On nous avait promis une vague de froid sans précédent, venue de Russie, touchant la Scandinavie avec des records atteignant -25°C voire davantage. On a attendu et on n’a pu constater qu’un froid bien ordinaire pour un mois de janvier. Et encore, ce jeudi 11 janvier, il fait plutôt doux en France (cf. la carte météo plus bas).
D’ailleurs, si la Terre se réchauffe en raison de la production humaine de CO2, pourquoi donc la Lune ou même la planète Mars se réchauffent-elles aussi ?
Des planétologues du NASA Ames RC et de l’USGS ont démontré que Mars aurait subi un réchauffement global d’environ 0,65°C entre les années 70 et les années 90, ce qui expliquerait la fonte partielle de la glace de surface au pôle Sud. Le retrait en cours de la calotte polaire Sud observé notamment (au fil du temps et de manière supra-saisonnière) par les sondes VO et MGS, serait en partie causé par des variations décennales de près de 10% de la luminosité de très grandes surfaces (pouvant concerner jusqu’à 56 millions de km²), essentiellement en raison du dépôt sur ces surfaces, de grandes quantités de poussières atmosphériques qui modifieraient l’albédo régional.
Une dynamique climatique dont on ne se doutait pas. Dans les années qui viennent, ces masses gelées vont être surveillées de près, pour vérifier s’il s’agit d’une tendance durable ou d’un phénomène passager dû à l’orbite excentrique de Mars. Si la glace continuait à s’évaporer, la masse de l’atmosphère (formée aujourd’hui de 95% de gaz carbonique) augmenterait de 1% par décennie martienne. Une pression qui, à terme, permettrait à l’air de se réchauffer et à l’eau de surface, présentement gelée, de couler à nouveau. C’est évidemment ce qui mobilise les chercheurs. Les photos de la surface de Mars montrent des reliefs bouleversés par de grandes masses liquides. Mars aurait bénéficié d’un climat chaud et humide dans le passé. Des formes primitives de vie auraient pu s’y développer. Si le beau temps et l’eau revenaient sur cette planète, la vie n’y serait pas totalement impossible. Mars Odyssey, la nouvelle sonde mise sur orbite par la Nasa, pour étudier la géologie martienne, devrait notamment mesurer et analyser la nature des dépôts de glace. Elle pourrait compléter les données de Global Surveyor sur le « changement global » de notre planète sœur.
Plusieurs théories étaient discutées par les spécialistes : est-ce dû aux fluctuations du cycle orbital de la Lune, d’une durée de 18 ans ? À des radiations émises par la Terre ? Au réchauffement du coffrage, en fibre de verre, des sondes elles-mêmes ?
L’équipe du géophysicien Seiichi Nagihara est arrivée à une tout autre conclusion : ce sont les astronautes eux-mêmes, en marchant à la surface et en se déplaçant à bord de leur rovers, qui en seraient la cause (sic ! – NDLR E&R).
Finalement, qu’il fasse froid ou chaud, sec ou humide, tout est bon pour justifier un dérèglement climatique. La moindre petite catastrophe est relayée et amplifiée, une inondation ici, une sécheresse là, tout est exploitable pour alimenter un récit fort rentable :
Willie Soon est un astronome et astrophysicien américain, né en 1966 à Kangar en Malaisie. Soon est employé par le Harvard-Smithsonian Center for Astrophysics. Ici, il nous parle rapidement de l’origine abiotique du pétrole pour aborder plus longuement l’escroquerie du réchauffisme lié au CO2, « le gaz de la vie », puis de la corruption des idées et de l’argent dans la science, comme lors de l’épisode du Covid.
En astronomie, le minimum de Maunder correspond à une époque approximativement située entre 1645 et 1715, durant laquelle le nombre de taches solaires (et l’activité de surface du Soleil) était significativement plus faible qu’aujourd’hui. Cette époque correspond au cœur d’une période, le petit âge glaciaire, où le climat terrestre était assez froid, au moins en Europe, en Amérique du Nord et en Chine. Le climat terrestre serait donc au moins en partie fonction de l’activité magnétique du Soleil. Deux hypothèses sont évoquées : la variation du rayonnement solaire et la modulation du flux des rayons cosmiques par le vent solaire.
Source : Wikipedia
Ep. 62 If fossil fuels come from fossils, why have scientists found them on one of Saturn’s moons ? A lot of what you’ve heard about energy is false. Dr. Willie Soon explains.
TIMESTAMPS
(01:49) Fossil Fuels in Space
(14:27) Global Warming Throughout History
(25:31) Outside… pic.twitter.com/GMaDkDl8z9— Tucker Carlson (@TuckerCarlson) January 9, 2024
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L’article du Figaro illustrant le présent article se trouve ici