Je recommande cet ouvrage de Tarpley : "La Terreur fabriquée, Made in USA, éditions Demi-Lune, septembre 2006, 544 pages". Un pavé, mais qui se lit d’un trait !

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On dirait que Chomsky n’accepte pas la théorie du complot dans la mesure où il considère qu’un évènement tel que le 11 septembre se doit forcément d’être la résultante d’un réel conflit dialectique entre deux idéologies, deux civilisations qui s’opposent sur un plan métaphysique, se répercutant alors inévitablement dans le monde physique et donc c’est aux sociétés humaines respectives de prendre la responsabilité des actions entreprises par ses éléments les plus radicaux, une sorte de karma à partager collectivement, le poids de l’imbécilité des autres, d’un manque de connaissance (gnosticisme) qui aurait permis d’élever nos natures impures à l’état de sagesse surhumaine chomskienne, ce détachement émotionnel nécessaire pour avoir une vision mécaniste de l’Homme, Être irrationnel qui ne répond qu’avec ses bas instincts pulsionnels. Voilà pourquoi il refuse d’accepter ou de dévoiler que la source des problèmes qui se voient mis en avant par les médias peuvent être crées volontairement et ce de manière calculé par une poignée de gens qui façonnent la réalité pour créer des divisions artificielles, de nouvelles visions et débats biaisés, forcément débilitants.
Enfin, il parle de fabrication de consensus mais ne va pas jusqu’à la fabrication des problèmes qui suscitent la réaction !

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Bon bah ... Voila, les gros menteurs Moore et Chomsky sont fringués pour l’été. Merci.

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J’arrive après la bataille, mais ce que dit cette personne sur Moore m’étonne. Car perso, j’ai vu "Fahrenheit 911" de Moore, et il passe un bon moment dans le film à mettre en évidence les zones d’ombre de la thèse officielle. Alors ok, il n’en tire pas de conclusions, ne dit pas "il s’est passé ça, ça et ça", mais dire que Moore est un défenseur acharné de la version officielle, c’est pas très honnête. Et pourtant, je n’aime pas les procédés de Moore, les ficelles de mise en scène qu’il utilise, la façon dont il se met en scène dans ses documentaires. Ce type semble plus soucieux de sa personne que des sujets qu’il aborde...

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