Du point de vue américain,

l’US n’est pas en guerre contre Poutine mais contre l’Europe ; et donc, la guerre en Ukraine a DEJA atteint ses objectifs : empêcher le rapprochement de l’Europe et de la Russie qui aurait signé la fin du leadership américain. L’Europe doit rester désunie et séparée de son vosisin russe parce que si elle était unie et alliée de la Russie, elle serait sur le podium des superpuissances.

 Du point de vue russe,

La Russie n’est pas en guerre contre l’Ukraine et sa guerre n’est pas une guerre territoriale ou une version moderne de l’anchluss. C’est une guerre de désencerclement de l’O.T.A.N., pour la sécurité nucléaire de la Russie.

Journalistes, si vous croyez que c’est une guerre territoriale, vous allez continuer à pinailler sur les gains et pertes de villages et de clochers .

Or,on n’amasse pas 5 00 000 hommes pour vaincre une armée vaincue qui a à sa tête un cocainomane corrompu. Au moins, vous qui aimez compter, reconnaissez que ce serait totalement disproportionné.

Le but russe de la guerre (reconnu et proclamé !) , c’est le désencerclement DEFINITIF.

Or, pour désencercler la Russie de l’OTAN, il ne suffira pas de prendre Kiev et de faire capituler Zelenski : il faudra prendre Bruxelles, occuper Brest et faire capituler l’OTAN.

Sinon, il n’y aurait aucun intérêt à attendre sur le front que l’OTAN s’y vide de ses forces, et à y amasser de son côté hommes, matériels et munitions dans un rapport de 1/10. Et journalistes, arrêtez de croire que les champs de mines de la ligne Siegfried ont jamais empêché les divisions de Patton de traverser la forêt noire.

 Du point de vue "européen" :

Une colonie n’a pas de politique étrangère propre : elle a la politique étrangère de son colonisateur et E.M. téléphone à Washington tous les jours pour savoir ce qu’il doit dire dans la journée.

Lorsqu’il oublie de téléphoner (mais pas de parler) vous vous en apercevrez à ce détail, trait majeur de ses deux quinquennats :

 A 9 heures, il dit ce qu’il pense c’est-à-dire l’inverse de ce qu’attendent ses maitres de lui.
 A 12 heures, il dit l’inverse, c’est-à-dire qu’il répète verbatim, ce que ses maitres lui ont dit de répéter (après l’avoir engueulé).
 Et à 17 heures, il fait une synthèse incompréhensible des deux discours incompatibles précédents que lui ont rédigée ses communicants.

Donc, dans cette configuration, la seule chose absolument certaine, c’est que Poutine ira faire sa cure à Roscoff.

Répondre à ce message

Les russes piétinent aussi, mais mettent la pression partout. Si l’aide occidentale se poursuit aussi massivement qu’avant, les russes ne pourront pas avancer beaucoup plus. Si l’aide s’affaiblit fortement, ou se tarit, en 6 mois ça sera la fin pour l’Ukraine.

Répondre à ce message

Je ne peux pas croire que l’OTAN accepte la victoire de la Russie
Sinon c’est accepter la relegation au second rang
Je pense que c’est une ruse. Laisser la Russie s’engager, lui faire croire a sa victoire, et enclencher une riposte grandiose. A voir, on en est peut etre qu’au debut.

Les blancs vont cette fois ci s’auto-detruirent.
Rajouté a l’nvasion migratoire en Eurpoe comme en Amerique
Il passe chaque jour plus de 10 000 clandestins a la frontiere sud des USA
300 000 par mois 3 millions par an, venant d’Afrique, d’Asie et d’Amerique du sud
Il a plus d’entrées de migrants, pas tres blancs, que de naissances, pas tres blanches non plus en Amerique du nord
Il y aura bientot des reserves ou on pourra visiter des natives (2eme fournée) avec des chapeaux de cow-boys dans des Cadillac

Répondre à ce message

La Russie ne s’est pas effondrée sur le plan militaire, ni sur le plan économique, ni sur le plan de sa politique intérieure, ni sur le plan diplomatique. L’option d’envoyer les troupes de l’otan dirigées par nos gamelins de plateaux est elle sérieuse ?

Répondre à ce message

Ce conflit ne se règlera pas sur le terrain. Il se règlera dans les urnes américaines. Toute la structure de ce conflit dépend du locataire de la Maison Blanche. Trump qui devance Biden de 10 points devrait logiquement passer et il arrêtera immédiatement de déverser munitions, poudre et pognon à l’Ukraine. Mais bien sûr les mondialistes sont prêts à toutes les bassesses pour faire échouer un Trump qui est justement l’ami de Vladimir Poutine.

Répondre à ce message

Intéressant comme rapport de situation, ça ressemble en tout point à la façon qu’ont eu les Russes de faire la guerre aux pan-germanistes dans les années 40 : front stable de 41 à 44, hormis les offensives boches et puis...un Bagration plus tard et tout est enfoncé jusqu’à la Pologne en quelques mois.

Comme quoi, il n’y a pas que l’état-major boche qui fut composé de demeurés, les élites oxydentales font largement aussi bien. ^_^

Répondre à ce message

A voir les choses objectivement et en restant sur le plan strictement stratégique on voit un front long stabilisé/défendu en profondeur sur plusieurs lignes de défense par un déluge d’artillerie depuis le sol et les airs, sur lequel s’épuisent et s’anéantissent des éléments mobiles qui reculent devant des offensives très localisées. La suprématie de feu et aérienne Russe est totale, son commandement fonctionne à l’économie en terme de perte humaine. Sauf retournement improbable, l’Ukraine capitulera sans condition et sera peut-être même démantelée (ses terres cultivables ne lui appartiennent déjà quasiment plus), la Russie aura ajouté les territoires des républiques autoproclamées au sien avec en prime les côtes de la Mer Noire. L’Europe ruinée par sa soumission aux intérêts US passera aux oubliettes faute d’énergie et en butte à ses populations trahies. Les Brics confortés par leur indépendance passeront en mode croissance au dépend du reste de la planète. Pas besoin d’être grand clerc...

Répondre à ce message