Selon les préceptes en vigueur de l’[in]Justice « française », le délit « de contestation de crime contre l’humanité » du Professeur est bel est bien constitué. Que signifie alors cette relaxe pour « nullité de la procédure » à propos d’un film faisant l’apologie du fameux Professeur de l’infamie ?
Nullité de procédure, « vice de forme » c’est le « droit de grâce » laissé aux juges. Le droit régalien du Palais. Qui manifeste l’omnipotence du Saint-office talmudique, dont il n’est que le pesant bras séculier.
La « Justice » peut gracier si elle veut, quand elle veut, en dernier ressort, et particulièrement dans ces affaires où le Droit se mêle étroitement avec la Politique sans plus savoir où s’arrête l’un et où commence l’autre.
Surtout quand le délit est quasi religieux, quand le crime est de lèse « humanité » terme éminemment subjectif.
En ces cas, l’arbitraire des définitions juridiques est patent. Écouter, à ce propos, ce que dit Maître Viguier.
Des imprécisions juridiques, des vices de forme, on pourrait en trouver souvent, et notamment dans les procès Soral.
Procès pour des idées, des phrases, des gestes !
Mais là, la Basoche ne considère pas les imprécisions. Elle tape dur, avec précision. Elle saigne.
En attendant le temps des assassins.
— Vous n’aimez pas Soral ? C’est votre droit.
Soral, il est à prendre ou à laisser.
— Il vous a marché sur les pieds ? Vous n’êtes pas les seuls ! Fondez donc une Amicale, avec acronyme et cotisations, paisible, bucolique et dominicale. Il y aura du monde.
_ Mais ces clans tapageurs de boutiquiers de la dissidonce à la retraite, de dentistes radiés, de nègres impulsifs et leurs putains émotives, ces vidéos minables, ces brochures sans orthographes, ces préfaces pompeuses, quelle vulgarité !
Par les temps qui rampent ! Cela revient à se marquer ouvertement comme supplétifs des Valls/Taubira/Cazeneuve. Quelle honte ! Coups de pieds des ânes bâtés à leur bassesse.
Un supplétif est un stipendié. Il sera toujours rétribué pour sa basse besogne.
Le surhomme nietzschéen de Venise vient d’être relaxé par ses frères de la dix-septième loge du tribunal de Paris pour son documentaire apologétique du Professeur [1].
Voyez-vous.