebook. Devant le risque d’une réélection du 45e président des USA fin 2019, les médias mainstream – dont les réseaux sociaux font désormais partie intégrante – ont réagi, violant leur propre éthique.
Donald Trump a lui aussi réagi à cette décision :
« La décision de Facebook est une insulte » aux « 75 millions de personnes qui ont voté pour nous en 2020 », a aussitôt répondu l’ex-président américain dans un communiqué, ajoutant que le géant des réseaux sociaux « ne devrait pas être autorisé à s’en tirer avec cette censure et ce muselage. » (Le Monde)
Les raisons avancées par Facebook sont d’une honnêteté sans faille, puisque le camp de Joe Biden, pédophile de son état, et celui de Facebook, qui censure tout ce qui ne rentre pas dans le cadre de la propagande progressiste, est le camp du Bien. De l’autre côté, les trumpistes seraient malhonnêtes et violents, si l’on en croit Facebook et Le Monde :
La présidence de M. Trump a montré les limites de cette politique [de compte privilégié, NDLR], l’ancien président des États-Unis ayant utilisé à de multiples reprises son compte pour diffuser des théories du complot, des attaques personnelles contre des journalistes ou des adversaires politiques, voire des menaces à peine voilées contre d’autres dirigeants étrangers.
Des menaces verbales de la part d’un président qui n’a pas lancé la moindre guerre en quatre ans, bien au contraire. Pour les médias mainstream, Trump représenterait un risque pour la démocratie. Il faut alors comprendre ce qu’on entend par démocratie...
On a tous vu l’énormité de la triche historique lors des élections de novembre 2019 où les démocrates ont tellement trafiqué les résultats, dans les États les plus décisifs, que la Cour suprême a dû mettre la totalité des affaires sous le tapis, sinon le Système entier se cassait la gueule.
Rétroactivement, on peut aussi se poser des questions sur les élections précédentes, que ce soit aux États-Unis ou en France, mais ne changeons pas de sujet. Nous parlerons du score étonnant de Macron, cet inconnu, au premier tour de la présidentielle 2017...
L’article du Monde est 100 % pro-Facebook et 100 % anti-Trump, ce qui n’étonnera personne pour un journal d’information devenu un journal d’opinion néolibéral, sioniste, antinational et progressiste. En outre, ce titre a établi un partenariat avec Facebook (pour contrer les prétendues fausses nouvelles) et un autre avec Bill Gates, l’ancien ami de Jeffrey Epstein, le pédocriminel sioniste international connecté au Mossad.
Petits pactes de corruption entre amis
Pour la blague, voici la justification économico-morale de la Société des rédacteurs du quotidien à propos de la collaboration avec Bill Gates, l’ex-copain de Jeffrey Epstein, le pédocriminel international lié au Mossad et probablement mort éliminé en prison.
Le montant du partenariat avec la Fondation Bill & Melinda Gates (disponible sur le site de la Fondation) s’élève à 4 millions de dollars sur huit années (le partenariat court de 2014 à 2021), soit un total d’environ 3,3 millions d’euros. Cela représente environ 410 000 euros par an, à rapporter à un chiffre d’affaires du Monde de 168 millions d’euros en 2019, soit à peine plus de 0,2 % de nos recettes. [...]
La Société des rédacteurs du Monde et le pôle d’indépendance du groupe Le Monde (actionnaire minoritaire du groupe fédérant les sociétés de personnels et les actionnaires historiques, lire notre article sur la gouvernance) veillent particulièrement au strict respect de l’indépendance de la rédaction afin que chaque journaliste du Monde puisse écrire sans aucune pression extérieure.
Veiller est une chose, mais attention à ne pas s’endormir pendant que d’autres agissent en douce !