Les 6-7-8 juin 2017, le Conseil de Paris se réunit en séance plénière. Au programme : vote d’aménagements urbains, règlements locaux, modifications d’urbanisme… Mais, surtout distribution de subventions aux associations. Flop 10 de ces pratiques clientélistes qui jettent l’argent des contribuables par les fenêtres.
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Ces subventions particulièrement choquantes ne sont pas seulement financées par les impôts des Parisiens, mais aussi par l’argent de l’ensemble des Français via la dotation globale de fonctionnement (DGF) versée par l’État aux collectivités locales.
Voici la liste des 10 subventions particulièrement choquantes votées au Conseil de Paris de juin 2017 :
1/ 2 436 500 euros pour les organisations syndicales parisiennes. Cette aide publique qui s’ajoute au financement national des syndicats, se traduit par une subvention de fonctionnement, ainsi qu’une mise à disposition de locaux sur les quatre sites de la Bourse du Travail.
2/ 20 000 euros aux associations Maison du Hip Hop (11e) et Ghetto Style Movement œuvrant en faveur de la culture Hip Hop.
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3/ 92 200 euros pour trois « cafés sociaux » pour des personnes âgées immigrées « pour favoriser leur insertion dans leur environnement, par l’apprentissage du français, l’accès aux droits et l’accompagnement dans les échanges intergénérationnels et entre personnes âgées immigrées pour une meilleure autonomie. »
4/ 10 000 euros à l’association Générations Cobayes, qui anime des ateliers Do it yourself au cours desquels les « jeunes Parisien-n-es » apprennent à créer eux-mêmes leurs produits cosmétiques.
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6/ 20 000 euros à l’association Rainbow Submarine pour l’organisation du festival LGBTQ+ « Chéris, Chéris » qui s’affirme comme un « festival engagé, qui donne à voir et à comprendre tous les aspects de l’homosexualité, de la transsexualité et des questions de genre. »