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Thermomètre des relations raciales aux États-Unis

Planté dans les entrailles fumantes de l’Amérique, le thermomètre des relations raciales enregistre l’état des rapports qu’entretiennent les communautés du pays les unes avec les autres. Sans plus attendre, jeton un œil au mercure de ces dernières semaines.

 

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Ébène et ivoire, disharmonie notoire

 

Frisco, Texas – 02/04/2025. Compétition d’athlétisme inter-lycées. Une pluie battante pousse Karmelo Anthony, étudiant noir de la Centennial High School, à s’abriter sous la tente du lycée rival de Memorial. Un élève blanc de cet établissement, Austin Metcalf, décide de faire sortir l’intrus et l’empoigne. Des mots s’échangent puis, coupant court au débat, Karmelo plante son couteau dans le cœur d’Austin. Celui-ci décède quelques minutes après dans les bras de son frère, avant que l’auteur présumé du coup fatal ne soit appréhendé par les forces de l’ordre [1].
L’affaire est immédiatement offerte aux appréciations – toujours pondérées – de la twittosphère, qui s’entredéchire dans l’instant. Côté Amérique blanche, on dénonce la sauvagerie gratuite de Karmelo et son absence totale d’empathie pour la victime. On en profite pour ressortir les statistiques criminelles du FBI [2] et rappeler la surreprésentation des Afro-Américains dans celles- ci. Côté Amérique noire, on invoque la légitime défense et un contexte de racisme systémique tel, qu’il est légitime pour un lycéen afro de venir armé au bahut. On renvoie aussi l’autre camp à l’acquittement de Kyle Rittenhouse, adolescent blanc qui avait abattu deux manifestants pendant des pillages en l’honneur de George Floyd [3]. En somme, un dialogue stérile entre deux bords antagonistes, aux perceptions opposées et points de vue irréconciliables, des anonymes jusqu’aux intéressés.

 

 

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Les noirs discriminés – Édition Sport – Épisode 35824

 

Green Bay, Wisconsin – 26/04/2025. La draft NFL est la première grand-messe de la saison de football américain, où les meilleurs joueurs universitaires sont recrutés par les franchises de la ligue professionnelle. Et chaque année, le jeu des pronostics quant à l’ordre de sélection des heureux élus agite le pays. Or, en cette édition 2025, le nom du prometteur Shedeur Sanders tarde à se faire entendre à la tribune. Fils de la légende Deion Sanders, professionnel à la fois de foot US et de baseball, Shedeur est à 23 ans un personnage déjà clivant [4]. Arrogant comme l’était son père, le rookie afro-américain a promis rien moins qu’une révolution au club qui le sélectionnerait. Or, lui qui se voyait drafté parmi les premiers n’est appelé par les Cleveland Browns qu’au cinquième tour de sélection, en 144e choix. Une leçon d’humilité basée sur des critères sportifs selon certains [5], mais motivée par un racisme profond selon d’autres. Deux des voix les plus médiatiques du sport US y sont d’ailleurs allées de leur couplet victimaire ou ethnomasochiste, en dénonçant une volonté d’humilier un jeune noir trop sûr de lui (photo ci- dessus) au sein d’une ligue d’hommes trop blancs (vidéo ci-dessous). Une antienne reprise majoritairement – et quasi exclusivement – par des twittos noirs, en apparence peu sensibles au fait que 70 % des joueurs NFL partage déjà leur couleur de peau. De quoi faire grimper la température d’une ligue régulièrement échaudée par la question raciale.

 

 

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Rochester, Minnesota – 30/04/2025. Un tiktokeur/délinquant sexuel somalien enregistre une femme blanche, Shiloh Hendricks, alors que celle-ci traite de « nègre » un enfant noir de 5 ans. Pour se défendre, la mère de famille accuse le garçon d’avoir volé des jouets à son enfant de 18 mois. Qu’importe sa foi, qu’elle fut bonne ou pas, la vidéo finit sur les réseaux et les enfers se déchaînent sur Shiloh. Une fraction de la communauté afro-américaine maudit cette incarnation peroxydée du suprémacisme blanc et, en bonne amatrice de justice populaire, invite les éléments les plus subtils de la meute à faire physiquement payer l’impudente [6]. Celle-ci lance de son côté une cagnotte pour « protéger sa famille » et atteint rapidement le demi-million de dollars de dons. Une manière de rajouter l’insulte à l’infamie pour certains BIPOC (Blacks, Indigenous and People of Colour) qui redoublent alors de virulence. De son côté, une partie de l’Amérique blanche vient au secours de Shiloh et refuse le repentir. On justifie l’écart de langage par cette fatigue [7] que l’on ressentirait à trop devoir côtoyer des gens non civilisés, et on se désespère que les finances du vidéaste amateur, comme celles de Karmelo, aient profité de la situation. Impasse complète en somme. Ce qui ne manquera pas d’interroger quant à la morale de ces histoires et à l’état de la société dans laquelle elles sont nées.

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Philadelphie, Pennsylvanie – 04/05/2025. Un groupe d’étudiants festoient gaiement dans un des établissements nocturnes de la ville. Sous l’emprise d’un état alcoolique avancé, la joyeuse troupe outrepasse les limites du raisonnable et fait accompagner sa nouvelle commande de champagne d’un lumineux écriteau indiquant « Fuck the Jews ». Une horreur reprise par votre serviteur bien malgré lui et à laquelle il ne sera pas fait l’honneur d’une traduction littérale, raison judiciaire devoir de mémoire oblige. Or, le patron du bar n’est autre que le médiatique Dave Portnoy, fondateur du média culturo-sportif Barstools, créateur du site de pari sportif Thegamblingan et juif de confession. Une fois la vidéo portée à son attention, Dave enrage. Dans son sillage, la team kippa lui emboîte le pas et traque aussitôt en ligne les responsables de la farce [8]. Ayant un temps envisagé la méthode Klarsfeld lui aussi, Portnoy tempère finalement et propose à la place un voyage tous frais payés en Pologne aux deux auteurs de la blague. L’objet du voyage n’est évidemment pas d’arpenter les rues pavées de la charmante bourgade d’Oswiecim (ou Auschwitz pour les nostalgiques) mais bien d’aller s’immerger dans l’atmosphère de l’ancien camp et réaliser à quoi mène la haine [9]. Une main tendue hélas rejetée par les intéressés, au grand malheur de Dave et de sa communauté. On avait pourtant dit « plus jamais ça ».

 

 

Ni pardon ni oubli

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Bonus : Billet d’humeur, par Nick Fuentes

 

Ça sent l’hyperthermie.

Léon Lacroix

 

Lacroix et la bannière étoilée

 
 






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48 Commentaires

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  • #3532722
    Le 19 mai à 16:45 par cousin
    Thermomètre des relations raciales aux États-Unis

    C’est plus tendu que jamais ce ne le fut . Après les BLM , black live matter des années Biden nous voilà avec à l’horizon de l’été c’est-à-dire dans un futur très proche avec un mouvement appelé " Black Summer " . Avec en toile de font un rajeunissement du mouvement Farrakhan et à la manoeuvre " nation of Islam " avec comme leader "Cornel West " , extrème droite et même allant chevauchant une indépendance ou au minimum une autonomie . les regroupements se font et les mouvements de population ont commencé ...... C’est d’une beauté le multi culturalisme .....La beauté du diable me direz-vous . ce qu’on peut entrevoir , prédire et prophétiser ? j’ai peur de le dire mais la vision est la destruction totale des noirs en Amérique . Rendez-vous dans ...... ans

     

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    • #3532779
      Le 19 mai à 19:22 par Dymax
      Thermomètre des relations raciales aux États-Unis

      Qui attise ce ressentiment ? Qui souffle sur les braises du colonialisme ? Attise la haine ? C’est le principe du bouc émissaire. Tu es noir ? Tu souffres ? C’est de la faute des blancs car tu es incapable de prendre ta vie en main et de te sortir les doigts du c. Soros ?? Allo ? J’ai bobo à ma race. Donne moi des subsides.. Car je suis une victime

       
    • #3533326

      Les noirs sont souvent incapables de se définir autrement que par le regard supposé ou réel que les blancs portent sur eux.

      Même les rappeurs sensé représenter une certaine fierté raciale s’appellent "nigger" entre eux .
      ils ne savent pas exister autrement que part ce complexe vis a vis des blancs comme si hors du monde blancs aucune projection n etait possible pour eux.

      On constate aussi a quel point ils sont obssedés par le métissage comme si c’était une facon d effacer ce qu’ils sont.

      Prenez les noirs celebres que ce soit dans le sport ou la musique ou le cinéma vous constaterez que l ’immense majorité d’entre eux est en couple avec des blanches comme si il s’agissait de trophés ou d’un signe de réussite sociale ( black girls don’t matter )..
      La racisme c’’est uniquement quand une blanche veut un homme blanc comme elle .

      Il n y a guere que mohamed Ali qui pronnait le non métissage et revendiquait l’amour de sa race (et non la fierté qui ne veut rien dire et cache même bien souvent l’exacte inverse ).

      On a beau tourner le truc comme on veut. il y a une très grande part de détestation d’eux mêmes dans ce qu’ils nomment le racisme des blancs .

      Les blancs souhaitent vivre entre eux, mais les noirs eux ne supportent pas cette idée d’autonomie , c’est pourquoi le pseudo projet d’un état noir aux US est une pure foutaise.
      Si ils voulaient vivre entre noirs ils seraient parti depuis longtemps en Afrique d ou ils sont issus, et auraient eu l’’opportunité incroyable de contribuer au devellopement du continent le plus riche du nonde et d exister enfin dans le concert des puissances mondiales , cela aurait été une belle revanche sur l histoire et un réel motif de fierté... mais non on prefère chialer chez les "racistes blancs" pour l eternité.

       
    • #3534231
      Le 23 mai à 11:08 par Jean Marc
      Thermomètre des relations raciales aux États-Unis

      @Nico
      Votre analyse est pertinente sur certains aspects, mais permettez-moi de vous corriger. Vous semblez confondre les noirs nés et grandis en France avec les Afro-Américains. Concernant l’appellation du mot nigger dans les milieux urbains aux États-Unis, c’est justement pour démocratiser ce mot. Il est injuste qu’un simple mot soit une insulte pour les noirs, alors que pour insulter les autres, il faut ajouter un adjectif. L’objectif des Afro-Américains et des rappeurs, c’est de démocratiser ce mot. Comme ça, si vous voulez insulter un negre vous ajoutez un adjectif comme pour les autres. Moi, en tant que Martiniquais, je partage cet avis. Vous me dites negre je ne me sens pas insulté. En espagnol, negro signifie tout simplement noir. Je milite pour que le mot negre soit démocratisé comme les Afro-Américains. Deuxièmement, vous parlez du métissage. Ce fléau du métissage concerne les Français noirs, essentiellement ceux issus des banlieues HLM. Aux États-Unis, la population afro-américaine a augmenté de 12% en 2015, aujourd’hui, ils sont 14%. Les célébrités afro-américaines ainsi que les sportifs restent majoritairement entre eux. Dans certaines villes comme Washington et Atlanta, ils ont même construit des quartiers pour les très riches Afro-américains. Ce phénomène de métissage touche principalement les noirs de France des banlieues qui veulent ressembler aux maghrébins, les noirs de France des banlieues manquent de charisme, de confiance en eux d’acceptation de, soit beaucoup se défrise les cheveux, beaucoup utilise des mots arabes ils sont extrêmement complexés. Mais en observant ce phénomène de prêt, j’ai constaté que ça touche en particulier les Français noirs musulmans d’origine sénégalaise (Omar Sy, Dembelé et les autres…) Beaucoup de nos enfants antillais ayant grandi en région parisienne, se métisse également, j’ai l’honnêteté de le reconnaître, mais les antillais ayant gardé leur culture créole se métissent beaucoup moins. Ce phénomène est surtout français. Pour revenir aux Afro-américains, ils sont toujours surreprésentés dans les prisons, mais ils se sont enrichis ces dernières années. Le taux de chômage de cette communauté a nettement diminué et le nombre de millionnaires et de diplômés afro-américains ne cesse d’augmenter. Donc, il y a des choses qui stagnent comme la criminalité et des éléments positifs. 

       
  • #3532750
    Le 19 mai à 18:10 par Shabb
    Thermomètre des relations raciales aux États-Unis

    Ce que Nick Fuentes appelle une utopie est en fait la normalité, ce qui veut dire que nous vivons dans une dystopie raciale et communautaire.

     

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  • #3532768
    Le 19 mai à 19:10 par miles davis
    Thermomètre des relations raciales aux États-Unis

    Nick Fuentes est sympa, il a même parlé de la France dans sa vidéo...

     

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  • #3532769
    Le 19 mai à 19:11 par DIDIER
    Thermomètre des relations raciales aux États-Unis

    Les USA comme la France sont foutus, tôt ou tard ca finira mal, je disais ça déjà y’a 30 ans. Je me suis pas tiré pour rien...

     

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  • #3532772
    Le 19 mai à 19:18 par Renaud
    Thermomètre des relations raciales aux États-Unis

    Aux USA, toutes les communautés arrivent à s’élever socialement à l’exception majoritairement d’une et dont plus personne ne peut blairer et à juste titre, la communauté noire. Comme le disent les américains sur les réseaux sociaux, tel un mantra : "14%-80%, ashamed of nothing, offended by everything."
    Les noirs du camp démocrate sont tout simplement insupportable tellement ils jouissent d’une impunité morale toujours plus hors sol alors qu’ils confirment tous les clichés pseudo raciste contre lesquels ils prétendre combattre (c’est le propre de la victimisation, étant donné que c’est une forme de paresse malhonnête, on fini inéluctablement par se vautrer dans l’état le plus bas de notre génétique). C’est comme au dernier SuperBowl où au traditionnel spectacle de mi-temps on a encore eu droit à 20 minutes de pleurnicherie mise en scène avec en plus Samuel Jackson, le gars qui a été portée au firmament par Hollywood et jusqu’à remplacer des personnages blancs comme avec Nick Fury ou Serena Williams qui se vengeait en refaisant son pitoyable pas de danse qui avait été critiqué et où encore une fois, plutôt que de faire preuve d’un minimum d’honnêteté intellectuelle en admettant que c’est de la merde et que ça n’a aucune esthétique, elle avait bien évidemment opté pour la case "wacisme". Les noirs démocrates sont les plus gros taré racialiste au États-Unis, comme avec les arabes et noirs en France, ils utilisent constamment la cartes race victime pour se justifier de tous leur agissements et "réflexion" (si on peut appeler ça une réflexion).
    Alors bien évidemment, on sait qu’il y a une communauté avec des gens comme Soros qui aide voir organise la manœuvre à dès fin de guerre raciales et civile mais à un moment donné, quand on te sert une assiette de merde tu n’es pas obligé non plus de la bouffer.
    Enfin, bien évidemment, tout comme avec l’affaire Floyd, l’establishment va encore tout faire pour salir la présidence Trump et tenter de le déstabiliser et la communauté noire du camp démocrate reste une éternelle fidèle dans cet exercice tout comme tout ce qui est issus de l’Afrique en France, ’’every single time’’.

     

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    • #3532834
      Le 19 mai à 23:59 par Fan de Soral
      Thermomètre des relations raciales aux États-Unis

      C’est faux, la communauté d’origine à savoir les indiens d’Amérique sont au fond du fond dans toute les stat économique et social aux USA, y compris les derrière les noirs.

       
    • #3533040

      "Aux USA, toutes les communautés arrivent à s’élever socialement à l’exception majoritairement d’une"

      Il y a une chaîne YouTube d’un afro américain, ses vidéos consistent à montrer les ghettos. Il roule avec son 4x4 dans les ghettos, avec la caméra sur le tableau de bord. Il va partout : Chicago, L.A., Memphis, NYC, Baltimore,etc...

      Et il y a un point commun entre tous ces ghettos, qui saute aux yeux pour quiconque n’est pas gauchiste.
      Pourtant ils sont nés sur place. Ils ont en principe les mêmes chances qu’un autre américain.

       
    • #3533117
      Le 20 mai à 15:17 par Renaud
      Thermomètre des relations raciales aux États-Unis

      à ’’fan de Soral’’ :
      Ce n’est pas comparable, les amérindiens ne jouissent ni du même statut ni des même droits que tout le reste de la population et personne ne se plaint de leur agressions envers le reste de la population et encore moins que n’importe ou ou ils vont ils transforment systématiquement le territoire en shit hole, mais bien essayer.

       
    • #3534237
      Le 23 mai à 11:24 par Jean Marc
      Thermomètre des relations raciales aux États-Unis

      Vous avez raison, ils sont toujours les plus pauvres, mais ils se sont enrichis. Le chômage des Afro-américains a diminué ces dix dernières années, ainsi que la classe moyenne a fortement augmenté. Le nombre d’afro-américains millionnaires et milliardaires a considérablement augmenté. Il y a dix ans, il n’y avait qu’Oprah Winfrey comme représentante des Afro-américains milliardaires, aujourd’hui, ils sont plusieurs et pas seulement grâce à leur image, beaucoup le sont grâce à leurs entreprises (hedge fund, production cinématographique, etc.). Il est vrai que les chiffres de la criminalité de cette communauté ont stagné et que la surreprésentation des Afro-américains dans les prisons est toujours effective. Pour revenir sur la politique, beaucoup d’afro-américains ont voté pour Trump, malgré que Kamala, son père, soit Jamaïcain, donc ils savent également dépasser le clivage racial et voter dans l’intérêt de la nation. Dans les années 90, c’était beaucoup plus violent et les inégalités entre les noirs et les blancs étaient encore plus fortes, donc je préfère boire le verre à moitié plein et voir que la dynamique est globalement positive. Concernant cette criminalité qui ne baisse pas suffisamment, il faudrait peut-être que les USA revoient le système d’éducation, avec costume obligatoire dans les lycées comme en UK. 

       
    • #3534335
      Le 23 mai à 15:58 par Renaud
      Thermomètre des relations raciales aux États-Unis

      À Jean Marc :
      Oui effectivement, il y a un certain nivellement par le haut grâce à Trump depuis 2015-2016 où le bon sens vient frappé toutes les communautés. Même s’il y a encore du travail à faire, il y a des réactions très rassurantes dans toutes les communautés de ce pays, y compris chez les noirs.

       
  • #3532787
    Le 19 mai à 20:05 par Aiguiseur de guillotines
    Thermomètre des relations raciales aux États-Unis

    En fait j’en ai rien a foutre des tensions raciales aux USA.
    Autant j’en ai ma claque de voir des populations extra européennes envahir notre belle Europe (ben, ouais, je suis un peu raciste, et alors ?), autant les (protestants et les juifs des) USA ont forcé les africains là-bas. Qu’ils se demerdent entre eux, on a assez a faire ici.

     

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    • #3533085
      Le 20 mai à 14:18 par ex-écuteur
      Thermomètre des relations raciales aux États-Unis

      Bien dit. Les problèmes avec les allogènes ici n’ont rien de commun avec ceux aux USA. Il n’y a jamais eu d’importation d’esclaves en France métroplitaine, ni de besoin de se définir par la couleur de peau tant qu’on n’avait pas déséquilibré la population de façon anormale.
      Coup de gueule général par rapport à ce que je lis trop souvent ici sur beaucoup de sujets : Ca n’est pas en important les problématiques de l’Empire et en s’américanisant qu’on retrouvera notre indépendance. Les Noirs à casquettes m’insupportent, des Blancs avec des taies d’oreillers sur la tête façon KKK le feraient tout autant !
      Les réactionnaires américains sont nos ennemis autant que les progressistes.

       
    • #3533153
      Le 20 mai à 16:36 par Borussia1871
      Thermomètre des relations raciales aux États-Unis

      Il y a énormément de catholiques (Irlandais, Allemands, Italiens, Polonais) aux USA sans parler des athées et agnostiques. Résumer à les Blancs américains à des noachistes collaborant avec des Juifs, c’est même plus réducteur à ce niveau mais complètement faux. Et même chez les protestants, il y a un monde entre un luthérien et un méthodiste. Par ailleurs en Europe ceux qui collaborent le plus avec les Juifs ce ne sont pas les protestants mais les cathos...

       
  • #3532797
    Le 19 mai à 20:50 par mathieu
    Thermomètre des relations raciales aux États-Unis

    Les blancs qui ne voudront pas être métissés de force, directement ou indirectement devront migrer dans des zones exclusivement blanches.
    Il est probablement trop tard pour la France à moins d’un miracle, les mentalités sont trop imprégnés et surtout il y a déjà des millions de métisses, couples mixtes.
    Des millions de blancs quittent ou quitteront la France dans les décennies qui viennent, vous ne pouvez pas forcer les gens à vivre quelque chose de contre nature.
    La quantité Africaine fera illusion quand à la perte de qualité pendant quelques temps, le réel reprendra vite le dessus.

     

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    • #3532833
      Le 19 mai à 23:54 par Louis72
      Thermomètre des relations raciales aux États-Unis

      Malheureusement, ce constat est connu depuis longtemps. Près de chez moi, il y a un lycée où la majorité des élèves sont noirs et maghrébins...
      Ils forment quasiment tous des couples avec les blanches.
      Les parents, issus de la classe moyenne, semblent ne pas avoir su les éduquer sur le plan intellectuel, peut-être par manque de culture générale ou d’un certain héritage catholique.

      La télévision et les réseaux sociaux, hélas, les entraînent encore davantage dans cette direction. (Métissage forcée et reconversion religieux…

       
    • #3533475
      Le 21 mai à 13:16 par michel
      Thermomètre des relations raciales aux États-Unis

      @Louis72 : le Catholicisme a bon dos. Il est toujours accuse de tous nos maux par les fameux droitards. A ma connaissance, les autres religions (Islam, Bouddhisme, Hindouisme) ne parlent pas plus d’identitarisme que le Catholicisme. Pourtant les femmes indiennes, arabes, asiatiques se melangent beaucoup moins.
      D’ailleurs, dans une France beaucoup plus Catholique d’avant 1962, les femmes Francaises ne se mettaient pas a la colle avec des etrangers.

      "Aide ton prochain" ca n’a jamais signifie "heberge un migrant africain dans ton salon". Ca c’est le Catholicisme mal compris, et revu par les gens qui veulent detruire l’Eglise.
      De meme, tend l’autre joue ne signifie pas "soumet toi completement a l’envahisseur".
      Je te rappelle les 4 vertus cardinales du Catholicisme (bien compris) : prudence, justice, force, temperance.
      Nos valeureux ancetres guerriers depuis Clovis jusqu’aux poilus, en passant par le chevalier Bayard, etaient Catholiques.

      J’ai consulte les manuels scolaires de l’epoque de mes grand-parents, j’ai vu ce qui etait enseigne entre autres a propos des ra***. Aujourd’hui, non seulement on enseigne plus ca, mais on promeut en permanence l’union homme africain femme europeenne.
      Il est peut etre plutot la le probleme. Et puis le fait que la societe en general va mal : les 2 parents bossent pour joindre les 2 bouts, ne s’occupent pas de leur fille, voire ne sont pas interesses, ils sont peut etre impregnes de gauchisme eux-memes, etc...

       
    • #3534298

      @michel :
      en français, pas de majuscules aux noms de religions, de fidèles, de langues ni aux adjectifs.
      merci.

       
  • #3532986

    "Bonus : Billet d’humeur, par Nick Fuentes"
    Le mec a fumé, on dirait. Je viens d’un village en Alsace où tout le monde était de la même couleur et ben c’est pas rose tous les jours. Les gens se prennent le bouc pour un rien et ils se ressemblent tous, évitent les épiceries ou boulangeries qui ne pensent pas comme eux...aucun étranger et pourtant il se prennent le choux à la moindre occasion.

     

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    • #3533155

      @ JM

      Des petits villages de merde comme ça il en existera toujours, cependant va vivre en banlieue de grande ville "française" et ton petit village te semblera être le paradis.

      Visiblement tu ne sais pas de quoi on parle.
      C’est comme les bretons ou les français plein Ouest littoral (dernière large zone non encore totalement envahie) qui veaute macroniste (donc immigration), ... jusqu’à ce qu’il soit trop tard.
      Ensuite ça donne Rennes ou Nantes...
      Le réveil est difficile et le cauchemard subitement bien installé.

       
    • #3533170
      Le 20 mai à 18:07 par miles davis
      Thermomètre des relations raciales aux États-Unis

      Peut être... mais ils ne se battent pas avec des couteaux, ne font pas de barbecue dans des caddies, ne se baladent pas avec des kalachnikov, ne volent pas dès que l’occasion se présente, n’obligent pas leur meufs a mettre des bourkakas, ne font pas de trafic de shit, ne détruisent pas leur village quand la France perds un match de foot etc., etc...

       
    • #3533187
      Le 20 mai à 18:50 par mathieu
      Thermomètre des relations raciales aux États-Unis

      C’est du même niveau que de dire quand une femme se fait violer par un non Européen, oui mais chez nous aussi on a des violeurs.
      Il y en a des biens, oui et quand 80 % de la population sera composée de non Européens il y en aura statistiquement la majeure partie qui seront des gens biens, et donc ?

       
  • #3533156
    Le 20 mai à 16:50 par baronsamedi
    Thermomètre des relations raciales aux États-Unis

    Le problème chez les occidentaux, c’est qu’ils ne peuvent pas admettre à cause de leur idéologie de gauche, que tous les peuples sont naturellement racistes !
    Aux USA comme en Europe,même si il y a eu quelques années où on aurait pu croire que finalement, c’était possible de vivre avec des gens différents, ça a tenu tant que l’économie était assez prospère pour que certains s’en sortent par eux-mêmes, et pour que d’autres recoivent des "subsidies", de quoi acheter plus ou moins une certaine "paix sociale" !
    Mais quand l’économie ne fonctionne plus, ça se barre à nouveau en cacahuètes, et les différentes communautés raciales en reviennent à leurs vieilles habitudes !

    Les USA furent crées par des européens en exil, c’est donc une société faite pour des européens et il est logique que des populations non européennes d’origine, aient du mal à s’y adapter, à "s’y faire une place" !

    Et c’est la même chose chez nous, d’autant plus que nous importons vraiment des gens à peine sortis de la brousse, ils se retrouvent dans une société totalement différente dont ils n’ont eu que des aperçus via des films et maintenant des smartphones !

    Quand ils font des conneries chez eux, ils sont sanctionnés par leurs pairs, et ça peut être très sévère mais ici, ils font les mêmes conneries et sont à peine réprimandés (toujours sous prétexte des inepties gauchistes), donc ils vont continuer, pourquoi se géner ?
    Les noirs sont racistes (même envers d’autres noirs, par exemple voir chez nous les relations antillais/subsahariens), les arabes du Golf sont racistes envers les maghrébins ( j’ai assité à des remarques cinglantes en anglais parce que quelqu’un qui parle l’arabe littéral ne supporte pas les dialectes maghrébins), c’est ainsi, c’est un ordre naturel......il ne s’agit pas de transformer ça en haine et en violence, mais juste en méfiance et en distanciation, c’est tout, parce qu’instinctivement, chacun sent les différences en lui et sait que nous ne sommes pas compatibles.
    Mais en occident gauchisé jusqu’au trognon, les lois naturelles ne sont pas acceptées, il faut absolument que tout le monde aime tout le monde, et ça, c’est juste un rêve de gauchiste, IRL, ça n’existe pas.
    Comme le dit le proverbe, "chacun chez soi et les vaches seront bien gardées" !

     

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    • #3533254
      Le 21 mai à 00:02 par Renaud
      Thermomètre des relations raciales aux États-Unis

      à ’’baronsamedi’’ :
      Bien dit, mais dans cette époque d’inversion totale où pourtant n’importe qui doté d’un minimum de bon sens voit le racisme africain en train d’exploser à la gueule du monde, que ce soit entre eux ou envers toutes les autres ethnies et communautés, trop ont encore cette espèce de soupape "antiraciste" qui leur font tourner les choses dans leur tête de sorte qu’ils n’interprètent la réalité de la seule manière qu’ils se la sont laisser intimer par les chiens de garde du système et sans parler de cette peur inavouée de la tribalité africaine qui détruit tout dès que son QI de 65-80 est dépassé par la compréhension d’un civisme un tant soit peu élaboré, faisant arboré cette attitude devenu complètement hors sol qui consiste à faire comme si de rien était, un faux semblants alors qu’en eux c’est un volcan en éruption qu’ils crispent volontairement tellement ils se sont laisser soumettre à la culpabilité "raciste" et à une fausse compassion qu’ils confondent également avec de la soumission et plus ils retiennent cette violence légitime éclater plus ils s’auto-détruisent, déjà simplement en la retenant mais également en consommant tout ce qu’ils peuvent pour tenter d’oublier, relativiser "oh ça va on est pas au Nigeria non plus" (20 ans avant c’était l’Espagne, puis l’Algérie etc etc etc). Un peuple incapable de violence est fatalement voué à disparaitre. Et qui est dressé à être toujours plus violent d’un côté et qui à être toujours plus interdit de toute forme de violence, et bien évidemment : par qui ?
      Qui interdit l’ordre naturel des choses pour les uns d’uns côté et la promeut jusqu’à en faire des bêtes sans conscience pour les l’autres ? Qui autorise à comprendre la violence destructrice et même autodestructrice pour les uns et cris immédiatement au retour du nazisme et des soit disantes heures les plus sombre dès que les autres osent à peine hausser le ton entre deux ’’pardon’’ et ’’excusez moi mais...’’ ?

       
  • #3533268

    La société américaine relève traditionnellement du protestantisme.

    La caractéristique de cette confession repose sur la prédestination : Dieu choisit parmi les pêcheurs ceux qui seront sauvés par la grâce.

    L’inégalité de fortune, de destin ou de couleur est une manifestation divine de cette prédestination.

    L’essor du capitalisme en résulte directement ; mais celui du racisme décomplexé également !

     

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