Comme de mon point de vue je les vois comme des putes, je voudrais qu’elle restent - à leur place, selon votre argument - sur le trottoir - selon mes considérations ; financières.
Qu’est-ce que c’est que cette histoire d’épouse, d’amante et de mère qui passe par votre esprit ? C’est bon chez les caves, ça.
Vous partez en vrille ?
Ou alors vous n’avez pas lu « No kids » de Corinne Maier.
Bien évidemment, je déconne : « Les personnages et les situations de ce préambule étant purement fictifs, toute ressemblance avec des personnes ou des situations existantes ou ayant existé ne saurait être que fortuite. »
Par contre, j’en ai une qui se trouve experte en maniement d’armes légères, calées dans deux arts martiaux, qui préfère l’artisanat et la déco en étant doté d’un talent manuel à faire pâlir les gonzes en salopette bleues, bricolos du dimanche qui entravent que dalle à la loi d’ohm et à la NFC 15-100 et qui, tout en étant féminine préfère la présence de ses copines plutôt que les boutonneux tatoués du secteur : auriez-vous la recette d’un cocktail pour que je la pique ? En douce, parce que je doute fort que sa mère et sa grand-mère ne soient daccord...
Une autre qui ne sait presque rien faire de ses dix doigts, rien de sa tête si ce n’est que pour son nombril, qui passe son temps à danser comme recommandé à la cigale, moyennement qui plus est tout en passant d’un style à l’autre, qui se trouve être bi sans savoir si elle est elle-même mâle ou femelle, une espèce d’instable qui lui vaut d’être qualifiée de Tanguy au féminin pour dépendre encore de sa mère à un jeune âge plus qu’avancé qui voit normalement sortir les doctorants : celle-ci, c’est double dose au moins, non ? Ĺà on peut y aller sans risque, elle n’a pas de père depuis un bail : encore que, plus que la première elle a moult prétendants à ses pieds qui n’en peuvent plus de se languir d’elle... Qui ne sert à rien (socialement)
Le pire dans tout cela, c’est que l’on aime les deux pareillement et qu’il ne faudrait pas qu’un « arbitre » vienne leur imposer quelque place que ce soit, qu’elles ne voudraient pas : comme le disait Pascal des Tontons, il ferait vilain temps.