Alors qu’elles se goinfraient dans un « restaurant » d’une grande chaîne spécialisée dans la junk food, à Nijni-Novgorod, à 400 km à l’est de Moscou, les Pussy Riot ont été soignées à l’antiseptique par un groupe d’hommes.
Les médias occidentaux se sont empressés de parler de « violente agression »’ commise par des « nationalistes » russes...
Voir aussi, sur E&R : « Des Pussy Riot fouettées et poivrées ! »