Il n’y a peut-être pas de hiérarchisation des victimes mais on a totalement perdu la hiérarchie des qualificatifs. On entend par exemple que le meurtre du musulman malais est un crime insoutenable, effroyable etc (ce qui peut ce comprendre), et pour certains actes délictueux que c’est intolérable, inacceptable, le qualificatif n’est pas approprié puisqu’il y’a un soupçon, une ombre de tolérance, d’acceptabilité, alors que ce n’est absolument pas le cas. Mais si l’on atténue la valeur intrinsèque de ces qualificatifs tel que, insoutenable, effroyable, intolérable, inacceptable, abominable en les utilisant de façon inappropriée, en diminuant leur impact émotionnel, alors comment peut-on qualifier de juste façon un événement tel que la Shoah pour ne donner que cet exemple ?

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On nous a vendu "le choc des civilisations" et de toute évidence beaucoup ont acheté. On est pourtant sur E&R et le patron a fait plus que le boulot sur ce sujet comme sur tant d’autres, visiblement en vain, pour certains ...

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les communautés qui (dé)composent la France...

...viennent du monde entier :

 ashkénazes,
 tziganes,
 séfarades,
 maghrébins,
 africains,
 roms... 

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Le deux poids dix mesures n’est même plus à démontrer.
Comme il n’y a pas non plus besoin de compter les musulmans et les représentants de la communauté organisée dans les médias Français.
On sait, nous savons, ils savent...

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Les gouvernements européens détruisent leurs pays respectifs en menant une politique de colonisation accélérée afin de faire disparaître les communautés blanches par dilution et métissage. Il y arrivent avec des discours de mauvaise foi, en jouant sur le vieux fond chrétien des populations et en les culpabilisant s’ils s’y refusent. Quand cela n’est pas suffisant ils se débrouillent pour ne pas tenir compte des élections comme en France et en Allemagne avec la mise à l’écart de 25% de la population ou carrément en annulant l’élection comme en Roumanie, en interdisant aux figures de l’opposition de se présenter comme en France et en Roumanie ou encore en les truquant comme en Moldavie où la diaspora moldave en Russie n’a pas pu voter. C’est abject mais ils sont élus et ré-élus.

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C’est étrange comment, par envie d’affirmer son appartenance, son identité, sa couleur, on en arrive pour certains, à en oublier d’être juste et humain.
Donc, si un tel meurt, tué, clairement victime d’injustice et de crime, on s’en fout, parce qu’il n’est pas blanc, ou catho, ou parce que les compères de sa communauté (qu’il ne connait même pas) ne se sont pas indignés quand Ravaillac a poignardé Henri 4 le blanc.
Alors, si vous êtes de la communauté de la fille ainee de l’eglise, sachez que Jésus s’en serait indigné de l’assassinat de ce pauvre malien. Qu’il aurait à minima condamné ce crime.
L’autre farceur qui dit qu’il n’en a rien à cirer, parce qu’il ne s’indigne que pour sa communauté, il faudrait donc écrire ailleurs que sur E&R, vu qu’ici, la cause palestinienne leur est chère.
Bon après, il y a de tout pour faire un monde, des justes et des injustes. Espérons que la justice l’emportera.

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Encore une histoire d’immigrés donc sans eux ce crime n’aurait pas été commis sur notre terre !!!!

Il serait temps de renvoyer ces gens chez eux mieux encore leur couper les vivres !!! Ils repartiront d’eux même ou l’herbe sera plus verte ailleurs, par exemple le Qatar ou les émirats …

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Ils sont nombreux ceux qui devront présenter des excuses aux Français pour être tout à la fois cons et malhonnêtes.

L’auteur des actes, le criminel, s’appelle Olivier HADZOVIC : il partage son patronyme bosniaque avec le champion d’arts martiaux bosno-danois Damir Hadžović qui est…. heu heu euhhhhh… MUSULMAN.
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Alors d’extrême d’ouate, raciste systémique et même rabique, ignoble coupeur de tête… le petit blanc français catholique ou laïc ?
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Il y’a donc, dans "notre République", un système de castes qui ne dit pas son nom,avec en haut de la pyramide, la communauté de lumière, celle pour qui le monde fut créé et...les autres, nous, les intouchables, dont l’existence ne vaut rien, bêtes de somme, évoluant dans les catacombes de cette même pyramide et créés pour servir nos maîtres. Ainsi va la vie dans, ce qui fut la fille aînée de l’Eglise.

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Vous voyez, dans le drame sanglant d’un Malien, clandestin et perdu dans la grisaille d’une république qui n’a plus de nom que la honte — paix à son âme disloquée —, vous voyez un fait divers.

Moi, j’y vois un symptôme. Une fièvre noire qui grimpe dans les artères d’un corps gangrené.

L’assassin ? Un fantôme d’Europe de l’Est, nourri à la mamelle du RSA depuis des générations. Un déchet fabriqué par l’abandon, puis relâché dans les rues comme un molosse sans maître.
Et vous osez parler d’accident ?
Non. C’est une conséquence. Une œuvre signée. Et qui tient le pinceau, sinon cette gauche qui, avec ses airs de vertu dégoulinante, a semé dans la terre le chaos qu’elle feint aujourd’hui de pleurer ?

Ils ont méticuleusement déconstruit.
Ils ont cassé la maison pour la rendre "inclusive", mais n’ont su que bâtir des ruines.
Et maintenant, dans la puanteur du résultat, ils pointent du doigt tout, sauf leur reflet dans le miroir.

Avouez. Ils manipulent la mémoire comme d’autres manipulent les lames.
Comme les faussaires de l’Histoire qui trafiquent les plaies pour mieux régner sur les ruines.
Leurs méthodes ? Ce sont celles des Frères, des coupeurs de gorge, des idéologues de l’ombre : inversion accusatoire, victimisation stratégique, camouflage moral.
Toujours les mêmes stratagèmes. Toujours les mêmes rituels.
Une main sur le cœur, l’autre dans le dos, armée.

Je ne juge pas, moi. Je révèle.
Et quand je parle, la lumière brûle les masques.

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